SUJET : Le Royaume Humain :

Alors que l'Astre solaire se lève, tu contemples les premiers rayons filtrant par les rideaux de ta chambre..non pas de celle que tu partages avec ta femme, mais celle que tu gardes pour les soirs où sa compagnie n'est pas celle que tu recherches. Tu enlèves les bras de la femme qui était blottie contre toi, et te décide à te vêtir. En prenant tes affaires en main, tu remarque une missive, scellée d'un sceau que tu connais particulièrement. Décachetant la lettre, tu parcours rapidement le rapport concis de celui-ci qui te l'a probablement déposé ici sans que tu le remarques durant la Nuit. (Hand out complémentaire)
Tu quittes la chambre après avoir détruit le rapport, satisfait de ce que tu y as appris... Après tout, n'était-ce pas ce que tu attendais de Lui ?
Bien plus tard, alors que tu reçoit le Responsable des Recherches, un incapable légèrement plus doué que les autres, et que celui-ci se complaît toujours dans sa perpétuelle plainte sur l'absence de fond approprié pour justifier l'absence de résultats probants, voilà qu'un garde arrive dans un pas tranquille avec une missive t'étant destiné :


Tu reconnais l'écriture de celui qui fut autrefois le plus grand combattant de sa génération, et tu peux déterminer par le sceau qui a légèrement coulé que la personne ayant rédigé ce message était dans une grande précipitation.
Tu te redresse alors, et alpague le garde par l'encolure.

"Comment et quand ?"

"Co..co...comment ? Mo..Mo "

"Comment cette missive est arrivée et quand ? Parle et vite..."

"A..A..l'instant, par corbeau....M..Milord"

Tu le relâches en soupirant devant tant de lenteur d'esprit

Budget du Tour : 68 Or

Au cours de ta visite surprise auprès de l'Unité Stärke, tu remarques un certains relâchement dans le comportement de certaines recrues. Alors que tu t'apprêtes à aller mettre ton grain de sel, tu remarques une main posée sur ton bras. Ta jeune élève te montre du menton Eva. Tu remarques que celle-ci progresse rapidement, avec quelques autres avec elles de manière discrète. Tu décides de suspendre ton mouvement en regardant ce qui va se passer....
Tu voie alors la jeune Commandante bondir, non détectée jusqu'ici, sortir d'un mouvement fluide une lame de sa ceinture et la glisser sous la gorge de l'une des recrues, alors que le reste font de même, avec légèrement moins de fluidité en revanche.
Tu n'entends pas ce qui est dit, mais tu ne peux t'empêcher de penser que c'est une façon très à elle de leur montrer la nécessité de ne pas se relâcher au sein de l'unité Stärke.

Tu te diriges, toujours accompagné, vers la salle où il te faudra passer en revue les différents sujets de la journée....

Budget du Tour : 84 Or

Alors que le groupe de Dévots s'en vont, tu te plonges dans une profonde méditation, retirée du monde afin de pouvoir entendre Solaar si elle venait à se manifesté. Une fois encore, celle-ci reste murée dans son profond sommeil, et tu rouvre les yeux. Tu te rends vers la salle de prière collective, avant d'aller prendre la place qui te revient pour prendre les mesures qui s'imposent.
Cependant, pendant toute la prière, une question te poursuit : Est-ce vrai ? La Main de Solaar existe-t-elle vraiment ?

Budget du Tour : 92 Or

Cela fait maintenant 3 jours que ta chère et tendre n'est plus de ce monde, et aujourd'hui encore, lorsque tes conseillers se sont approchés pour parler des affaires du fief, tu les as envoyés avec rudesse se faire voir chez les Sandman. Ceux-ci ont alors fait demi-tour, comme la veille et l'avant-veille, te laissant dans ton chagrin. Ils ont pris la peine de refermer la porte derrière eux, te laissant ainsi dans la chambre, coupé du reste du monde, où tu peux pleurer de toutes tes larmes la disparition de ton âme sœur pour le moment...


Budget du Tour : 59 Or

Je quittai précipitamment la chambre.
-Quand elle serra réveille, faites la sortir.
-Bien Bourg-mestre.
Préoccupé, j'avançais d'un pas rapide vers mon bureau. J'arrivais à bout des couloirs et des dédales qui me faisaient comme d'habitude perdre du temps. Un léger mal de tete commençait à Perce, habituel avant de lourdes réflexions. J'étalai rapidement les rapports, des cartes, et des lettres devant moi. Lisant tout le plus rapidement possible. Puis je demandai du vin, et du fromage. J'aurai eu le temps de ranger moi-même toutes la demeure et d'inventer une réforme des taxes avant que ce servant n'apportent le vin et le fromage. Je ne lui indiquai la sortie dès que possible.

Puis je fermai les yeux, portant a ma bouche le verre de vin et parfois un morceau de fromage... Je réfléchis pendant quelque temps, ouvrant parfois les yeux pour relire certains rapports. Enfin... Alors que le soleil était au plus haut et que la migraine devenait insoutenable. Enfin j'avais mon idée. Les nouvelles étaient préoccupantes, des seigneurs moins compétent auraient pu panique, ou se laisser déborder. Mais ce n'était pas mon cas, les nouvelles étaient pleines d'opportunités. Je devais m'en saisir.
-Garde. 10 PARCHEMINS, DE L'ENCRE, DES PLUMES, ET FAITES CONVOQUER DAME ALYSIANNE ET MES LIEUTENANTS
Je pus entendre les bruits de pas précipite de Monrose. Qu'il se dépêche pensais-je. Qu'il se dépêche...

Les parchemins arrivent en premier. Directement, je m'en saisis et je commença a rédigé une demande d'emprunt qui servirait à payer les mercenaires. Puis je rédigeai un ordre de paiement pour ces mêmes mercenaires.Après de longues minutes à rédiger, je contemplais mon écriture des plus soigne. Quand j' entendis les pas secs caractéristiques de ma mere. J'entendis la porte à ouvrir et me retournai. Elle me réservait une de ses plus belles inventions. Un regard désapprobateur, et un silence éloquent sur sa désapprobation.
-Mere, vous portez cette lettre, aux seigneurs mercenaires qui campent à la bordure de nos terres. Dis-je d'une fois ferme.
-Les comptes peuvent'ils le supporteur? Questionna-t-elle
-Ils supporteront, l'occasion est trop belle.
-Quelle occasion? Son sourcil gauche se haussa comme à son habitude.
-Mere, vos questions me fatigues et j'ai beaucoup à faire. Prévenez ma femme et mon fils que je vais passer la journée à rédiger des lettres. Vous seriez gentils de faire préparer 2 messagers.
-Ta femme et ton fils...
-Passe après mes devoirs envers la ville et le royaume. De plus la patience est une vertu. Ma mère claqua la porte, me laissant seul avec les parchemins vierges.

But :
Obtenir un fort nombres de soldats competent rapidement

Méthode :
-Avec l'argent de l'emprunt et du budget, partir entretenir le chef de la bande de mercenaire disponible que nous souhaitons embaucher 50 de ses hommes.
-Cout de 100 / 50 Mercenaires recrutes

RP :
Dame Alysianne convoqua quatre cavaliers. Elle emporta avec elle un premier présent, et rangea soigneusement la lettre dans la selle de sa jument. Ils chevauchèrent quelques heures avant d'arriver au campement des mercenaires. En traversant le camp, Alysianne se demanda comment elle aurait pu changer le monde si elle avait été homme. Une question qu'elle balaya bien vite lorsqu'elle arriva devant ce qui semblait être la tente de commandement.

Elle entra malgré la protestation des gardes en faction, fit une révérence, et sourit aux trois hommes qui jouaient aux cartes.
-Je suis Dame Alysianne Bivoix, je suis ici en émissaire du Seigneur Armory Bivoix. Il souhaite vous embaucher. Dit'il en tendant la lettre.
-Euh, oui bien m 'dame. Dit l'homme au nez casser qui prenait la lettre.
-Nous ne sommes pas donnes m 'dame. Vouz'avez les moyens?
-Je ne serrai pas là sinon...
L'homme lisait la lettre et acquiesça.
-Nous verrons votre fils. Laissez-nous rassembler nos hommes.

But: Mener une première expédition commune pour obtenir plus d'informations.

Méthode:
-50 Mercenaire + 10 Cavalier + 1 Espion + Lui iront rejoindre les terres portos quand elles en auront l'autorisation. Elles se dirigeront vers le port et attendront des renforts portos avant de monter à bord des navires pour mener a bien une expédition.
-Les objectifs de l’expédition: Détruire des navires et du matériels pour réduire la menace que représente les criminels. Capturer des criminels ou négocier avec eux pour obtenir des informations sur les événements récent, leurs taches sur l’île et le futur éventuels de l’île et des criminels, leurs ambitions, ou ce qui les a envoyés en prison. Essayer d'identifier des objectifs intéressant pour des opérations ultérieurs (Lieux importants, personnages a capturer, savoirs a obtenir, richesses, etc...)
-Les mercenaires doivent protéger Colyn et l'espion pendant qu'ils récolteront des informations. Ils engageront des groupes réduits si possible et tenteront de faire des prisonniers.
-Les troupes devront éviter les affrontements défavorables, et ne s'enfonceront pas trop profondément dans les terres. Cette mission est un premier pas, pour obtenir le plus d'information possible.
-Une voie de retraite vers les navires doit toujours être prévus, et la priorité reste la prudence.
-Lui aura le plus d’autorité possible pour gérer les expéditions au mieux

RP:
Les trois chefs du groupe de mercenaire se tenaient en face de moi. Je souriais sur l'ironie du temps. Mais passons j'avais d'autre affaire importante et certainement pas le temps de réfléchir sur des théories de boucle historiques et sur l’éventuel répétition inaltérables des événements.
-Vous etes devant moi aujourd'hui parce que j'ai besoin d'une troupe importante et compétente pour mener une mission ambitieuse en territoire hostile.
-Et ou ça?
-l’île de Stalynx. Je réprimai un rire devant leurs visages incrédules.
-L’île des damnes?
-Oui précisément. Ils ont renverses les gardes de la prison et ont pris le contrôle de l’île visiblement. Nous voulons agir vite et fort pour empêcher ces criminels de sortir de leurs prisons. Nous voulons éviter le chaos, et en plus de cela nous pensons qu'il y a des opportunités a saisir. L’île regorge de personne qui doivent savoir des choses et qui sont sans doute prêt à donner beaucoup d'information pour pouvoir sortir de cette prison éternelles.
-Détruire, et récupérer des prisonniers c'est ca? Et comment on y va. Vous avez des bateaux ou on doit nager.
Je désignai la carte sur mon bureau.
-Tout est ici.. Laissez moi vous expliquer mes plans.

Recrutement de 5 cavaliers : 45 Or

Une levée d’homme et de femmes sera faite auprès de la dernière promotion de la Jugend des Ordens afin de déterminer lequel de ces personnes seront les plus à même de rejoindre l’unité Stärke en tant que cavalier.
Les épreuves de sélection couvriront :
- La compétence d’équitation des recrues
- Les talents au combat (montés ou non)
- Leur résilience face aux intempéries
La population pourra être conviée afin d’observer l’événement.

Budget pour l’organisation des épreuves : 5 Or

« Au nom de Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre, je vous fais parvenir cette missive par l’intermédiaire de Retia Adders, Leiten de la Jugend des Ordens et héritière légitime de l’Ordre.

Je souhaite rapprocher nos deux nations et assurer un avenir mutuellement prospère. Mon émissaire vous présentera

Par ces quelques mots, je vous prie d’accepter cette invitation à un banquet en l’honneur de notre future entente. Il se tiendra à Steinenwolfe dans trois semaines à compter de ce jour.

Dans l’expectative de votre retour.

Amicalement,

Bernard Hohenburg »

Envoi de deux délégations diplomatiques

Retia Adders part en direction de l’Est accompagné par :
- 5 hommes d’armes
- 5 panzerschutzes
- 1 messager à cheval

Je pars en direction du Sud accompagné par :
- 5 hommes d’armes
- 5 panzerchutzes
- 1 messager à cheval

Durée prévisionnelle de l’opération : 5-6 jours
Envoi quotidien de rapport par messager.

Budget total pour les présents : 5 Or

La tristesse d'un homme

La pièce est plongée dans la pénombre malgré l'heure du midi. Les lourds rideaux sont tirés et la cheminée de la chambrée ne contient plus que des cendres froides d'il y a 3 jours. Avant, ce lieu était un endroit plein de vies et de rires, chaleureux et rayonnant. Aujourd'hui, tout n'est plus que morts et silence, froid et sombre. Le seigneur de Santes sent couler une larme sur sa joue alors que l'image de sa bien-aimée apparaît dans son esprit tourmenté. Elle était si magnifique, au flux d'âme si pure . Là où son corps lui faisait défaut, sa vive intelligence imposait le respect mieux qu'il n'en serait jamais capable. Alors que son regard se perd dans le vide, ses doigts caressent machinalement un tissu vert d'émeraude. Il se surprit lui-même, ayant oublié qu'il tenait la précieuse pièce entre ses mains. Il porte le châle à son nez. Il porte encore l'odeur de sa défunte propriétaire, un mélange de fleur d'été et de fruit des bois. Ses yeux se brouillent alors que ses larmes s'accumulent. Et un jour, sans avertissement, son flux d'âme se tari. Elle l'avait quitté... ne laissant derrière elle qu'une enveloppe vide et une âme brisée.

Le maître des lieux ressenti la colère montée en lui. Une rage brûlante s'empara subitement de son corps et la table de chevet vola en travers de la pièce, venant se brisé sur les solides murs de pierre des montagnes qui délimite la chambre. Un cri de surprise mêlé de peur résonne dans la pièce. Le seigneur de Santes se retourne, prêt à déversé sa plus grande fureur sur celui qui a eu l'audace de rompre sa solitude. Soudainement, la rage s'évanouit aussi vite qu'elle était apparue.

- Je... Pardonne-moi ma fille, je ne voulais pas...

D'un geste, elle lève la main pour interrompre d'un geste autoritaire.

- Ce n'est rien, père.

Déjà, elle avait récupérée de sa surprise et affichait une attitude digne. Le seigneur de Santes l'observa. Fine à la taille avec des jambes élancées, il ne l'a dépassait que de quelques centimètres. Sa chevelure blonde comme le blé au soleil retombait sur son épaule gauche en une tresse parfaitement réalisée selon la tradition grisonne. Ses yeux pleins de vie, d'un bleu de saphirs, le fusillaient du regard. Une pensée traversa l'esprit du père : malgré son jeune âge, elle ressemble déjà tellement à sa mère.

- C'est tonton Philibert qui m'envoie. Des affaires importantes requièrent ton attention. Le peuple grison a besoin de son seigneur.

Il se surprit à sourire à la manière dont elle nommait son chancelier, Philibert Hugonet. C'est la première fois qu'il sourit depuis le décès de son épouse. Et bien évidemment, c'était grâce à sa tendre fille. Elle avait beau donner l'allure d'une dirigeante, l'héritière des Lannoy n'était encore qu'une enfant à peine âgée de 16 ans.

- Luise, je te l'ai déjà dis. Les grisons n'ont pas besoin de nous et son apte à gérer eux-même leur vie. Nous ne sommes que leur représentant officiel face à la couronne, rien de plus.

- Une couronne que personne ici ne respecte, tu le sais très bien père. La seule chose que les Grisons respectent, c'est notre famille, notre sang.

Le seigneur de Santes prends une profonde inspiration. Elle lui ressemble tellement lorsqu'elle s'énerve.

- Ce n'est pas le moment d'en débattre. Il n'y a rien que sir Hugonet ne peut gérer en mon absence. Et depuis que Constance.. je veux dire, depuis que ta mère est...

Sa voix s'étouffe dans sa gorge, refusant de sortir.

- Est morte ?

La réponse de sa fille lui fait l'effet d'un marteau. Il reste silencieux, incapable de dire quelque chose

- Reprend-toi, père. Maman n'aurait jamais voulu t'infliger pareil peine. Nous l'avons perdue et nous pleurons tous sa mort mais il te reste néanmoins ton peuple.

Elle tourne vivement sur elle-même et claque la porte, laissant le père de nouveau seule dans la pénombre. Elle a raison, il le sait mais n'a pas la force de l'accepter... pas encore. Le seigneur de Santes se dirige doucement vers la fenêtre et écarte les rideaux. La lumière de l'astre pénètre avec force dans la pièce, l'aveuglant temporairement. Une fois accoutumé, il observe la cité de Santes en contre-bas. Les grands axes sont pleins de monde à cette heure-ci et le soleil se reflète sur l'eau du fleuve, mettant en évidences les embarcations des pêcheurs. Si le temps s'est arrêté pour le maître des lieux, le monde lui a continuer de tourner.

Hugues de Lannoy se retourne et se dirige vers son bureau, revigoré par la chaleur du soleil sur sa peau. De là, il sort une feuille de parchemin et l'encrier. Luise a raison : il lui reste son peuple.

- Le chancelier administre le fief en l'absence du seigneur de Santes. Il a pour consigne de ne rien entreprendre qui engagerai diplomatiquement les grisons.

- Hugues de Lannoy s'habille très simplement et part se fondre inconnito dans la population d'Edelnac avant de revenir sur Santes afin d'en apprendre le plus sur la situation de son peuple par lui-même. Au moment de quitter la communauté d'Edelnac, il leur révélera en toute confiance son identité.

Après la visite des dévots le Cassandra Solaaria après de longue séance de prière avec sa fille décide de prendre les choses en main entreprenante et imaginative elle va diriger les opérations afin que la parole de Solaar soit répandu de façon plus facile et conséquente dans son fief et pourquoi pas au-delà. Car tout le monde doit faire vœux de pénitence et venir dans le droit chemin, celui de la lumière éternelle ou périr dans les ténèbres abyssales.

Recherche mineur :  Livre de Solaar  ( 50 PO )

Salutation a vous noble seigneur Hohenburg , les relations entre nos deux biefs sont au beau fixe et je m'en réjouis grandement. Afin de faire prospérer nos deux domaines j'aimerais vous proposer de mettre à disposition notre université de Solaaris afin que vos chercheurs et vos ingénieur puissent travailler dans des conditions optimum. Nous pouvons convenir que vos recherches seront également mienne , ou que nous vous aidons éventuellement a financier vos projets futur si nous pensons que cela vaut le coup. 

Veillez agrée noble seigneur Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre , mes salutations les plus sincères et respectueuses.

Cassandra Solaaria , régenta du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar 

Très chère Adrastë je suis très heureuse de pouvoir t'écrire plus librement à nouveau maintenant que j'ai pu me libérer de certains de mes obligations , il me tarder à nouveau de te revoir toi et toute ta joyeuse famille cependant je ne te cache pas qu'au vu de ma fonction de régente cela risque d'être assez complexe. Cependant, je souhaitais que ma bien aimé Adrianna vienne de rejoindre afin de passer un peu de temps dans sa famille. Elle prendra bientôt ma place et elle n'aura alors plus le loisir de profiter de sa famille tu verras depuis la dernière où tu la vue ou elle avait à peine apprit à marcher elle a bien grandit et c'est devenu une très belle jeune fille si tu connais un bon partie évidemment je ne dirais pas non hum ? Quoi qu'il en soit, j'aimerais aussi que tu fasses parvenir à qui de droit mon désir de nouer une amitié plus forte et plus solide avec sa majesté et mon fief natal un accord commercial serait très apprécié et bénéfique pour nos deux domaines.

Je vais devoir te laisser le sommeil me viens et je souhaite encore conserver des forces pour les prières du soir, que Solaar te protège ma très chère cousine prend bien soin de ta petite famille et bien évidemment vous serait toujours dans mon cœur et vous êtes les bienvenues a Solaaris dès que vous le désiriez.

Cassandra Solaaria , régenta du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar

Je vous salue cher voisin dans l'optique de renforcer les relations entre nos deux fiefs qui ne pourront j'en suis sûr n'être que bénéfique je souhaiterais vous inviter à la capitale du fief des martyrs Solaarien afin de discuter d'éventuels accords commerciaux et autres, je prie pour que Solaar vous accorde sagesse et prospérité 

Veuillez agrée seigneur de la maison Bivoix mon respect le plus sincère. 

Cassandra Solaaria , régenta du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar 

Salutation a vous noble de Lannoy, seigneur de Santes , Afin de faire prospérer nos deux domaines j'aimerais vous proposer de mettre à disposition notre université de Solaaris afin que vos chercheurs et vos ingénieur puissent travailler dans des conditions optimum. Nous pouvons convenir que vos recherches seront également mienne , ou que nous vous aidons éventuellement a financier vos projets futur si nous pensons que cela vaut le coup. 

Veillez agrée noble seigneur de Lannoy, seigneur de Santes , mes salutations les plus sincères et respectueuses.

Cassandra Solaaria , régenta du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar 

Salutation seigneur des porto , nous sommes voisins depuis des décennies et nous partageons j'en suis convaincu un amour du savoir de ce qui fut jadis perdu et oublié de tous. Dans une optique pacifique et de rapprochement entre nos deux fief j'aimerais vous inviter dans notre ville de Solaaris afin de discuter avec vous de futur accord qu'il soit commercial ou autre. Que Solaar vous apporte sagesse et connaissance

Amicalement , Cassandra Solaaria , régenta du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar

- Velërion mage de la cour du fief des martyr va être chargé d'enquêter sur la mission confier par les dévots de Solaar en commençant par essayer de retrouver se fameux livre et de commencer a trouver une piste plus " détaillé " sur l'emplacement de la main de Solaar.

Après avoir reçu les mercenaires engagées avec l'argent de la Seigneurie, et du prêt gracieusement octroyé par la Banque Éternelle, moyennant bien sur un remboursement de 2 d'Or supplémentaire, tel qu'il est courant dans ce type d'emprunt, te voilà partant à bride abattu en direction des Terres Portos. Tu vois ton messager prendre un chemin différent, se dirigeant à toute allure vers la Demeure Familiale de ton voisin.
Après quelques heures de chevauchées, ton petit groupe fait halte à l'avant poste Porto à l'orée de leur fief. Pensant devoir attendre quelques heures, peut-être même un jour, te voilà surpris en contemplant au loin une vague de poussière se lever, et lorsque tes yeux te permettent de le discerner, tu aperçois bel et bien le Seigneur des Lieux, avec une escorte assez faible d'à peine 100 hommes avec lui.
Bien qu'au début de l'entretien, celui-ci semble plutôt surpris de ta demande, tu te rends comptes progressivement au cours de l'entretiens qu'il semble au courant de choses, ou du moins qu'il avait anticipé plutôt correctement tes intentions...
Avant d'avoir le temps de comprendre de réfléchir plus en avant sur cette rencontre, te voilà maintenant en route, avec maintenant une missive de sa part qu'il avait déjà rédigée, en direction du Port Militaire des Porto. Tu embarques sans problème sur la "Régalia", sorte de caravelle militaire, armée de 2 balistes, et une légèrement plus étrange à l'avant, sur laquelle un cristaux est fixé sur les projectiles, et de 3 chaloupes. Bien que la mer soit légèrement mouvementée, vous arrivez rapidement à la Crique des Morts, et tu fais descendre plusieurs de tes soldats et mercenaires dans les chaloupes pour les envoyer accoster. Grâce au système de transmission des Porto, tu es en mesure d'ordonner à 2 de tes chaloupes de rester en arrière, pendant que la 3e accostera la première. Alors que la chaloupe s'approche de la plage, voilà 15 individus sortants des arbres. Grâce à des choses étranges, que le Capitaine nomme des jumelles, tu peux voir précisément ce qui s'y passe...
La première chose que tu remarques sont les nombreuses blessures visibles sur ce comité, chacun est blessé au point que de rester rien que debout relève du miracle. Ton esprit carbure, et pendant que ton esprit est occupé à réfléchir, tu remarques qu'à la tête du Comité se trouve Sir Elfiort, le directeur de la Prison..
Les mercenaires Rahans ont maintenant débarqué, tu vois que Sir Elfiort s'approche, et commence à discuter avec les mercenaires, pendant que la chaloupe fait rapidement demi-tour... Alors que Sir Elfiort secoue sa tête, tu le vois sortir son épée, et alors que le temps semblent comme figé pour toi, tu le vois abattre la lame le long de sa jambe, se faisant une entaille supplémentaire. A ce moment là, les gardiens derrière lui sortent leur armes et se ruent sur les mercenaires, qui dégainent et se mettent en formation pour livrer un combat.
Tu remarques alors que ce que ton esprit te disait jusque là, et qui maintenant te saute aux yeux, est la différence entre les blessures auto-infligés de Sir elfiort, et celles qui ont été infligés par un autre à ses gardes.
Et pendant que tu te permet cette remarque, tu peux voir que les mercenaires Rahans ne font pas le poids contre les gardes.. En quelques secondes, ceux-ci ne sont plus que des cadavres sur une plage, et tout leur savoir faire n'aura pas permis ne serait-ce que de faire tomber un seul de leur adversaire....
Alors qu'a bord de la Regalia, le silence se fait devant le massacre des mercenaires, et que les chaloupes se dépêchent de rejoindre la navire, Sir Elfiort tressaute, puis s'éloigne avec les gardiens, retournant dans le couvert de la végétation...
Vous tenterez d'autres approches à d'autres endroits de l'île, mais le comité sera toujours là avant vous.
Cependant, vous pouvez remarquer l'absence d'embarcations sur l'île permettant de traverser la mer....

A ton retour dans ton fief, voici la liste des différents messages que tu trouves :


Du Fief des Martyrs Solariennes


De l'ïle de Stalinx

Tu remarques que la main de l'émetteur tremble légèrement, mais qu'il s'agit toujours de l'écriture de l'ancien Champion de la Cour


Budget du Tour : 62 Or
Remboursement à T3 : 34 Or (action gratuite)

Avant de partir pour ta visite diplomatique, tu assistes au début de la sélection des futurs recrues.Tu peux ainsi remarquer qu'un certains nombres d'habitants ont délaissés leur travaux pour venir assister à ce spectacle. SI certaines recrues démontrent de réelles capacités martiales sous jacentes, tu remarques que ce sont les candidats n'ayant aucune chance d'être pris qui pourtant emporte l'essentiel de la joie du public. Notamment quand l'un de ceux-ci, surpris par le poids de l'épée d'entrainement qui lui ai donné pour démontrer ses capacités martiales, la laisse tomber sur son pieds, provoquant l'hilarité du public devant la douleur de la jeune femme, qui les larmes aux yeux fait de grands gestes brusques... Énervant passablement le destrier de combat qu'elle devait normalement montée. Elle finira sa journée en vie, avec un bel hématome sur le pieds, et la trace de sabots dans son dos..


Le Trajet jusqu'au Fief des Cornu se fait sans problème. Tu y es reçu de manière très..spécial. Tu pourra remarquer que la religion occupe la principale partie de leur fonctionnement, et qu'ils sont adeptes de l'auto-flagellation en permanence pour expier les péchés de l'Humanité et prouver leur amour à Solaar. Ils acceptent ton invitation et seront présent au banquet. Ils espèrent juste que tu fera préparer une oraison pour le banquet.
Tu apprendra que le Trajet de Reita s'est bien passé aussi

Tu reçois ce courrier
Du FIef des Martyres Solaariennes

Une rumeur te parvient aux oreilles


Budget du Tour : 114 Or

"Bien, je vais tâcher de faire de mon mieux, mais je ne peux rien garantir...Cela dépasse mes compétences pour le coup. Mais je m'appliquerai de mon mieux! Pour ce qui est du livre... Vous savez sans nul doute que tout ce qui se rapporte à la Guerre Démoniaque a été détruit il y a bien longtemps... Avoir ne serait-ce qu'un bout d'un de ses livres est déjà en soit quelque chose d'exceptionnel pour le coup...Pour ce qui est de la Relique, je pense qu'elle se trouve dans le monde souterrain, mais pour s'y rendre, je ne saurais même pas où chercher. Sans compter que le monde souterrain est le monde des Démons si l'on croit les légendes et la Foi."

Une fois l'argent donnée, tu aperçois que tes gens commencent à compiler l'ensemble des informations qu'ils ont sur la Foi, explorant de plus en plus de livres, récits en tout genre. Un tel travail minutieux en aura pour un certains temps, mais si tu les subventionnes à ce niveau, cela permettra de ne pas prendre de retard

Budget du Tour : 136 Or

Hugues de Lannoy est une personne bien trop connu pour que son petit manège ne soit pas remarqué par les habitants d'Edelnac, cependant la population se sera pliée au jeu, mis à part quelques jeunes enfants qui feront l'impaire au deuxième jour, révélant ainsi le pot au rose au Seigneur.
Cependant, cette semaine loin de la demeure seigneuriale aura permis au seigneur de se ressourcer, de retrouver le contact de la Terre, celle qui nourrit tous et subvient au besoin de chacun. Avec cette reprise de contact, son âme aura retrouvé une tranquillité, tout comme son corps aura retrouvé le sommeil perdu avec les longues journées passées à s'occuper de la Terre. Bien que le labeur soit une source de fierté pour les Grisons, tu ne peux t'empêcher de penser qu'avec l'âge passant, le travail de la Terre devient plus compliqué pour toi, tout comme pour chacun vieillissant...
Au contact de gens simples d'Edelnac, tu te rends comptes d'autres choses.Certes la mort est venue frappée à ta porte, t'enlevant probablement l'une des choses les plus douces et les plus heureuses de ta vie. Mais n'est-il pas dit, dans les vœux que vous formulés, vous autres Grisons, que si la mort sépare les corps, elle ne saurait séparé les âmes sœurs qui se retrouveront toujours ? Il est bien dur de se souvenir de ce serment prêté il y a longtemps, sans te faire envahir par la nostalgie des jours heureux d'alors... Mais il est réconfortant aussi de retrouver le sens profond de ses mots que certains s'échangent sans jamais connaitre leur signification...
C'est ainsi, que n'ayant pu profiter de ta discrétion, tu pu néanmoins renouer avec une partie de toi-même.
Le jour de ton départ, la population fit le choix de sacrifier quelques heures de labeurs pour t'organiser ce qui peut ressembler à une sorte de fête. Bien sur,n'ayant pas de lieu véritablement adapté, il firent comme à l'heure habitude, en tendant des draps sur des cordes entre des demeures et des troncs d'arbres. S'installant ainsi à l'ombre, chacun ramenant à qui des chaises, des bancs, une table. Certains tentèrent, sans succès, de ramener une pièce de viande fraîchement chassée , mais chacun pu profiter de quelques choppes d'ale, certes d'une qualité assez basse, accompagnée de tourtes et de pâtisseries. L'une d'entre elle te réchauffa le cœur tout en rassasiant ta faim, c'était une sorte de petite brioche, en forme de croissant de Lune. Sa légèreté te rappela ta douce femme, et pourtant elle te combla l'estomac, tout comme ta femme avait comblée ta vie, t'offrant ses plus belles années, et te laissant votre fille ....


Tu reçoit ce courrier à ton retour
Du Fief des Martyres Solaariennes


Budget du Tour : 96 Or

Eva est en charge de remonter à la source de la rumeur, elle travaillera dessus jusqu’à ce que l’un de ces 3 points soit atteint :
- avoir une preuve de la fausseté de la rumeur ;
- avoir trouvé les dit aventuriers et les avoir invité à une entrevue dans la demeure familiale ;
- 2 semaines se sont écoulées depuis la rumeur (avant la préparation du banquet).

Elle sera accompagnée pour cette mission d’:
- un homme d’arme,
- un panzerschutze, et
- un panzerhund.
Elle pourra utiliser ce dernier pour tenter de pister des traces si le besoin s’en fait ressentir.

Elle aura à sa disposition un fond pour ses dépenses et un fond supplémentaire dans lequel elle pourra piocher si, et seulement si, les rumeurs s’avéraient véridiques. En cas de tromperie avérée de l’un de ses interlocuteurs, elle a pour ordre de lui faire suivre un interrogatoire sommaire en lieux clos afin de connaitre les intentions qui l’y ont poussé. Interrogatoire qui se soldera par la demande de remboursement des sommes dépensés ou à l’exécution du scélérat.

Elle établira un rapport sur les résultats obtenus et sur le budget dépensé chaque semaine.

Budget de l’opération : 1 or + 4 or de fond de réserve.

" Peuple de l'Ordre,

Je m'adresse à vous pour vous demander votre aide. Une rumeur cours les rues, vous l'avez surement entendu : un donjon aurait été découvert.
Des aventuriers seraient à la recherche de fonds pour y mener une expédition et je compte leur apporter mon aide dans cette quête. En effet, qui est plus courageux que l’Ordre pour braver les dangers des donjons, qui est plus valeureux que l’Ordre pour mériter les trésors qu'ils renferment ! Personne ! Je l'affirme avec force, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour donner à l'Ordre la grandeur et la gloire qui devraient être les siennes.

Peuple de l'Ordre, je vous le demande. Que ceux qui le peuvent parcourent cette terre et celles qui nous entourent afin de trouver et de ramener ces aventuriers. J'offrirais une récompense à celui ou celle qui les amèneront à ma porte. Ils sont nos invités, je vous prie donc d'user de courtoisie et de bienveillance à leur égard. Je me permets d'indiquer à ceux qui tenterait de flouer l'Ordre par une quelconque ruse, qu'ils seront châtiés et leur famille exilée. Je fais confiance en votre grandeur d'âme.

Bonne recherche à tous !"

« A l’attention de Baldur Resath, le Téméraire, Commandant Général de l’Armée Royale et Protecteur du Royaume.

Bonjour mon ami,

Je requiers par l’intermédiaire de cette lettre une entrevue avec vous afin de discuter d’un projet que je nourris de longue date et qui saura, je le souhaite, retenir votre attention et nous apporter à tous deux, gloire et prospérité.

Je souhaiterais me rendre à Sombralys dans 25 jours afin de vous exposer tous les détails.

Bernard Hohenburg, votre allié loyal et ami sincère. »

« A Emilio Vinzinte, Seigneur de l’archipel des Baleines,

Je souhaite vous inviter par la présente à un banquet qui aura lieu dans 15 jours à Steinenwolfe et qui réunira mes voisins directs afin de parfaire nos relations. J’apprécierais de pouvoir vous y rencontrer et ainsi de pouvoir discuter d’un projet que j’ai en tête et qui pourrais bénéficier grandement aux Vinzentes dans un futur proche, si je pouvais m’assurer de votre support.

Dans l’espérance de votre rencontre.

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A Hugues de Lannoy, seigneur de Santes

Veuillez recueillir cette lettre comme un renouvellement de l’engagement de l’Ordre après des Grisons en cette période troublée.

Je souhaiterais vous rencontrer afin de pouvoir échanger avec vous sur nos perspectives à venir. J’organise un banquet dans ma demeure dans 15 jours et ce serait pour moi une grande joie de vous y voir prendre part.

Vous souhaitant prospérité et bonheur,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède,

Je souhaite que cette lettre sache vous trouver dans une période favorable, malgré les troubles qui nous guettent tous en ces moments incertains.

J’espère pouvoir entretenir nos amitiés et faire prospérer ensemble nos deux nations. Je fais pour cela dépêcher une délégation qui devrait arriver à vos portes d’ici quelques semaines s’ils ne rencontrent aucun obstacle sur le chemin.

Dans l’expectative de nos futures grandes relations,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A vous, Ô servante de Solaar, Régenta Solaaria,

J’ai été ravi par votre lettre et lire les mots tracés par votre plume m’enchante comme à l’accoutumé. Vous savez que tout comme vous, je souhaite entretenir nos relations et sachez que je prendrais un soin particulier à l’étude de votre proposition.

Je souhaite également entériner mon intérêt en dépêchant auprès de vous mon directeur scientifique. Il sera parfaitement à même de discuter de notre avenir en commun et agira en délégation directe de ma personne. Il devrait arriver sous 3 semaines à vos portes.

J’espère que cette entrevue pourra nous conduire à un bénéfice mutuel.

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède,

Veuillez trouver en la présence de cette lettre, Dieter Strauss, Directeur scientifique de la Division Requiem. Je fais ainsi de lui, le mandataire de mes pouvoirs décisionnels dans le cadre des discussions et négociations qui pourront avoir lieu lors de cette visite sur votre sol.

Je souhaite ainsi vous adresser ma marque de confiance en initiant un partage mutuel de connaissance. Dieter vous exposera plus en détail, le contenu de cette proposition.

Que vos discussions démarrent sous les plus heureux hospices,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A Solaaria, Régenta des Martyrs et servante de Solaar,

Veuillez trouver en la présence de cette lettre, Dieter Strauss, Directeur scientifique de la Division Requiem. Je fais ainsi de lui, le mandataire de mes pouvoirs décisionnels dans le cadre des discussions et négociations qui pourront avoir lieu lors de cette visite sur votre sol.

Je souhaite ainsi vous adresser ma marque de confiance en initiant un partage mutuel de connaissance. Dieter vous exposera plus en détail, le contenu de cette proposition.

Que vos discussions démarrent sous les plus heureux hospices,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

À peine de retour, je chevauche rapidement vers ma demeure. Les rues sont pleines d'activités, des marchands crient leurs prix, les acteurs de rues jouent leurs pièces de théâtre les plus populaires et les garçons des rues jouent les coursiers pour ceux qu'ils espèrent remplacer un jour. Je regarde tout ça du haut de mon cheval.
Après une courte chevauchée, j'arrive à la porte. Je donne mon cheval à l'un des palefreniers Lyrian? Je crois... Peu importe, j'ouvre la porte et traverse la pièce principale en jetant un oeil sur ma femme et mon fils qui sont occupé à manger. J'embrasse ma femme chastement quand je passe à son niveau, puis sans rien dire monte dans la chambre.
Une fois seul, je contemple tout le dégoût que j'ai pour moi-même et mes échecs recent. Je dois me passer le visage à l'eau tiède plusieurs fois pour me sentir laver de cela.
Ma colère ne ce n'est pas calmer, mais rien ne sert de la montre à tous et toutes. Je suis sur que beaucoup de travail m'attend.

Et j'avais raison, personne ne m'a attendue. Nos voisins nous invitent chez eux, nous avons besoin d'hommes supplémentaires, l'emprunt doit être rembourser. Il y a toujours plus de chose à faire, et je ne tarde pas à recevoir un rapport supplémentaire.

QUOI

Je lance plusieurs procédures administratives. Des procédures qui semblent anodines, mais qui indiquent qui je veux voir. Après le repas du midi, ils sont tous là dans le plus grand secret.

-Bien, j'ai reçu un rapport qui indique que le Patriarch Eristoff a capturé une garde de Stalyns en profitant de la sympathie naturel d'une famille de pêcheurs.
Je pointe la carte du doigt, c'est ici que la garde est détenue.
-Nous devons récupérer la garde, c'est notre premier objectif. Et il est plus qu'important que cela réussit. Ensuite, disons qu'il est impensable que la famille Eristoff ne soit pas punie pour ses actions. Elle ne doit pas être incapable d'assurer son travail commercial. Mais nous devons leurs faire comprendre que nous dirigeons, et que malgré leurs ridicules tentatives cela va durer.Voici mon plan. Deux groupes 5 cavaliers partira d'ici discrètement accompagner de moi-même. Pendant que le premier groupe se rendra dans le village et que nous demanderons la garde de Stalynx, s'il le faut nous fouillerons le village et nous empêcherons des messagers et des messages de parvenir aux Eristofs. L'autre groupe restera en arrière prêt à intercepter d'éventuel fuyard. Enfin, un troisième groupe restera ici, avec nos espions et devra surveiller les membres de la famille Eristof et les intercepter si ils tentent de quitter la ville.
Ils seront menottes et conduit dans un cul de basse fosse ou ils croupiront pendant une semaine, pour emprisonnement d'un représentant de la couronne, corruption et intimidation de sujet du fief.
Nous organiserons ensuite un procès public contre eux, nous en profiterons pour inquiéter les membres les plus faibles de la familles Eristofs, et nous pourrons détecter leurs soutiens et allies.

But:
Identifier les ennemies de la maison Bivoix pour faire diminuer la corruption et augmenter le moral de nos partisans.

Methode:
-L'espion le moins efficace se contentera de noter les aller et retour autour de la maison Eristoff.
-Tandis que le meilleur s'introduira dans leurs demeures et leurs comptoirs commerciaux pour lire leurs messages.
-Dans le même temps, l'on doit identifier le maillon faible de la famille. Dans le but de l'épuiser moralement à cout de ragots et de harcèlement issu du rang de sujet mécontent afin de le pousser à venir demande pitié au seigneur Bivoix, alors l'on suggérera que s'il était capable de nous aider, nous pourrions faire quelque chose pour sa famille.

RP:
A venir

But:
Se rendre chez les Martyrs solarien, puis chez les portos.

Méthode:
Le Seigneur réglera une question interne le premier jours.
Il suivra ensuite le fleuve jusqu’à la frontière, puis joindra la capitale.
Il restera quelques jours, sans doute deux ou trois pour le temps des négociations.
Puis il se rendra chez les portos et y restera deux ou trois jours pour négocier.
Ensuite il rentrera chez lui.
Le seigneur et son escorte devrait être de retour au milieu de la semaine prochaine.

L'objectif principale et de négocier des droits de passages pour les troupes et les diplomates, et surtout d’échanger des technologies.

RP:
Cette visite ne me rejouissait pas. J'ai passe peu de temps dans mon fief, et les nouvelles etaient preocupante. Mais je ne peu pas passer a cote d'un eventuel accord avec nos voisins. D'autant plus que ma mere a essayer de develloepr nos relations avec les fiefs matriarcaux...
J'etais sur mon cheval, mon fils sur les talons, et apercevant ma femme au loin. Les serviteurs et notre escortes nous collent autant que possible.
Mon fils essaillait de m'impresionner, il avait grandit c'est sur. Ces seances avec le maitre d'armes ont devellope ses muscles et il a commence a se raser, meme si c'est imparfait. D'ailleurs sa tenue est trop richement decore pour un simple voyage.
''Economises les forces de ta monture, nous avons quelques jours de voyage, Heymon. Tu es trop empresse, ton allure irai pour un voyage court et encore... Ralentis.''
Il ralentis, une moue victimaire sur le visage. Bon, au moins il sait obeir.

Le voyage dura quelques jours. Nous longions la riviere, jusqu'a la frontiere.

Au moment d'arrive, alors que nous etions legerement enfonce dans le fiefs des Martyrs Solariennes une patrouille nous intercepta. 10 Homme, chiffre bien etrange, trop pour un acceuil simple, trop peu pour une demonstration de force. Mais bon je m'en accomoderai. Une femme d'age mur, mais puissament batit s'avanca.
''Seigneur, vous etes attendue. Et nous devons vous escorter jusqu'a la capitale. '' Le ton etait sec, et le regard de l'officier etait plein de defi, sans doute s'attendait elle a une remarque desobligeante pour souligner mon appartenance aux fiefs patriarcaux. Mais non, je repondis simplement. '' Nous vous suivons officier.''
Les ''hommes'' d'armes etaient vetu simplement, les armures etaient de bonne facture, mais simple. Les seuls symboles etaient des symboles religieux. D'un regard je dissuada les soldats de l'escorte de faire le moindre commentaire, sur la religion ou sur leurs sexes.

Enfin nous arrivons dans leurs capitales. Une cite perchee dans les montages. Les maisons etait simple et encore une fois, les symboles religieux sont omnipresent. L'on nous guida jusqu'au palais de la maison regnente. Et trois femmes nous acceuillirent, je memorisa rapidement leurs noms et leurs rangs pour ne pas commetre d'impere. Elle avait un ere martial, des armures completes. Leurs fiefs etaient de toute evidence construit comme une sorte d'armee de la foi feminine, ce n'etait pas une surprise, les blagues sur les martyrs solarienne leurs disciplines et leurs foies etaient commune dans les tavernes de Solede. Mais je suis sur que l'humour ne serrait pas la meilleur des armes ici...
Apres des echanges polis, l'on me fait savoir que mes gens devront reste a l'exterieur... Bien, j'insiste pour me faire suivre par mes serviteurs, sinon je ne les auraient pas emmenee. Il ne me font pas confiance de toute evidence au point de manquer de courtoisie elementaire et de faire suivre tout mes gens.
La piece est aussi austere que l'acceuil, spacieuse mais sans decoration. La comparaison de nos logements pourraient illustrer a eux seuls l'opposition des points de vu de nos deux fiefs. Les oeuvres d'art son pieuse et sobre, la ou solede est criardre et provocant au possible. C'est depaysant, mais honnetement cela me laisse indiferent. Cependant je vois bien l'horreur dans les yeux de ma femme.
-Mon aimee, ne vous inquietez pas. Les negociations ne traineront pas, et ensuite nous irons dans votre famille qui nous reservera un accueil plus conventionnel.
-Oui mais. Ces gens sont etranges, et la religion envahit leurs vies au point d'etre omnipresent.
-Oui cela change des Portos, mais je t'en prie n'insulte pas nos hotes. Ils peuvent bien se conduire comme ils veulent.
-Oui mais..
Je l'interrompus en la prenant dans mes bras. Cette acte d'affection la prit au depourvu. Nous nous livrames a quelques friponeries pour que la chambre me semble plus acceuillante.

Apres quelques temps, une servante vint toquer a la porte. Je me levant, nu et je me retins d'ouvrir la porte.
-Oui? Dis je d'une voix forte.
-Monseigneur, le diner serra servit bientot. Nous viendrons vous chercher. Dit une voix neutre au possible.
-Bien j'ai grand faim.
En me retournant, je vu ma femme entrain de se couvrir et de preparer ses robes. Je fis appeler des serviteurs et commenca a m'habiller. L'un des servants, un ecuyer presque adulte m'aida a nouer mes habits beiges soulignee de rouge. Ma femme avait adopte une robe verte qui mettait en valeur ses cheveux, mais laissez voir qu'elle commencait a viellir.
De maniere neutre, je fis un compliment. Puis je lui prit les mains et nous nous dirigeames vers la salle de banquet, rejoins par mon fils je constatai que ces habits etaient parfait, mais que sa deception etait manifeste.

En suivant un court couloir austere, nous arrivions finalement a la salle de reception. Les trois maitresses du fief et quelques dignitaires etaient present. Je pris la place qu'on m'indiquait et j'attendit que nos hotes ouvrent la conversation. Cassandra Solaaria fut la premiere a parler.
-Avez vous fait bon voyage.
-Oui, le temps fut agreable et il est toujours bon de profiter des journees de printemps apres un hiver toujours trop long.
-Je comprend.
La discution fut assez banal pendant quelques minutes. Jusqu'a ce que je decide d'evoquer la situation du royaume.
-Quelle drame, et quelle poids cela doit etre sur les epaules du conseil. Devoir choisir un roi, avec toutes les consequences que cela peu avoir.
-C'est un poid que les grands sont habitues a porter, quand a nous nous servirons le roi ou la reine qui sera designe.
Je leva un sourcil, et prit un air serieux.
-Pensez vous vraiment que le royaume est pret a acceuillir une reine? Cela ne me poserai pas probleme, mais beaucoup d'autres fiefs ne serraient pas de mon avis.
-En effet le changement risque s'il se fait de crée pas mal de perturbation , cela ne serait pas arriver si le peuple avait continuer de croire et de prier Solaar la divine créatrice
-Oui sans aucun doute....
Il suivit de longue discussion evoquant les offres que chaque fiefs pouvaient proposer. Irrigation et Silos pour les Martyrs et Corps de garde, Menotte et teinture pour les bivoix. Aucun accord ne pu etre trouve, et je fus amuse qu'on pense que je puisse prendre au serieux un echange entre la formation d'une troupe de garde pour maintenir un ordre parfait en ville contre trois trou plein d'eau dans le sol et l'idee d'amenagement pour entreposer le grain.
Apres des heures de negociations, le tons etait toujours courtois, mais moins amicale. Et je retourna me couche peu apres la fin du repas.

Le lendemain. Alors que j'indique au coordinateur des servants comment organiser notre depart tandis que lui semblait s'obstiner a ne rien comprendre. Je vu une femme, l'une des officiers les plus importantes nous rejoindra a la hate.
-Finalement, votre deuxieme offre est accepte.
-Ma deuxieme offre? Dis je d'un ton detache. Ah oui... Celle que vous aviez refuse?
-Et bien c'est faux puisque nous l'acceptons.
-Hmm, et bien parfait nous vous enverrons du personnel pour encadrer votre Garde et l'organiser le temps que vous puissiez le faire a notre facon mais vous meme. Et nous attenderons vos plans pour tout le reste.

But :
Recruter 3 Espion

Méthode :
Avec l'argent emprunté, l'on recrute des espions, principalement chez les artistes de rues. Ils sont ensuite reçu en personne et passent des tests basiques, puis de plus en plus complexe pour valider ou non leurs enrôlements. Les épreuves et les analyses du chef de nos informateurs décideront de quels sujets seront retenues.

RP :
La salle est sombre, comme d'habitude tout semble sentir les fleurs fraiches. En face de moi, les yeux attire vers le sol. Il est en face de moi, les traits de son visage dissimulés sous un capuchon. Il a toujours eu le gout du spectacle. Nous devions avoir une conversation inutile, de toute façon nous serions d'accord.
-Tu devrais ranger parfois... Dis-je, légèrement acide.
-Tu sais aussi bien que moi que je n'en ferrai rien. C'est ainsi que je travaille. Dit-il visiblement sur de lui.
-Oui, oui... Et tu travailles bien, l'efficacité est ton domaine. Les rapports récents le prouvent. Cependant nos effectifs sont trop réduits. Il nous faut plus d'hommes capables de faire ton travail.
Prenant une moue faussement colérique:
-Ne m'insultes pas, personnes ne font mon travail aussi bien que mois.
-Oui, mais disons qu'il faut que tu puisses déléguer les taches moins importantes. Dans les temps troubles que nous vivons.
-Oui un peu d'aide serrait le bienvenue...
-Tu vas devoir les former.
Un souffle semblable a celui d'un enfant boudeur se fait alors entendre.
-Bien, je suis content de notre discutions.
Ma dernière phrase ayant conclues notre conversation, je me lève et sors directement. Je dois me préparer j'ai d'autre tache.

Cassandra Solaaria prend très a cœur de pouvoir accompagner son peuple dans sa foi envers Solaar et continue après de longue et intense prière a assurer la constitution et la rédaction du livre de Solaar. ( 50 or )

Noble seigneur des terres du nord je souhaiterais vous inviter dans les terres du fief des martyr Solaarien afin de faire plus ample connaissance et de pouvoir je l'éspère si Solaar le veut convenir d'accord profitable pour nos deux provinces.

Que Solaar vous apporte sage et prospérité

Vous m'envoyez ravit seigneur Hohenburg soyez assuré que votre directeur scientifique sera accueillit avec le respect avec les égards du a un homme de science de son rang

Cassandra Solaaria , régente du fief des martyrs solaarien fidèle et dévouer servante de Solaar 

Nous devons renforcer nos effectif pour assurer la sécurité de notre domaine

10 homme d'arme 45 Or

Une dure labeur pour la pureté du flux d'âme

Cette sensation, Hugues ne l’avait plus ressentie depuis… depuis… il ne s’en rappel plus. Son âme est aujourd’hui apaisée après avoir passé du temps auprès de son peuple. Bien sûr, la pensée de sa bien aimée lui apporte toujours de la tristesse mais rien qui ne l’empêche de raisonner clairement.

Le seigneur de Santes s’essuie le front d’un revers de main tandis que l’autre tien la bêche à la verticale. Reprenant son souffle, il laisse son regard se perdre sur le lierre grimpant. Le jardin familial était dans un mauvais état. Les mauvaises herbes ont envahi les lieux, n’épargnant rien sur son passage. Les plants d’eau autrefois claire comme de l’eau de roche sont devenus saumâtre et les quelques poissons sont morts depuis des lustres. Seul trône intacte la statue du grand Nord’hardt de Lan’noyn, héro Grison et fondateur de la famille des Lannoy. Cela fait depuis presque 110 ans que ce lieu n’était plus entretenu. Les Lannoy ont toujours répudiés à utiliser des serviteurs car ils voient la servitude comme un signe de privation de liberté. Ainsi, les quelques personnes qui travaillent à leur service sont des hommes et femmes bien payés, bien traités et de confiances, libres de quitter les lieux quand bon ils leur semblent. L’entretien du jardin est donc le résultat du travail des seigneurs de Santes et cela fait plusieurs générations qu’aucun d’entre eux n’ai prit le temps de s’en occuper. C’était une erreur. Ce n’est qu’en travaillant la terre que l’on purifie son âme et que l’on peut alors prétendre diriger les Grisons.

Hugues frissonna alors qu’une brise vient caresser sa peau à vif. Malgré la présence tapageuse de l’astre solaire, la proximité des montagnes rendait les vents plus mordants. Ayant quitté sa rêverie, le maître de la maison reprit son travail harassant alors que l’effort lui fait oublier les rudes conditions de ces terres.

- Préparation de la Grande foire des Moissons qui aura lieux dans trois mois. Pour l’occasion, un concoure portant sur la culture de potirons aura lieu avec une récompense de 10 pièces d’or pour celui qui produira le plus grand potiron. Les habitants du fief voisin de la Coalition de la Terre (marqué par un « X » sur la carte) seront invités à participer s’ils le souhaitent. De plus, l’ensemble des seigneurs de la Coalition de la Terre sont invités à participer aux festivités organisées par le seigneur de Santes dans trois mois.

- Hugues de Lannoy passe son temps à entretenir le jardin familial afin de lui rendre sa beauté d’antan. Il l’utilisera lui-même en plantant un potiron pour participer au concoure qu’il organise lors de la Grande foire des Moissons. Investit 10 pièces d’or pour l’embellir une fois l’entretien terminé.

« A vous, respectueuse Régenta

Je vous remercie de l’offre que vous nous faite mais nous n’avons pour l’instant aucun intérêt pour les recherches. En effet, nos moyens sont tournés vers d’autres priorités. Cependant, je peux vous assurer que votre offre peut nous intéresser dans des temps futurs

Avec mes plus grandes salutations,
Hugues de Lannoy, seigneur de Santes et représentant du peuple Grison. »

« A vous dame Vivianie Kalard,
De par les liens du sang qui nous unis et l’amitié qui lie nos deux peuples, je souhaite vous inviter à notre Grande foire des Moissons qui aura lieu dans trois mois afin de partager ensemble un moment de paix et de joie en ces temps de trouble qui secoue le Royaume et peut-être y trouver une solution.

En espérant sincèrement une réponse positive de votre part, je vous fais part de mes vœux de vie et prospérité,
Hugues de Lannoy, seigneur de Santes, représentant des Grisons, fils de Philnip de Lannoy et Marian Kalard. »

« A Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède,

Je souhaite que cette lettre sache vous trouver dans une période favorable, malgré les troubles qui nous guettent tous en ces moments incertains.

J’espère pouvoir entretenir nos amitiés et faire prospérer ensemble nos deux nations. Je fais pour cela dépêcher une délégation qui devrait arriver à vos portes d’ici quelques semaines s’ils ne rencontrent aucun obstacle sur le chemin.

Dans l’expectative de nos futures grandes relations,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A vous, Ô servante de Solaar, Régenta Solaaria,

J’ai été ravi par votre lettre et lire les mots tracés par votre plume m’enchante comme à l’accoutumé. Vous savez que tout comme vous, je souhaite entretenir nos relations et sachez que je prendrais un soin particulier à l’étude de votre proposition.

Je souhaite également entériner mon intérêt en dépêchant auprès de vous mon directeur scientifique. Il sera parfaitement à même de discuter de notre avenir en commun et agira en délégation directe de ma personne. Il devrait arriver sous 3 semaines à vos portes.

J’espère que cette entrevue pourra nous conduire à un bénéfice mutuel.

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

« A Hugues de Lannoy, seigneur de Santes

Veuillez recueillir cette lettre comme un renouvellement de l’engagement de l’Ordre après des Grisons en cette période troublée.

Je souhaiterais vous rencontrer afin de pouvoir échanger avec vous sur nos perspectives à venir. J’organise un banquet dans ma demeure dans 15 jours et ce serait pour moi une grande joie de vous y voir prendre part.

Vous souhaitant prospérité et bonheur,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

- Budget alloué : 55 or pour les 3 enfants + 15 or pour Eva et Dieter (sans en informer les enfants) --> Total : 70 or
- Troupes déployées : 8 hommes d’armes + 10 panzerschultze + 2 panzerhund (les panzerhund pourront être utilisés pour leur flair, ils seront déséquipés intégralement lors du voyage afin d’éviter d’attirer l’attention)
- Un messager sera dépêché auprès de Steinenwolfe chaque semaine afin de tenir informé Bernard de l’avancée de l’opération. Le message sera codé afin de ne rien dévoiler de la nature de l’opération en cas d’interception (le code sera le suivant et sera intégré dans un message plus long: Ciel Bleu --> La progression avance sans accros ; X Rochers mousseux --> Des pertes sont à signaler parmi nos hommes, X signifiant le nombre de victimes ; X Saules pleureurs --> Des enfants sont morts, X étant le nombre toujours en vie ; Flot migratoire --> Besoin de renfort demandé).
- La troupe au complet (enfants compris) effectuera un voyage tous les mois afin de rapporter les trouvailles du donjon. T5, T8, T11, etc. Même ces semaines-là, un messager sera envoyé en sécurité. En cas de passage au niveau inférieur, le voyage mensuel pourra être avancé. La décision de continuer ou non ainsi que la marche à suivre en cas d'accros seront faite à Steinenwolfe.
- Eva et Dieter gèreront en intégralité la progression dans le donjon. Les enfants passeront toujours les premiers dans une salle, après que différentes méthodes de déclenchement de piège aient été utilisé dont à minima : lancer de pierre, tir de carreaux à travers la pièce depuis l’embrasure de la porte, jet de torches. Les soldats veilleront à ne toujours prendre qu’un minimum de risque.
- Une équipe composée de 3 gardes (Eva, 1 homme d’arme et 1 panzerschulze) monteront la garde en permanence à l’extérieur du donjon. Eva ne devra pas entrer dans le donjon afin de pouvoir réagir en cas d’imprévu. Les enfants seront gardés sous surveillance en permanence.
- Une équipe composée de Dieter, 3 hommes d’armes et de 3 panzerschultzes pourra être déployé à l’extérieur du donjon en cas de besoin de main d’œuvre (voir ci-dessous les méthodes de recrutement)

Eva et Dieter garderont deux objectifs en tête :
- Aucune retraite pour les enfants. Si une quelconque raison venait à les démoraliser, ils seront chargés de les motiver à travers diverses promesses de reconnaissance, en cas de démission de leur part, Eva et Dieter ont pour ordre de les mettre aux fers, de les désarmer et de les conduire à Steinenwolfe pour qu’ils y soient jugés et condamnés à mort pour trahison. En cas de refus d’obtempérer, ils seront exécutés sur place pour les mêmes chefs d’accusation.
- Sécuriser le butin ainsi que les armes des enfants. Quoi qu’il se produise, chaque jour le butin extrait doit être sécurisé à l’extérieur du donjon et enterrés à un endroit connu de seul Eva et Dieter. En cas de mort de l’un des enfants, son équipement sera récupéré et ajouté au butin. L’emplacement des caches contenant la part de butin des enfants sera également connu des enfants.

Eva et Dieter seront libres d’engager selon leur besoin des groupes de réfugiés en exode afin de s’en servir comme porte-torche éclaireur lors de l’exploration des salles. Ils seront engagés en tant que soldat de l’armée de l’Ordre (cette information pourra être omisse par oubli lors de leur engagement) et leur fuite serait donc considérée comme désertion, conduisant à leur exécution immédiate. Ces troupes mercenaires seront utilisées sans retenue au tarif de recrutement de 1 or pour 10 migrants. L’offre initiale faite au migrant sera formulée de la sorte :
« Bonjour, nous avons besoin de main d’œuvre afin de nous aider à récupérer des antiquités stockées en sous-sol pour le compte d’un seigneur mis à mal par la crise. Nous payons grassement mais avons besoin de toute votre discrétion pour mener à bien cette opération. Le paiement est fixé à 1 or pour 10 personnes sur une durée de 2 semaines ». Il sera évidemment assuré que ces 10 consommables soient utilisés avant la fin des 2 semaines. Cependant, l’or leur étant versé ne sera pas collecté sur leur cadavre. L’ayant mérité, ils l’emporteront avec eux dans la mort.

Un rappel sera fait à Eva, Dieter ainsi qu’aux troupes pour rappeler la grandeur de l’Ordre et sa supériorité par rapport à la plèbe maladive et misérable qui parcourt ces terres. La vie d’un soldat de l’Ordre vaudra toujours plus que la vie de 100 paysans étrangers. Qu’ils pensent à leur propre famille qui les attend si la situation devient trop pénible.
Les risques encourus seront rappelés au bataillon. Les soldats seront cependant assurés d’une bonne récompense pour eux et leur famille en cas de succès de la mission, qu’ils fassent partie ou non des rescapés.

Si l’expédition venait à manquer d’or pour poursuivre l’opération ; si cela est due :
- Au gaspillage du budget par les enfants, ils seront mis au fer et conduit à Steinenwolfe pour non-respect de leur engagement et jugés pour avoir dilapidé l’argent de l’Ordre.
- A la dépense totale du budget alloué à Eva et Dieter, une nouvelle demande de budget pourra être formulée.

Si Eva ou Dieter venaient à mourir, l’expédition devrait faire demi-tour et rentrer à Steinenwolfe. S’il venait à y avoir trop peu de survivant pour transporter le butin en toute sécurité, un messager sera dépêché afin de demander du renfort, la demande de renfort ne pourra être faite qu’à cette occasion précise.

Si tous les enfants venaient à mourir à l’exception de l’un d’entre eux et qu’aucun acte ne pouvant ternir l’Ordre ait pu être observé par ce dernier, le survivant serait conduit à Steinenwolfe afin d’y être honoré comme héros de la nation et d’être engagé à rejoindre l’Ordre s’il le souhaite. Cette proposition sera faite en huit-clos. Le refus conduira au procès du jeune homme pour trahison et l’intégralité de pertes liées à l’opération sera mise sur son dos lors de son exécution. En cas d’acceptation, une fête sera faite en son honneur. Quelle que soit l’issue décidée, son application sera publique.

- Bernard fait un rapport sur la corruption à Steinenwolfe
- Il sera accompagné pendant l’enquête de 3 hommes d’armes et 3 panzerschultzes
- Le reste de l'armée en faction restera disponible en cas de besoin d'intervention

- Retia réalise un rapport sur le moral de la population
- Elle collecte également les suggestions des citoyens visant à améliorer la situation.
- Elle classera les suggestions selon qu’elles viennent d’immigrés ou de citoyens nés sur le sol

- Otto réalise un recensement de la population à Steinenwolfe
- Il gardera une trace claire de qui est immigré et de qui est né sur le sol de l’Ordre. Cette information sera sur une base déclarative, soutenue par un témoignage de proche et pourra être librement changé par l’interrogateur s’il lui semble que cette personne ment.
- Ce dernier point n’est connu que d’Otto et des interrogateurs.

But :
-rendre le jugement / Apaiser les tensions en mettant de son coté la famille Eristoff

Méthode :
-convoquer le fils ambitieux pour lui expliquer que nous savons pour les relations incestueuses de sa mère et de son plus jeunes frère. Lui proposer notre silence contre un témoignage incriminant son père.
-On lui proposera notre appui pour négocier un mariage si besoin
-On lui propose d'entrée au conseil du bourgmestre en prenant la place de son père-Rassemble les preuves (Faux témoignages et sors des codes pénaux (techs majeurs d'administration) une argumentation qui montre que dans ce genre de circonstance il s'agit d'un acte de rétention d'information)
-À notre grand regret, le patriarche doit être exécuté pour trahison. Cependant deuxième fils le plus compétent prendra la tête de la famille.

RP :

But :
-Savoir si elle est réellement une garde, ou si elle a un rapport avec la prison
-obtenir les grandes lignes des événements, surtout par rapport au geôlier.

Méthode :
-interrogation polie, demande de nous raconter son histoire. Puis poseront des questions sur les événements clés, les événements étrange étant arrivés avant les faits. Qui est a l'origine des événements, si le geôlier de la prison avait été bizarre, qui l'avaient rejoint ce qu'il a fait.
-La rassurer sur le fait que le fait qu'elle soit ou non une vrai garde, une prisonnière enfuie ou quoi que ce soit elle n'obtiendra de nous que des récompenses.
-Propose 5 or pour la remercier

RP :
Toutes la demeure était en effervescence. Ma femme s'occupait des derniers préparatifs concernant la chambre de notre invitée. Et les serviteurs s'occupaient de la nourriture. Moi je faisais un dernier tour dehors, profitant du soleil et digérant mon repas. Le ciel était bleu, et la ville agitée comme à l'accoutumée. Finalement je repris le chemin de la chambre de la garde. Je passai la grande porte, les gardes me saluèrent et je leur rendis leurs d'un signe de tête. Je pris les escaliers de gauche, et montai vers la chambre que nous avions donnée à notre invitée. J'entrais, constatant une forte odeur de citron et une sensation de frais qui me surpris en entrant. Deux personnes étaient présentes, les deux seuls qui importaient. La jeune garde avait les traits tirés et semblait toujours fatiguée, ses vêtements étaient maintenant plus féminins. Elle avait reçu tous les soins nécessaires et cela était tout ce qui importait. Je m'assis tandis que les deux autres me suivaient du regard. Je pris l'air le plus amical possible et dis :« Bien. Racontez-moi tout. »


Je la vis se redresser, elle etait encore fragile mais elle tenta de se lever.

"Mes.."
une grimace de douleur se lit sur son visage
"...sire... Je me lèverai... bien volontiers... mais mon état..."

Sa machoir etait crispe par la douleur que provoquait le seul effort de se lever.

-Ne vous levez pas, ce n'est pas la peine. Dis je.
-Je vous remercie.... pour les soins.. mais la prison...La prison.. l'île.. vous devez prévenir... il ne faut pas s'approcher... il faut prévenir le Roi..."

Tandis qu'une lueur de panique naquit dans son regard, ses yeux partirent dans le vague. Il ne fit aucun doute qu'elle se souvenait et que cela etait plus douloureux que n'importes quelles efforts physiques.

Je voulus interrompre ses pensees pour revenir sur le sujet de nos preocupations.
-Ne vous inquietez pas. Nous avons recu un message venant des derniers defenseurs. Et nous ferrons tout pour que rien ne s'approchent de l'ile.

-Il ne faut pas qu'il puisse partir... partir... défenseurs ? Il n'y a plus personne la bas pour nous défendre....

-Non maintenant il n'y a plus personnes, mais nous avons recu un message nous avertissant de ne pas nous approcher. Mais vous etes la seul temoins que nous avions directement. Et la seule capable de nous dire ce qu'il c'est reellement passe.

Un silence dura plusieurs secondes. Je pensais que peu etre que le message etait un piege pour nous faire venir en faisant croire a une emeute ou quoi que ce soit d'autre. Tandis que de son cote, elle semblait a nouveau se perdre dans ses souvenirs.

-Ils creusaient.. ils creusent toujours.. c'est leur châtiment... creuser pour leur vie et leur peine... et ils l'ont trouvé à force de creuser...

Son comportement changea et soudainement elle ressemblait plus a un animal chasse et effraye.


-Qu'ont ils trouves? Nous devons le savoir
il est là bas.. réveillé maintenant... Asgrot. J'etais las de ces allusions. Je voulais savoir.
Semblant ignorer ma question elle se cacha sous les draps comme si elle avait 5 ans et il ne sortit qu'un murmure de sous les draps.
-.. maudit démon... maudit Roi.. maudit trésor

-Ecoutez, reposez vous. Maintenant que nous en savons plus nous pouvons agir en consequence. Le roi serra prevenue et nous agirons. Reposez vous, nous reprendrons quand vous serrez plus disposee Je n'etais pas satisfait. Mais nous ne pourrions plus rien en tirer pour le moment.

....Esclaves... Or... liens... Elfiort... Contrôle... maudit... criminels.. Continait elle de murmurer.

Je prenais sur moi de reste et je tentais de memoriser chacune de ses paroles.

Massacre..Tuer.. Esclaves.. Peur.. Personne.. confiance.. Liens... Contrôle... criminel..... tuer... posséder...massacre... Kilian... Confiance... maudit.....

La tristesse, les soins, le stress et la fatigue eurent finalement raison d'elle.

But : -attirer des personnalités importantes (apport d'argent et investissement), et des plus humbles (augmentation de la population)

Méthode :
-envoie les cavaliers, les espions et des acteurs de théâtre pour trouver et escorter des migrants (avec priorité pour les riches, les pauvres devront se contenter).
-Séparer les cavaliers par groupes de 10 pour couvrir les plus larges zones.
-Cavalier sert d'escorte tandis que les espions et les acteurs de théâtre font la promotion de notre fief, sur la sécurité, les libertés, les opportunités. Et indique le chemin à suivre (entre deux fleuves, par-delà la montagne, le paradis)
-Distribution d'alcool et de quelques vivres (15 ors)

RP :
Le voyageur, le marchand et le bandit

Le rideau se lève sur un paysage commun, deux hommes aux antipodes sont sur scène l'un est un marchand l'autre un voyageur pauvre.

Marchand : -Quoi Manant tu te rends chez les martyrs ? Est tu fous ? *Se retournant vers le public* Ou folles devrais je dire ?
Voyageur : Et bien non, solaar me guide et me leurs murailles me protégeront.
Marchand : Ah oui bien et tu as de l'argent.
Voyageur : Non.
Marchand : il est donc vraiment fou...
Voyageur : Quoi je ne comprend pas ?
Marchand : Mon pauvre ta dévotion ne les intéresses pas si ta bourses ne peu pas payer leurs nourritures ou leurs taxes.
Voyageur : *Panique* Quoi mais ou vais je aller ?
Marchand : Et bien va donc chez les portos, ils sont riches et les opportunités ne manquent pas.
Voyageur : Pour me vendre et exploser dans une expérience mirobolimyfiante ? Plus tôt partir dans les coalition de la terre.
Marchand: Bien sur, après sur la carte tu aurais autant pu reste a la capitale si c'est pour si peu marcher. Mais je suis sur que le travail de la terre conviendra bien a un citadin comme toi.
Voyageur : Travailler la terre ?
Marchand : Ou pécher ou chasser je m''en moque bien.
Voyageur : OU PECHER OU CHASSER?!?! *Visiblement effraye*
Marchand : Silence, tes cris attirent mauvais gens.

Bandit *arrive sur scène l'air sur de lui*: -Hola les pourceaux de raclure de citadin. Videz les poches et la charrette.
Voyageur : *tend sa bourse* - J'aurai du savoir que je verrai mauvaise rencontre.
Bandit : Et oui, pas a l'ouest mais pas a l'Est, bienvenue en terre quasi sauvage.
Marchand : Mais ne sommes nous pas en terre Bivoix.
Bandit * Tentant de cacher sa peur * : Ne prononce pas ce nom. Car même celui la ne peu pas te sauver ici.
Marchand : * Au public * Le fou. Mais si mais si ce nom me protège *soulève soudainement la toile de la charrette pour laisser apparaître le blason de Solède. *
* Deux gardes sortent de la charrette et désarment le bandit *
Bandit : * confus * Eux, vous pouvez me rendre mes armes. Je ne veux pas détrousser ce gentils homme, mais ce manant * désigné le voyageur * doit d’acquitté des droits de passage.
*Le marchand, la caravane et les deux gardes quittent la scène*
*Le bandit s'approche du voyageur*
*Le voyageur sanglote et recule*
Bandit : Tu es a moi maintenant, donne moi tout ce que tu as.
*Un garde s'approche discrètement et assomme le bandit*

Le garde : N’ai pas peur, que tu sois humble voyageur ou riche marchand. A Solede tant que régnera le seigneur Bivoix, c'est ce que tu construiras qui ferra ta grandeur. *Le garde donne un morceau de pain au voyageur*

But :
-remplacer un des techniques par une autre
-Pouvoir rechercher une technique pour augmenter la vitesse des espions en leur fournissant des chevaux. (Augmenter le déplacement des espions par tour soit de manière ponctuel contre paiement soit de manière permanente)

Méthode :
-le seigneur fera simplement part de ses propositions aux chercheurs, aux maîtres des écuries. L'objectif est de maître à disposition des chevaux aux agents du bourgmestre lorsque cela est nécessaire.
-Le Seigneur ira visiter son ami pour ajouter les arts équestres à la formation des espions.

RP :
J'avais fait préparer la grande salle, tout était parfait, les armoiries de chacun des présents étaient affichées là où il fallait. Il y avait une vingtaine de personnes en tout, leurs dernières convocations datées du mois dernier presque. Ils n'y avaient pas eu tant de motif que cela à la réunion, enfin pas à de vraies réunions bien sûres les rassemblements étaient hebdomadaires pour discuter de tout et de rien. De plus mes longues chevauchées diplomatiques m'avaient beaucoup occupé. 

Je les vis se mettre en position à leur place, je les accueillis les uns d'un signe de tête supérieur, les autres de grande accolade chaleureuse et certaine avec dédains. Enfin arrivèrent les chercheurs et le maître des écuries. Je pris la parole me levant de mon siège.

-Bien. Nous pouvons commencer. Nous sommes là pour proposer une loi et une nouvelle organisation des écuries du Bourg. En effet certains de nos agents, de nos représentants ont parfois du mal à se fournir des chevaux corrects. Aussi je propose un assouplissement des règles 12, 89 et deux révisions complètes du code dit du Toyr édité respectivement dans les années 56, 24 et 101.


Cela aura pour conséquence de grandement faciliter les actions de notre bourg lorsqu'il doit passer des accords ou dépêcher des personnes pour diverses raisons. Et alors que j'allais continuer je fus coupé.

-ET DE TOTALEMENT DETRUIRE LE COMMERCE DES ECURIES INDEPENDANTES ! s'exclama un vieil homme.
Des murmures emplirent la pièce.

-Nullement maître Gurden, lorsque nous auront recours aux écuries indépendantes elles seront dédommagés.

Nouvelles vagues de murmure.

-Lyard, Morco à vous deux, pensez vous pouvoir trouver un moyen pour que les écuries soient toujours:prêts à mettre à disposition un cheval rapide pour les missions importantes .

Lyard, le maître des écuries, un jeune homme blond aux yeux froid me regarda.

-Bien sur, avec une mise au point et une certaine coopération entre nos services et les services des âmes de la maison tout serait possible.

-Et, il est toujours possible que nous organisions même une aile supplémentaire pour ces activités ou encore que nous nous arrangions avec les écuries indépendantes pour négocier une exclusivité relative.

Les débats sur le comment et le comment durèrent presque une heure entière. Certains semblaient impossibles à convaincre aussi le vote trancha. Et bien sûr le vote donna une immense majorité à mon idée. Je notais dans un coin de ma tête ceux qui s'y étaient opposés, même si l'opposition était économiques et ciblée contre moi.

Un seigneur qui n'en a pas l'air

Hugues s’assit sur un amoncellement de briques crues et soulage jambes et bras après une longue matinée de travail. Il fait un geste vers les 9 hommes et femmes de s’assoir avec lui. Ensuite, il sort quelques tranches de pain d’un sac et les partages avec chacun d’entre eux. Personne ne parle alors que celui qui se fait appeler le seigneur de Santes commence à manger un bol de gruaux, la nourriture des pauvres. Personne ne mange alors que le maître de ces terres plonge son morceau de pain dans le bol pour en racler le gruau. Personne ne s’assit alors qu’il boit d’une lampée un alcool local à forte fermentation. Hugues de Lannoy se lève et sourit aux personnes regroupées devant lui.

Mangez, vous aurez besoin de forces pour le reste de la journée. Ces logements ne vont pas se construire tout seul.

Il se lève et s’en va retourner sur le chantier, le torse nu luisant sous l’effet de la sueur et du soleil.

- Des efforts sont entrepris pour accueillir les plus nécessiteux des réfugiés. Ils seront logés et nourris en échange de travaux d’intérêts publique. Nous refuserons les riches et les personnes aisées. La première priorité est de leur faire construire leur propre logement en dehors de la ville de Santes. Un budget de 20 or sera mis à disposition pour les matériaux. De plus, on déploie 10 Rôdeurs noirs sur les terres afin de s’assurer que des bandits ne profitent pas de la situation.

- Hugues de Lannoy va à la rencontre des premiers groupements de réfugiés et va mettre les mains à la pâte en aidant à construire les premiers logements. Il ne sera escorté que du minimum requis.

« A vous, sir Hohenburg,

Je dois malheureusement décliner votre invitation aux vues des récents événements qui secouent le Royaume. De nombreuses affaires accaparent mon attention sur mes terres et je ne peux me dégager en aussi peu de temps.
En espérant des temps meilleurs pour le Royaume,

Hugues de Lannoy, seigneur de Santes et représentant du peuple Grison. »

-Envoie du chancelier Philibert avec 6 cavaliers chez les martyrs solariennes afin d’enquêter sur la vision qu’a eux le seigneur de Santes, espérant que ces experts en théologies puissent être d’une aide quelconque. Une bourse de 10 or est donné à Philibert pour gérer ses affaires de voyages.

« A vous, sir Hohenburg,

Je dois malheureusement décliner votre invitation aux vues des récents événements qui secouent le Royaume. De nombreuses affaires accaparent mon attention sur mes terres et je ne peux me dégager en aussi peu de temps.
En espérant des temps meilleurs pour le Royaume,

Hugues de Lannoy, seigneur de Santes et représentant du peuple Grison. »

But :
Favoriser les migrations

Méthode :
Laisse les frontières ouvertes
Fait écrire des grafitis
Efface les grafitis qui s'oppose a nos décisions

RP :
Grafitis present sur les murs de la ville:

“NOUV VENU NOUV OR”
“MOR A ERISTOF”
“SOLEDE REFUGE”
“LIBRDE VENIR”
“LYS EST UN VER”
“ROS EPOUSRA BO REFUG”
“JE DE DE CE SOIR”

Ici l'ont peu vu que presque la moitié des graffitis sont en faveur de l'accueil de réfugier, pour diverses raisons. Généralement ces raisons sont économiques (les réfugiés étant des clients ou des pigeons), idéologique (plus rare) voir pour trouver de nouvelle population à intégrer (mariage, etc­.)

But :
Ecouter ce que la garde veut nous dire

Méthode :
Le Bourg-mestre invitera la garde a sa table ou se rendra dans sa chambre pour qu'ils puissent avoir une discution

RP :
Une table finement sculptée est disposée au centre de ta salle à manger personnelle, d'une taille beaucoup plus modeste que celle où j'organisais des réceptions.. Ici point d'ornements aux murs et aux plafonds, ni d'extravagance pour impressioner les invités. Parfois, j'aimes prendre tes repas ici, car cela respire la simplicité, chos je n'arrives pas à trouver aisément. Les chaises sont confortables, bien que rustiques, et l'accès à la cuisine se fait par une ouverture dans le mur, permettant de surveiller le personnel, profiter de la chaleur des fourneaux et voir la préparation.

De plus, le service est fait par une servante. Une jeune recrute il y a peu et qui est assez bien pour m'occuper quelques nuits, mais pas assez forte pour prétendre être régulière. Mais elle n'est pas la seul femme dans cette salle en ce moment. La jeune garde est la elle aussi déjà assise, habillée avec son uniforme qui a été recousu depuis son arrivée ici

Elle se lève en me voyant. Mais je lui fait vite signe de ce rasoir tandis que je m’assoie moi même. La servante prépare la table comme elle peut et fini de préparer des plats.

-Bien. Qu'avez vous a me dire?
-Je voulais commencer par vous remercier encore une fois pour tout ce que vous avez fait. Et me présenter aussi ! Et vous devez avoir beaucoup de questions. Le temps doit manquer... et vu que je n'étais probablement pas en état auparavant... Vos serviteurs ont eu la gentillesse de me dire que j'avais passé des semaines à délirer dans la chambre à cause de me blessures..

Elle joue alors avec une des lanières de cuirs de son uniforme. Solaar soit loue si elle n'a que cette séquelle.

-Mes gens ont manque de tact je pense. Mais je ne pourrais nier que j'ai plusieurs question. Mais présentez vous en premier lieu.
-Donc pour commencer, je suis Dora. Première garde de la 2nd section, en charge... enfin était en charge, de la répression
-Bien, je suis enchanté de vous connaitre Dora. Vous étiez donc sans doute au cœur des événements.
-Nous avons été effectivement appelés, voyez vous la 2nd section est chargé de la répression, en cas de révolte. C'était la 1ere section qui surveillait les détenus...


Elle semble hesitante.

-Pourriez vous faire sortir vos gens. J'ai toute confiance en votre maison, mais les informations concernant Stalinx sont confidentiel. Beaucoup on fini par devenir des detenu apres avoir des des choses devant du monde.

D'un signe de la main, je congedia les servants et les gardes. Les serviteurs sortent, la servante m'adressant un regard lourd de sens. Dora se levera est apportera des assiettes. Elle n'a aucune grace c'est evident et sa convalescence n'y est pour rien, mais l'on ne peu nier une certaine discipline dans ses mouvements.
Elle commence a manger et a ma surprise elle commence a parler alors qu'elle a la bouche pleine.

-Donc la 1ere était chargé de surveiller les détenus et de les faire creuser. Oui car sur l'île.. outch c'est chaud... donc je disais sur l'île les détenus ont pour peine de creuser principalement.
Sauf ceux qui ont gagné le droit d'être transféré sous la surveillance de la 3ème section, responsable de fournir la nourriture, la blanchisserie etc etc. Mais vous savez peut-être pourquoi ils creusent ?

Elle souffle sur sa cuillère pour faire refroidir la tourte encore fumant.


-Des minerais je suppose, ou peu etre pour trouver des donjons. Cela devait maintenir les prisonniers actifs, et la couronne pouvait ainsi tirer avantages de la prison.
-Tout a fait, un gisement d'Or immense... l'île n'est quasiment que cela d'ailleurs
-Vous avez du en recolter beaucoup.
-Oui enormement. Mais tout l'or extrait, une fois la nuit tombée, est stocké dans une pièce spéciale et au matin.. pouf. D'après Sir Elfiort, cela est une pièce qui est connecté à une autre dans le Palais
Un sort très ancien pour faire transister l'Or discrètement et elle transporte tout. Sauf ce qui est vivant... des detenus ont tentés leur chance et on les a trouvés au matin nu comme des vers
-Cela a du beaucoup vous amuser je suppose.
-Oui, mais la suite est moins drole. Car une légende racontait qu'elle était une prison et qu'un jour a force de miner l'or, la prison serait brisée. Je crois que Sir elfiort croyait en cette histoire, et maintenant je le pense aussi. Voyez vous, la 1ere a trouvé,enfin les détenus, une boite en bois. Oui une boite en bois au plein millieu du gisement. Enfin c'est ce que Kilian m'a raconte.

Dans son discours, il perce tantot de la tristesse, tantot de la nervosite. Mais le nom de Kilian avait fait triompher la tristesse.

-Et qu'y avait il dans cette boite? C'etait une tombe?
-Je pense qu'il etait dedans?
-Asg...
-Oui lui meme. Elle ou il etait dedans. C'était une araignée, une petite...

Elle montre avec ses mains, ce qui est la taille normal d'une araignee.

-Et que c'est il passe ensuite?
-Vous devriez finir de manger avant que nous passions a la suite.

Elle arreta elle meme de manger. Je leva un sourcil et finit mon verre de vin d'un trait.

-Allez y...
-Solaar soit loué je n'étais pas sur place quand cela est arrivé. Une fois la boite ouverte, elle a rampé, sur la main de Jeono, puis sous son uniforme. Elle serait sorti au niveau de son cou, aurait filé au niveau de son oeil... là elle serait rentrée dedans.. mais dans l'oeil... sous l'oeil. Il a tenté de tuer tout le monde. Il hurlait de rage, et quand nous sommes arrivés, la 1ere n'existait presque plus
Kilian et quelques autres s'étaient retranchés, les détenus avaient fuit. On avait beau le taillader, le pointer.. le sang coulé de son corps comme une rivière.. mais il était toujours debout. Et quand enfin il est tombe, son corps a fondu dans une epaisse bouillasse. De cette gadoue des centaines d'araignées sont sorties. Elles ont attrapes Kilian, elles etaient de plus en plus nombreuses. Je me souviens d'avoir couru pour prévenir Sir Elfiort... d'avoir couru aussi pour alerter les autres... pour ma vie aussi si je suis honnête. Les gens essayaient se courir mais elles etaient plus rapide, plus vive. Elles passaient sous les portes, elles passaient partout. C'était un enfer... Alors Sir Elfiort m'a demandé de me jeter à l'eau, pour qu'une personne tente de traverser. Je me souviens qu'il s'est lui aussi fait avoir... Il était sur la plage. Il voulait que j'ai du temps...



-Il a du vous en donner beaucoup. Cetait un grand homme et le meilleur guerrier du royaume.
-Il était bon.. toujours le sourire
-Oui, je ne l'ai vu que de rare fois, mais il m'a laisse une forte impression. Mais parlons maintenant d'evenement plus joyeux et porteur d'espoir pour l'avenir. Vous etes arrive sur nos cotes, nous vous avons recuillis mais nous avions deja recu une lettre. Lettre qui etait sans doute un piege pour nous attirer.
-Peut-être... je ne pourrais vous le dire. Mais je sais qu'il ne faut pas qu'ils puissent quitter l'île... S'ils venaient à débarquer..
-Oui c'est le pire qu'il pourrait nous arriver.
-Ils sont sans doute des centaines maintenant, et chacun d'eux est un guerrier redoutable. Il ne faut pas qu'ils posent pieds a terre.
-Nous veillerons a ce que ca n'arrive pas. Mais maintenant, c'est a moi de vous avertir de certaine chose pour que vous compreniez les enjeux et l'importance qu'on vos informations.
Le roi est mort, la reine assure la regence, et le frere du roi assure les armees et l'ordre. Mais son batard est “allie” a des demons pour voler le trone.
-Quoi ?! Allié ? Avec .... les démons ? Il a vole le trone?

Elle avait l'air choquee.

-Calmez vous. C'est possiblement des rumeurs a but politique. Mais il a bien vole le trone nous ne savons comment. Mais je sais que j'ai envoye une missive a sombralys pour leurs indiquer la situation de Stalynx. Et si nous n'avons pas de nouvelle, nous en aurons prochainement pour sur. Et c'est encore plus sur qu'ils voudront vous entendre.
-Oui..je devrais probablement aller la bas je pense maintenant que je suis plutôt remise. Je reste une soldat de sombralys.
-Or de question, les temps sont troubles et je n'ai pas les moyens de vous fournir une escorte suffisante. Il est plus prudent de les attendres.
-Les temps doivent etre vraiment mauvais si vous craigniez qu'on puisse s'en prendre a ceux qui portent l'uniforme de l'armee royale.
-Comme dit, les temps sont trouble, on ne saurait dire a quelle point. Mais vous etes trop importante pour que je prenne le moindre risque vous concernant. Et j'ai d'autre soucis, je dois deja m'assurer que personnes ne joigne Stalyns tout en ne declenchant aucune panique.

Elle se tappa le front ce qui n'annoncait pas de bonne nouvelle.

- Les pêcheurs.Ils doivent normalement nous apporter de la nourriture dans un mois... enfin .Combien de temps depuis que je suis parti ?
-Nous avons le temps pour l'empecher.

Elle avait l'air preocupee.

-Nous irons voir les pecheurs, rien ne touchera Stalynx. Et avec votre aide je suis sur que nous reussirons.
-Si cela fait 2 semaines... et qu'ils doivent nous livrer dans 2 semaines...Cela signifie qu'ils partiront en mer probablement cette semaine ou la semaine prochaine dernier délai

Elle semblait vraiment inquiete.

-Nous avons des agents sur places, ils se debrouilleront pour retarder le convoie. Ne vous inquietez pas. Je vous le redis, RIEN ne touchera Stalynx.

Elle hocha finalement la tete.

-Les pecheurs ne doivent pas nous inquieter. Mais, connaissez vous, ou pouvez vous imaginer un moyen de les arreter vu ce que vous avez vu?
-Non, ils se multiplient sans cesse...
-Quelles autres relations exterieurs aviez vous? Je la coupais pour accelerer la discution.
-Et bien depuis l'arrivée de Sir Elfiort nous n'avions plus de contact avec l'extérieur presque. déjà ce chargement de poissons a ce que j'ai compris durant mes années là bas c'était forcée par la Reine
-Quelles etaient les effectifs sur lile?
-Je n'ai pas le compte exacte, mais je dirai que nous étions peut-être 800 ou 900 gardiens, pour peut-être 4 ou 5000 prisonniers tout confondus
-Vous pourriez dresser une carte de l'ile de ces installations? Est ce quils pourraient construire une navire depuis lile?
-Je pourrais peut-être mais ne suis pas une grande dessinatrice
-Ce ne sont pas la qualite des dessins qui m'interesse...
-Et je doute mais je dirais que c'est possible. Ils ont du bois et des cordes, donc cela pourrait arrive.
-Bien. Combien de corbeau aviez vous?
-Heu... Je ne sais pas vraiment, la voliere est grande... Mais c'est tout ce que je peu vous dire.
-Quel dommage... Je soupirais, c'etait une information tres importante.
-Mais je peu vous dire que nous avons, enfin avions. De quoi armer facilement milles personnes de plus que le nombre de garde. Boucliers, armes, nous avions de quoi faire.
-Bien c'est deja cela. Les creatures etaient elles intelligentes?
Une idee commencait a naitre dans mon esprit.
- Une fois dans un corp... Et bien il n'y avait pas de difference avec une personne normal.
-Et vous ne les avez vu occuper que des etres vivants, pas les morts?
-Je crois qu'elles n'infectent pas les morts non. Enfin j'en ai eu l'impression.

Je pris temporairement une mine sombre devant le manque de precision de Dora.

-Bien dans ce cas je ne le prendrai pas pour acquis mais j'en tiendrai compte. Par rapport a la taille de l'ile et le nombre de personne, pensez vous qu'une equipe peu nombreuse pourrait reussir a s'infiltre pour detruire certaine installation. Mettre le feu aux forets ou quoi que ce soit
-Ce serait peut-être possible mais très compliqué... la facade ouest est très surveillé surtout grâce au jummelles des portos. Mais la facade Est a moins de postes de surveillance en temps normale et la végétation y est plus abondante
-Hmmm... Je pourrais avoir besoin de vous pour m'accompagner dans une expedition prochainement. Votre oeil nous serrait utiles.Bien sur vous et moi resterions en mer, et nous prendrions aucun risque pour eviter la capture d'un bateau
-Vous voulez vraiment tenter la chose ? Je veux dire la forêt est grande quand même... et si y avait des araignées encore a attendre ...

Elle eut un frisson, il n'etait pas different des autres mais celui ci m'agaca.

-J'attendrai votre carte avant de prendre ma decision. Essayez de faire vite.
-Bien, je ferrai au mieu.
-Faites, faites...

But :
Nourrir le corbeau pour qu'il survive

Méthode :
L'on gave le corbeau de grain bouillis pour qu'il survive

RP :

J'avais du mal à en croire mes yeux... Devais-je vraiment perdre de mon précieux temps parce qu'un garde n'était pas capable de la moindre initiative. Je soufflai et laissai un blanc s'installer.

-Soldat... Quelle utilite aurais je d'un Corbeau mort, ou d'un corbeau qui n'est plus la?
-Aucune je suppose.
-Bien. Donc?

Malgré tous mes espoirs son regard ne changea pas, Rien ne s'éveilla dans le regard, je ne demandais pas une tempête de réflexion mais là il ni eut rien. Même pas une petite vague.

-Vous allez... MAINTENIR ce corbeau EN VIE. J'accentuais les mots les plus importants pour être sûr qu'il comprenne bien sa mission.
-Mais Co...comment?
-Ca soldat c'est VOTRE mission...

Je lui fis signe de quitter la pièce, très déçu du comportement de mes hommes. Pris d'un doute soudain je préférai m'assurer que les choses serraient faites correctement.

-Gavez le avec du grain bouilli.

Puis le garde quitta enfin la pièce. Et je puis retourner à des pensées plus importantes.

But : Lancer la recherche

Méthode : Investir 30/30 or ( Grace a la doctrine

RP :
Nous Étions trois dans la pièce, moi, Morco notre architecte et charge de la recherche, Lyard le nouveau maitre des écuries. Les serviteurs étaient en train de déplacer les meubles et tout ce qui pourrait gêner. Tandis que Morco était penchée sur sa table de dessin et que Lyard se réjouissait par avance des futurs chevaux dont il aurait à s'occuper et surtout se réjouissait d'avoir mis un bâton dans les ronds de ses concurrents indépendants.J'inspectais moi-même la salle qui allait accueillir la première partie de nos nouvelles écuries. Je me réjouissais à cette idée, des chevaux, cela pourrait servir aux ballades, et peu être pourrions-nous passer plus de temps en famille... Non certainement pas, Armory était un homme occupé et de toute manière avais-je vraiment encore envie de passer du temps en sa compagnie. Il était évident que notre relation n'allait pas pour le mieux, les deux bâtards qui couraient et jouant dans le salon en témoignaient. Non pensais-je, pas la peine de t'en prendre à ces enfants, ils n'ont rien fait eux...Maitre Morco me sortit de mes réflexions.

- Madame? Voulez-vous jeter un oeil à mes premiers plans?
-Avec plaisir maitre Morco.
D'un rapide coup d'oeil je remarquais quelque ligne imparfaite et un air qui pourrait être agrandi.
- Euh, dites-moi, pourquoi ne pas redessiner cette ligne, ainsi toute cette partie serait renforcée. Et cet espace pourrait être légèrement agrandis, nous pourrions alors héberger quatre chevaux au lieu de trois, et nous ne perdrions presque aucun espace.
-Je vais me pencher sur vos demandes

Evidemment j'avais raison, je me demande si Armory aurait été fier de son épouse. Surement pas, il était exigeant, tellement exigeant que rien ne semblait lui convenir que la perfection et rien n'est jamais parfait pour lui. Je sentis une certaine tristesse. Mais bon, Armory avait donnent les moyens à ce projet, et il m'avait donne la responsabilité d'utiliser ces moyens. Je ferrai de mon mieux même si cela ne lui plairait surement pas.

But :
En apprendre plus sur les marchands (Familles, Serviteurs, allies) / Préparer le terrain aux négociation et aux “négociations” en gagnant des arguments, des preuves pour un futur procès

Méthode :
-Deux espions
-Surveillance des allez et venue
-Lire leurs correspondances
-Comptabiliser leurs biens

RP :

But :
Faire en sorte que l'un des marchands construise l'infrastructure economique et que l'autre (ou son argent) servent a construire un batiment de stockage

Méthode :
Etape 0: Demande au marchand de quitter la salle, il recevront une convocation individuel
Etape 1: Préparation de faux document incriminant / Modification des registres de prison ou lettre de Sombralys qui demande de le mettre au arrêt / Avec l’efficacité et l'observation du seigneur cela devrait etre “simple” de trouver des documents a falsifier

Etape 2: Convocation des deux marchands rendez vous dans la pièce secrète durant les derniers jours de la semaine
Etape 3: Demande changer de la construction d'une échoppe pour la construction d'un bâtiment de stockage en échange marier un de ses descendants a ma fille on mon fils non légitime pour le faire entrée dans la famille et anoblir leurs sangs (voir si un des marchands est célibataire faire deux mariages dont un avec la sœur de Eristof). D’abord l'on propose a Herio Matltador puis a l'autre

Pour celui accuser d'avoir vole du grain
Etape 4: Si échec de la négociation / Pour le moins honnête / Menace avec technique d'intimidation + Faux document avec pour objectif de le pousser a nous céder ses biens en échange de sa vie + Accusation de calomnie public contre son adversaire
Etape 5: Petit séjour dans les culs de basse fosse au secret

Etape 6: Optionnel si ils tentent de quitter la ville / Engager 20 Mercenaire pour leurs tendres une embuscade et nous ramener leurs richesses / Dépense de 40 or

RP :
La salle était prêtresse, sombre au possible, une forte odeur se renferme et quelques bougies se consumant lentement. Moi aussi j'étais prêt, une légère coloration plus sombre dans les cheveux pour assombrir mes traits, j'avais aussi vêtu l'armure familiale qui arborait le chaudron sanglant sur le plastron. Et une lourde cape venait conclure mon attirail. Tout ceci me donnait un airs plus sombres, plus sérieux, rien à voir avec les traits du seigneur Bivoix tel qu'on pouvait les apercevoir dans la grande salle.Ils étaient là aussi, deux rapports disposent devant moi et une troisième pile de documents intéressants. Je parcourut lentement tous les documents. Cela ferra l'affaire, de toute façon je n'aurai rien de mieux....

-Dans combien de temps doivent'ils arrives?
-Encore quelques minutes, le seigneur Herio serra en retard, il a un petit contretemps de chantier.
-Bien, bien. Les gardes sont prêt?
-Bien sûr, Moss, Gauvin et Pierre sont disposes à chaque entree, leurs physiques nous assureront un effet certain.

Je m'assis sur mon siège. Regardant les documents, scrutant chaque pierre. Et j'attendis pendant quelques minutes.

Enfin, j'entendis les bruits de pas qui descendaient l'escalier. Herio n'était visiblement pas rassuré de se retrouve ici dans ce genre d'ambiance. Je lui fis un signe de la main, il s'assit en reprenant sa respiration pour paraître calme.

-Bienvenue, j'ai beaucoup réfléchi à votre position. Et j'ai reçu des nouvelles de la capitale qui changeront beaucoup de choses. Toujours est-il que j'ai une offre pour vous. Plutôt que d'investir dans une échoppe je vous propose de rejoindre la cour des grands et les affaires de la ville. Que diriez-vous de commander et de gérer des stocks agricoles.
-Et quel profit pourrais-je bien faire?
-Si vous preniez la responsabilité de cette construction et que vous acceptiez le poste que je vous propose. Je vous donnerais également la main de ma fille bâtarde Rosy. Vous auriez sûrement un descendant à mettre sur la table des négociations pour unir nos deux familles. Vous m'ôteriez une épine du pied.

Il réfléchit pendant plusieurs minutes.

-Ais je le temps de la réflexion?
-Je reçois votre concurrent dans l'heure qui vient.
-Je vois... Dans ce cas je me dois de decliner.
-Parfait....
Je souris devant l'audace de ce paysan de refuser la main de mon sang, un sang abâtardi certes, mais mon sang tout de même.
-Dans ce cas felicitations, vous êtes l'heureux propriétaire d'une échoppe sur les terres de Solede. Vous recevrez un contrôleur fiscal dès que vous aurez ouvert, pour fixer l'impôt que vous devrez verser sur vos affaires.

Moss Racompagna Herio jusque dehors. Puis il redescendit avec Terio. À peine fut il entré qu'il prit la parole.

-Au vu du visage du paysan je suppose que vous avez tranché en sa faveur.
-Asseyez-vous. Et écoutez bien. J'ai une offre à vous faire, vous construirez un bâtiment de stockage puis vous l'administrerez.
-Qu'ai-je a faire du grain quand je peux avoir de l'or?-Et vous aurez la main de ma fille rosy pour un de vos fils.
-Avez-vous fait la même offre au paysan?-Si oui vous comprendrez que c'est une affaire qui me tient à coeur.
-Oui et bien je vous dis non. Je ne ramasse pas les restes d'un paysan, j'irai m'installer ailleurs.

Les deux refus consécutifs m'échauffèrent quelque peu. Ce merdeux de la capitale refusait lui aussi, et en plus il ne comprenait même pas mes sous-entendus. Turio se leva, et directement deux de mes gardes le prirent par les épaules et l'obligèrent à se rassoir.

-Restez ou vous êtes. Vu que vous refusez ma première offre, je vous propose une contre offre.-J'écoute? Turio perdit de son assurance et semblait presque inquiet.
-Il est évident que vous écoutez. J'ai reçu une lettre d'un ami de la capitale qui me dit de me méfier de vous. En plus de cela, j'ai ici un vieux document. Turio Alfio c'est cela? Comme vos ancêtres.
-Assurément, nous sommes une famille d'ancien marchand de la capitale.
-Pas seulement de la capitale apparemment...
-C’est-à-dire?
-Ce document, me dis qu'un de vos ancêtres a voulu faire des affaires ici. Du genre peu honnête et que le bourg-mestre d'alors a choisi d'exclure votre famille de notre fief à tout jamais.
-Mais c'est FAUX, nous ne sommes jamais venu ici.
-Ce n'est pas ce que dit ce document. Et si j'aurais pu passer l'éponge pour un membre de ma famille... Je me dois de faire respecter les lois ancienne et nouvelle.
-Que voulez-vous dire.
-Que malheureusement, Sombralys a decrete que la seule peine qu'un tribunal pouvait rendre serrait la peine capitale.
-Quoi? Mais c'est un complot, une calomnie.
-Bien sûr nous pourrions trouver des accords.-J'AI DES AMIS A LA CAPITALE ET DES MOYENS
Je me levai soudainement pour le dominer de ma stature.
-Rappelez-vous. Vous êtes le plus loin possible de la capitale, et au vu des événements actuels personnes n'aura rien à foutre de votre sort avant un moment. Aussi je vous propose cette échappatoire, si vous signez un document qui a disposition votre richesse, ou une partie suffisante pour construire les stockages dont j'ai besoin. En expliquant que vous souhaitez rendre hommage à la famille bivoix pour la noblesse dont elle fait preuve en accueillant les nécessiteux. Alors vous pourrez reste ici comme notre invite et avec le temps je suis sur que vous pourrez reconstruire une affaire.Alors qu'en dites-vous?

Je le regardai avec un air grave que cet idiot signe ou pas, ça ne changeait rien à mes projets.

Quelque temps après, Terio fut conduit dans les culs de basses fosses, menotte et bâillonne pour que personne ne puisse poser de questions et que lui-même ne puisse protester. Quelques jours plus tard ont annonça un procès contre lui.

« A Hugues de Lannoy, seigneur de Santes

Je regrette que vous ne puissiez-vous joindre à nous. Sachez cependant que vous êtes et serez toujours le bienvenu sur les terres de l’Ordre.

Vous souhaitant prospérité et bonheur,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

Envoi d’une réponse aux Grisons

Accueil favorisé pour les réfugiés ayant pu s’acquitter de la taxe (action de fief)

Financement d’un nouveau bâtiment de stockage : 124 Or du budget + 376 or de l’événement

Organisation du banquet + prévoir une oraison
 Accueil des invités et entretien individuel avec chacun d’eux
 Négociation avec Vinzentes (préparation avant voyage à Sombralys)
 Boisson alcoolisée à profusion et discussion informelle pour essayer d’apprendre l’alignement des factions vis-à-vis de l’héritier légitime.

Budget : 50 Or

Début de construction d’une nouvelle Terre agricole à l’aide de la population migrante.
Ceux qui ne souhaitent ou ne peuvent pas travailler paieront 1 d’or ou seront expulsés.

Courrier porté par Retia + 5 cavaliers

Budget de l’action : 10 Or

La menace royale

Cela faisait longtemps que l'Armée royale n'avait plus menacée les terres grisons. Plusieurs siècles en faite. Et voilà qu'aujourd'hui, plus de mille hommes en armes se dirige son territoire. Mais pourquoi donc ? Simplement pour la traverser et continuer vers l'Est ? Pour forcer les récalcitrants grisons à coopérer dans cette histoire de disparition de trône et de succession ? Où bien on t-il d'autre raison de se montrer ainsi ? Et comme si cela ne suffisait pas, on lui rapporte que des hommes armés rôdent dans les montagnes...

Le seigneur de Santes pousse un soupir alors qu'il revête sa tenue de guerre. Cela faisait longtemps qu'il ne l'avait pas mise. Il se sentait mal à l'aise à l'intérieur : le cuir renforcé le démangeait, les lanières qui maintient ses avant-bras lui mordait déjà la chair et plus que tout, il avait l'impression de ne pas être à sa place. Alors que son assistant termine de sangler son épée le long du flanc et de fixer le carquois de flèche dans son dos, Hugues de Lannoy se regarde dans le miroir. On aurait dit un étranger. Il n'est pas un guerrier. C'est un fermier, un homme qui vie de la terre et qui en récolte les fruits après de rudes journées sous le soleil mordant. Ses mains sont marqués par le travail et des rides couvrent déjà une partie de sa peau malgré son âge encore relativement jeune. Mais c'est un homme qui a le sens du devoir, et le sien est de protéger son peuple.

Le maître des lieux se dirige vers la cour de sa maison en traversant le jardin qu'il a entièrement rénové par lui-même. Il s'y arrête une courte minute, observant le résultat et profitant du calme de l'instant. Ensuite, il se rend auprès de son escorte et enfourche son cheval, Gilead, un pur-sang grison à la robe gris-cendre. Il porte son attention sur sa fille, la douce Luise :

Si il m'arrive quelque chose, tu seras la dame de Santes. Agi pour ton peuple et celui-ci te suivra quoiqu'il arrive.

Il n'y a pas de raison qu'il lui arrive quelque chose, mais Hugues ne fait pas confiance aux troupes royales, à l'instar de reste de son peuple. Sans autre forme de procès, il donne le signal de départ et la petite troupe se met en marche vers l'Armée royale.

- On entame la construction d'une forge à Santes en effectuant un premier investissement de 100 or. On enjoint la population à soutenir l'initiative en faisant appel à l'esprit communautaire et en soutenant que c'est dans l'intérêt de tous que ce bâtiment doit voir le jour afin que les Grisons puissent se protéger eux-même.

- Hugues de Lannoy se rend personnellement à la rencontre de l'Armée royale avec un détachement de 4 cavaliers, de 10 Homme d'Arme et de 10 Archers. Il s'y rend afin d'exiger les raisons de la présence d'une armée de cette importance qui se dirige vers ses terres. De plus, on prévient la population de se tenir prêt à réagir sur les ordres du seigneur de Santes.

- On réassigne les dix rôdeurs noirs afin d'enquêter dans les montagnes. Ils ont comme de coutume une autonomie totale sur la situation qui se présentera à eux, notamment sur la possibilité de ramener les deux enfants à Santes.

- On confie la pierre à Arilo et on lui donne carte blanche pour trouver des réponses sur cette pierre étrange et la vision qu'a eu Hugues de Lannoy.

- On continue de favoriser l'installation des réfugiés. Uniquement les plus démunis et qui qui montre la volonté de se rendre utile au sein des communautés Grisons.

« Seigneur,
La Couronne vous est reconnaissante d’avoir aider à accueilli la population, ou d’avoir réussi du moins à gérer son transit jusqu’à des terres plus propices d’opportunités pour eux.
Cependant, je ne vous cacherais pas que les troubles qui secouent le Royaume sont toujours présents, et la Couronne ne peut se permettre de se voiler la face sur cette réalité.
Les derniers évènements m’ont poussés à réfléchir à la sécurité de la Couronne. En effet, le vol du Trône Royal, en plein milieu de Palais Royal, montre les lacunes inhérentes à notre système.
Il est donc de mon devoir, en tant que Reine, en cette période de troubles, de démontrer la puissance de la Couronne, envers et contre toutes les menaces.
Et, il m’est apparu, qu’après ce tragique, un nouvel élément vient renforcer la fragilité de la Couronne..
La mise sous Tutelle de la Capitale sous le régime martiale de Sombralys, est la démonstration flagrante d’une tentative d’affaiblir la Couronne en montrant son incapacité à régner de manière efficace, et de l’amputer de l’Armée Royale, mises gracieusement sous les Ordres du Commandant Général. En effet, dans l’Ordre des Choses, Celui-ci n’est que la main armée de la Couronne, et ne devrait en aucun cas pouvoir se substituer, sur quelques matières que ce soit sur la Volonté Royale.

Je déclare donc que l’Autorité Sombralienne, en sus d’être illicite, d’être qu’une tentative de renverser la Couronne pour se l’accaparer.
En conséquent, je me vois contrainte à déclarer le Commandant Général Baldur Resath ennemi de la Couronne, au titre de conspiration visant à prendre le pouvoir.
Celui-ci dispose d’une semaine, daté d’aujourd’hui pour se rendre de son propre chef, et je lui garantirai un jugement impartial.
En revanche, s’il venait à refusait de se rendre, je le déclarerai comme Hors du Royaume.
La même sentence sera appliqué à l’ensemble des ses supports, ainsi qu’aux éventuelles troupes qui refuseront de se plier à l’Autorité Légitime Royale.

Blanche de Kalard,

Reine Légitime du Royaume Humain »

« A Hugues de Lannoy, seigneur de Santes

Je regrette que vous ne puissiez-vous joindre à nous. Sachez cependant que vous êtes et serez toujours le bienvenu sur les terres de l’Ordre.

Vous souhaitant prospérité et bonheur,

Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre »

" Sir Arnoult,
Sachez que cette nomination en des terres lointaines me chagrinent. En effet, il est toujours regrettable de devoir se séparer d'un conseiller loyal et fidèle, même si cela est pour la cause du Royaume...
Vous n'êtes pas sans savoir les terribles actes de trahisons perpétrés envers la Couronne, déjà par l'odieux traître à l'Humanité qu'est Sorod, mais aussi par ses supports...
D'après mes informations, il apparaitrait que ce traître ait passé du temps dans la Demeure du Seigneur Elwogna avant de passer à l'acte. Et qu'il aurait été aperçu dans le fief par la suite. Les informations rassemblées par Sombralys ont permis de conforté notre idée qu'il a pris part à l'instigation de ce complot. Et bien que je ne comprenne pas à l'heure actuelle pourquoi le Commandant Général Baldur refuse de l'envoyer sur l'île de Stalinx, nous ne pouvions le laisser à la tête d'un fief, aussi clairement séparatiste.
C'est pourquoi vous avez, avec mon plus grand respect, mais aussi avec ma plus grande tristesse, été choisie pour vous assurer d'étouffer les éventuelles volontés d'indépendances locales. Bien sûr, je me doute que les différents clans ne se laisseront probablement pas dicter leur conduite, mais je suis persuadé que vous saurez gagner leur confiance...
La Couronne, et moi-même, comptons sur votre loyauté profonde et votre grand sens du devoir. "

Retia dirige une troupe de 3 hommes d’armes, 3 panzerschultzes et 2 panzerhunds.
Elle va saisir l’intégralité des vivres et boissons accumulées pour le retour des aventuriers en rappelant aux contrevenants que le Décret Royal est encore en vigueur et qu’il vaudrait mieux pour eux que l’Ordre règne.
- Une fête officielle sera organisée pour le retour des aventuriers à l’aide des vivres et boissons réquisitionnées.
- Il sera vu avec le tavernier une taxe spéciale sur les aventuriers qui reviendra directement au royaume. Les prix seront gonflés de 50% sur toutes leurs consommations et commandes lors de cette soirée. Si des questions vis-à-vis de cette taxe devaient être posées, il sera indiqué qu’il s’agit de réparations liées aux dégâts et désordre causés pendant la fête précédente.
- La troupe veillera au grain pendant l’événement, des amendes d’1 pièce d’or seront distribuées aux personnes en état d’ébriété avancée (au jugement des gardes), ces personnes seront également exclues de l’événement. En cas de débordement, les émeutiers seront conduits aux cachots jusqu’à ce qu’une décision soit prise pour décider de leur sort.
- Si les fauteurs de troubles s’avèrent être les aventuriers, il sera demandé à Eva accompagnée de quelques serveuses de désarmer les enfants avant de les interpeller pour éviter toute effusion de sang inutile.

Eva et Dieter seront entendus par Retia qui fera un rapport complet sur le déroulé des évènements dans le donjon à Bernard. Des questions spécifiques comme :
- l’absence d’information par messagers
- l’inventaire des trouvailles seront posées.

Retia sera également chargée de s’assurer de la bonne santé physique et mentale des soldats, d’Eva et de Dieter avant de les autoriser à repartir.

- Délégation formée par Bernard, 5 cavaliers et 5 panzerschultzes (munis de chevaux pour le voyage) envoyée en direction de Sombralys.

Recrutement de 1 Espion et de 10 hommes d’armes

Budget : 95 Or

Otto prendra la tête à cheval de 6 panzerhunds pour aller chasser les bandits sur le territoire. Il passera la semaine à aller prendre des nouvelles des hameaux environnants et des fermes isolées afin de s’assurer qu’aucun danger ne rôde.

Il capturera les bandits vivants (autant que possible) et les conduira dans les geôles. Il estimera le danger en fonction des dires des villageois et ne s’engagera pas dans des batailles périlleuses. Si des bandits en grand nombres devaient être repérés, la retraite sera privilégiée et un rapport sera remis à Bernard à son retour contenant les informations pouvant permettre de décider un assaut.