Bienvenue,
Invité
|
SUJET : Le Royaume Humain :
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81098
|
Tour 5 :
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède Entre deux puissances, je fais vœux d'opportunismes : Cervelle d’oiseau:
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Je du resté presque deux minutes silencieux devant tant d’incompétence. Je réalisais l'immensité que pouvais atteindre la stupidité d'un humain. -Vous avez perdu l’oiseau ? -Et bien pas vraiment, puisque j'en ai trouvé un autre. -Oui.... Bien sur. Vous savez que je ne peu pas laisser passer une erreurs de cette importance. Toutefois je ne vais pas vous faire exécuter pour cela, car je vois que vous êtes plein de bonne volonté. -Çà pour sur, je suis le plus volontaire des volontaires. -Je suis heureux de vous l'entendre dire. Vous allez avec d'autre membre de notre garde vous voir confier une mission toute particulière de maintiens de la paix. -TOUT POUR SOLEDE, BOURG-MESTRE !!! Bon, je quittais la pièce. J’espère qu'un petit tour dans les hauteurs lui remettrait l'esprit en place. Et au moins je serrai débarrassé de cette anomalie cérébrale... Action Fief : Des piques et des flèches
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Augmenter la taille de l'armée de Solede Méthode : -Recrutement 10 Piquier et 20 archer RP : En l'absence de mon fils partit pour le nord, je dus accompagner sa femme pour recevoir le serment des premières recrues. Elle était contente de cet événement, cela la sortait de son quotidien, mais moi je trouvais cela navrant. Une trentaine d'hommes en armes supplémentaires, à quoi cela servirait face à n'importent quelle armée digne de ce nom? Bon, nos soldats n'étaient pas les plus mauvais et cela en toute honnêteté. Et leurs serments à servir notre famille? Au cul que cela, les hommes et les femmes de solede se servent d'abbord eux-mêmes. Et s'ils seront fidèles tant que tout ira bien, ils serviraient aussi bien le bourg mestre armory qu'un autre.Mais bon, mieux ne valait ça que rien. Je me demande si la vie était plus simple pour nos ancêtres simples mercenaires... Sans doute... Mais sans doute mangeaient'ils moins bien.Je pris une aile de dinde en regardant ma belle-fille. Elle avait mis une de ses plus belles robes et elle souriait joliment. -Olala, Dame Alysianne ces hommes ont l'air vaillant et celui-ci tir bien a l'arc, regarde il a touché sa cible. -ELIMINE dit la voix forte de l'instructeur. -Pas assez bien visiblement. -Hum... Je suis sure que Heymon se plaira bien dans ce voyage. -Oui assurément, il est important que les hommes de la famille tissent des liens entre eux. Tu parles, cet âne têtu et arrogant d'Armory ne considérait pas encore son fils comme vraiment digne d'intérêt alors qu'il avait treize ans. Et quand ils passaient du temps ensemble Armory était comme à sa habitude tellement exigeante qu'il était plus que désagréable. Bon, au moins avait il finit par accepter d'associer son fils aux activités du fief. Nous papotâmes ainsi une bonne partie de l'après-midi. Puis vint la course aux poussins. Une quarantaine d'homme parmi les derniers candidats se mirent à courir dans la cour pour attraper une des volailles de petite taille. Ils se battaient couraient, cherchaient du regard, c'était un joyeux bordel. L'un des hommes hurla lorsqu'l fut piétine par deux de ses camarades qui couraient après un des poussins. Après dix minutes du chaos le plus totale les trente gagnants étaient là, chacun avec son bébé en plus ou moins bon état. L'on sonna du cor alors que le soleil commençait à se coucher. Puis deux serviteurs amenèrent un grand chaudron de fonte et ils le placèrent juste devant nous. Ils allumèrent le feu et les soldats se mirent en rang. Trois pars trois ils suivirent la cérémonie. Ils avançaient, levaient la main tendant le poussin, sortaient leurs dagues personnelles et égorge le poussin avant de le vider dans le chaudron puis de couvrir leurs visages du sang qu'ils avaient sur les mains. Enfin ils d'Echangeaint leurs dagues sanglantes contre une dague neuve donnent par l'armurier et un verre d'eau de cheminée donne par moi-même Ce rituel sanglant symbolisait trois choses. Premièrement la réussite car ils avaient réussi leurs épreuves et c'étaient montre meilleure que les autres, le poussin était la preuve de leurs réussites. Secondement le sacrifice sanglant du poussin était une preuve de leur capacité à ne pas éprouver de peine ou de compassion pour des choses fragiles, sans importance. Ils auraient encore du sang sur les mains autant qu'ils n'en aient pas peurs.Et enfin, les trois dons, les dons du poussin montrent que leurs réussites étaient dues à la bonté de la maison bivoix, le don de la dague était une reconnaissance de leurs statuts par la maison bivoix, et le verre d'alcool étaient une preuve de l'abondance de la maison bivoix. Une fois le sacrifice des trente poussins fini, les nouveaux soldats eurent chacun les devoirs de prononcer leurs serments personnels devant Dame Graciana, elle était le témoin au nom de son mari. Armory aurait préféré avoir une autre solution mais il n'en avait pas et elle croyait a tort qu'il s'agissait d'une preuve de confiance. Action seigneurial : Négociation de première ordre
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Empêcher les pécheurs de partir + Négociation avec les salé Méthode : -Envoie d'une délégation (Le Seigneur, Son fils, 15 Cavalier 1 Espion) -Sépare en deux groupes (Seigneur, Son fils et 10 Cavalier vers fief Salé / Espion et 5 Cavalier) -Groupe Chargé de négocier et groupe de secours servira à stopper les pécheurs en les suivants et en les interceptant quand ils poseront le pied a terre (Si les négociations échouent). -Négociation techs et relation diplomatique (voir jusques ou on pourra allé) RP : Nil assez rapide pour nous de rejoindre la frontière, et la première bourgade. Heureusement nous arrivâmes à temps et je pus m'entretenir juste avant leur départ. En échange de quelque pièce d'or pour les pêcheurs à leur arrivée à solede j'obtins qu'ils déposent la marchandisent dans ma propre ville. Il était heureux que nous soyons arrivé à temps, sinon Solar seul aurait pu nous sauver. Nous séjournâmes quelque peu avec les habitants, et monnayant 1 pièce d'or pour le passage et le retour nous nous mirent en route, suivant des indications précises mais très paysannes dans leurs formes.Après les gros cailloux nous tournament vers la côte pour trouver le grand arbre (et il était vraiment incroyablement grand) enfin nous dument chevaucher vers le nord pour trouver le rocher fondu et la ville. Nous arrivâmes dans la “ville”. Une agglomération à peine plus grande que la précédente. Les gardes des portes surveillant la porte décrépie d'une ancienne palissade. Ils surveillaient cette entree pour mieux laisse vides les trous qui se succédaient tous les 3 metres à partir de la. Nous entrâmes aussi facilement que dans un moulin. S'il y avait plus de soldats dans cette bourgade, leurs incompétences visibles me firent presque relativiser l'incompétence récente de mes soldats. Il aurait pu être difficile à moins observateurs que moi de trouver la demeure des seigneurs. Tant toutes les cabanes semblaient se ressembler les unes aux autres. Cependant je remarquai une maison plus grande que les autres, et visiblement garde par deux hommes en armes. Aussi j'orienta mon groupe vers cette demeures. Je descendis de mon cheval, rapidement suivirent par mon fils et certains de mes hommes. Alors que je montais les quelques marches pour joindre la porte, deux gardes ouvrirent les portes à la façon dont l'auraient fait les portiers de ma demeure. L'on ne posa aucune question, pas plus qu'on ne se méfiait de nous. Nous entraimons, j'entendis les échos d'un chant qui se fit de plus en plus clair au fur et à mesure que j'approchais. Je laissai traine mon oreille pour entre les chants. “Le donjon maudit, les portes sont clos, les héros grandissent, cherchent l'or et une rose.” “Méchant Bâtard, Tu sors les demons, Ruse comme un renard, Tu cherches la baston” “route de sang, les marchands sans sous. Route de brigand, beau temps pour les voyous” “les enfants innocent, arrache à leurs foyers, par de vrais méchants, les parents ont paye, mais le malheur ne c'est pas arrête.“Capture le géant Elwogna, par la belle blanche, on lui a coupé le manche, avec l'affaire finit la belle régna Lasse par les rymes autant que par les histoires, je finis par signaler ma présence d'un tonitruant: - Le seigneur de Bivoix vient donner ses salutations aux seigneurs Tortas du fief de sales. -Allons asseyez-vous ne soyez pas si formel. dit l'un des deux hommes assit en bout de table. Surpris je m'exécutai et je m'assis, mon fils au côté. - Jai une offre à vous faire. -Tttttt, avant nous buvons. C'est la tradition... -Eh bien... Si c'est la tradition. J'acceptai le verre rempli que l'on me servit. Il était choquant de constater l'écart entre les verres que l'on me servit et les verres dont eux-mêmes se servirent. Mon fils et moi-même burent à l'unisson avec les deux hommes.L'alcool était fort, c'était peu de le dire on avait l'impression d'avaler un brasier, mais le pire était la sensation d'arrière gout. Comme si un bloc de sel vous tombait en travers de la gorge. Mon fils fut défait par cette ennemie, trop coriace pour ses jeunes papilles. Les deux frères ayant fini leurs pintes, ils sourirent. - Bien, vous avez bu. Nous pouvons parler. -Et bien en premier lieu je suis ravi d'être reçu chez vous. Et si je suis venue c'est pour transmettre plusieurs offres. -Dites, dites. -Et bien en premier lieu il est très important pour des raisons logistiques et pratique que toutes les marchandises destinées à Stalynx passent d'abbord par Solede. Nous pourrons ainsi les embarquer sur de plus gros navires et le voyage en serra facilite. -Eh bien, ça ne pose pas de problème? -Non-ca ne pose pas de problème. -Jai déjà fait prévenir vos sujets qu'il fallait qu'ils changent de cap. -Par rapport à quoi? -La livraison que vous devez effectuer pour les Kalards. -Ah oui... Euh quoi? Ils appelèrent un homme et baragouinèrent dans un dialecte local. - Ah oui... eh bien vous avez bien fait. -Et le reste? dit un des frères curieux. - Êtes-vous mariés? -Oui malheureusement... Elles sont à leur place, dans la cuisine... Ou au lit. -Et avez-vous des enfants. -Oui mais pas avec ma femme. -Heureusement, mais oui pareils pour moi je crois. -Ah bien... Je songeais perplexe à ce qu'il fallait penser de ces deux hommes. - J'aurai également souhaité que nous entretenions des échanges cordiaux. Que nous entrions dans une relation qui nous permet de compenser nos faiblesses. -Nous n'avons pas vraiment de faiblesse. -Oui bien sur, mais vos savoirs et mes savoirs pourraient grandir nos deux fiefs. -Ah oui et vous savez faire quoi?-Eh bien nous savons entretenir des troupes de théâtre, très divertissante. -Ah oui ça c'est intéressant.-Énormément même, l'on se lasse parfois des bardes.-Et je peux vous proposer un moyen de récolter plus d'impôts. -On n'a jamais assez d'argent. -C'est sur. Et la discussion se prolongea quelque peu, le temps que nous exprimions nos désirs d'échanger nos savoirs pour le plus grand bien de tous. Mais je décidai de ramener la discussion sur le vrai sujet de ma venue. - Enfin je dirai que les temps sont plus que trouble, et les fiefs mineurs comme nous devons accroitre notre puissance pour pouvoir naviguer dans cette mer agitent. -Oui mais que voulez-vous dire? -Eh bien, il serait intéressant de former une alliance, une sorte de conseil. Je pourrais vous proposer une sorte de fusion. Ou en échange d'un paiement et d'un hommage je pourrais vous assurer une sécurité et vous faire bénéficier de mes relations. S'ensuivit une longue discussion, ou je réalisais la décoction totale des deux frères sur la réalité politique du royaume et leurs fiefs. Ils pensaient tous deux que solede était un village semblable à ceux qu'ils dirigeaient. Ils étaient sûrs que leurs armées étaient efficaces... Mais je mesurai aussi leurs vanités et songeais au manoeuvre à entretenir pour flatter leurs opinions d'eux meme. Après avoir tenté des convaincre du bienfait d'une confédération, et surtout après avoir tenté d'expliquer le sens politique de ce mot. Nous finirent pars nous séparer alors que je les invites à se rendre dans mon fief. Budget de recherche = 20 Emprunt a rembourser tour 7 = 94 Budget Restant = 543 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81100
|
Tour 5 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Réponse à l'action gratuite : Je lâchais un soupire. Me voilà à peine arrivé et déjà me voilà harceler par mes sujets. Ne pouvait-il pas au moins respecter la trêve matinal ? Mais, fidèle à ma charge, je me ressaisis, m'efforçais de reprendre un aire enjoué en déclarant : « Mais bien sûre ! Par pitié ne les faites guère attendre. Débarrassez-moi cette table. De l'eau pour me débarbouiller. Et toi - m’adressais-je au premier serviteur dans mon champ de vision – veux tu bien chercher un cidre parmi nos meilleurs et des bolets pour nos respectables invités ! »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
On fit entrer trois chefs et chacun s'annonça spontanément. Ce présentèrent ainsi Hiltor du clan Mhuidáin, dont l'apparat donnais le ton de la prospérité de son clan, Julgus du clan Dhomhnáin, qui lui vêtait bien plus sobrement ce qui faisait ressortir le tartan de sa toge signifiant son clan et son statut et Welga du clan Gáibheafáin, habillée d'habits riches de détails mais d'un ensemble assez hirsute, sans parler de ces... branches ? Coincées dans sa complexe coiffure.
Je les invitais à s'asseoir et leur fit apporter à boire tentant d'égailler quelque peu leur sinistre expression du visage. Ils prirent place à ma table, mais ne semblais pas se soucier d'une quelconque règle d'étiquette à l'heure de choisir leur chaise. C'est alors que Julgus démarra la discussion avec ces termes : « Nha sim orrem dhut ospis, ceann. » J'observais une seconde de surprise devant ces mots incompréhensibles tandis que les chefs buvaient naturellement ensemble une gorgée du cidre qu'on leur avait servis. « Je vous prie Juglus de m'excuser de vous faire répéter, mais je crains ne pas vous avoir compris. » Répondis-je. Les convives s'échangèrent alors des regards amusés et Juglus repris, me regardant droit dans les yeux et prenant soin d'articuler chaque syllabe. « Nha – sim – orrem – dhut – ospis - ceann. » Je ne répondis pas, laissant un silence. Welga pris alors la parole : « Excusez notre ami sir, la phrase qu'il a prononcée est une formule de remerciement envers votre hospitalité. Nous sommes tous tout à fait conscients de votre récente arrivé en nos terres et somme tout à fait compréhensifs envers votre manque de familiarité avec la Vieille Langue. Seulement quand vous avez demandé de répéter l'occasion était trop belle pour ne pas en profiter. (« Misère » pensais-je.) - Il n'y a aucun problème ! - clamais-je – Mais je vous en prie, dite moi que me vaut votre si matinal visite ? Remarquer je comptais sous peux tenir une assemblée des clans. Mais s'il est des choses dont vous voulez me faire part d'avance je vous écoute. - Nous venons vous voir, car vous êtes le nouveau seigneur de Thulgairn – reprit Welga – et que voir votre prédécesseur se faire déposer par un corps d'armée sombralien nous rend inquiets envers les représailles qui pourraient retomber sur nos clans et notre peuple. D'autant qu'ils ont laissé un important contingent derrière eux. - Je vois... Êtes-vous au courant des raisons qui ont poussé la reine Blanche de Kalard, régente du royaume, à destituer le seigneur Elwogna et à me nommer à sa suite seigneur du fief des terres de l'Esganie ? - Nous avons appris votre arrivée par les soldats sombraliens, nous n'en savons guère plus. - Elwogna a été accusé de haute trahison envers la Couronne de Centralions pour avoir comploté avec le traître Sorod, ennemie du royaume. - les visages se firent graves – Aussi je peux vous affirmer à présent que seul ces complices auront à craindre des troupes sombraliennes qui sont ici pour assurer la protection de nos gens. Je vous affirme en tant que seigneur d'Eizegann que les statuts des clans n'en seront pas impactés et je me porterai moi-même garant de la sûreté de notre peuple. Aussi vrai que vos clans seront fidèles au pouvoir légitime et je sais qu'ils le sont restés depuis huit siècles, je peux vous assurer que la Vieille-Coutûme sera préservée en Esganie. » À ces mots Julgus se leva, fini son cidre et le reposât vivement le verre renversé et vide sur la table, bientôt suivie des autres chefs. Tous me regardèrent attendant ma réaction. Par ce signe un peu rustre les ésgans signifiait être satisfait par la discussion qui s'était tenue. C'est pourquoi à mon tour je finissais ma boisson et reposais mon verre renversé et vide sur la table, concluant ainsi la discussion. Les chefs paraissaient satisfaits. Ils se retirèrent en m'adressant un salut en leur langue. Quand ils s'en furent en allé je fis congédié mes serviteurs pour, une fois seul, enfin pouvoir proffiter de ma matinée. Régner sur ces gens sera un long chemin semer d'embûche et, pauvre de moi, je suis celui que le destin a désigné pour cette charge. Mais c'est pour le bien de ces gens que je suis là. Action seigneurial : l’appel à une amie. Le soleil était depuis peu et déjà je devais trimer sur mon bureau. Je relisais une dernière fois le courrier royal de ce matin. Il avait suivi mon arrivée de quelques jours à peine et allait me contraindre à une série de courriers que je ne allais guère apprécier rédiger. De longs ennuies s'annonçaient pour ma régence. Mais je ne pouvais pas me permettre de me décourager face à la pesante adversité. Aussi, j'allais commencer par les affaires inhérentes à ma prise de fonction avant de m'infliger de nouveaux problèmes.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« A la Mère Una, abbesse de Cwmduad.
Ma très chère amie. Vous le savez déjà cela fait deux jours que je me suis installé à Tuhlgairn. Mais me voilà à peine arriver sur les terres de votre peuple que déjà l'on me réclame partout à la fois et me revoilà à quémander vos sages conseils. Plus précisément je dois reconnaître ma méconnaissance des terres qui bordent les nôtres et je vous demande à ce propos de réunir tous les renseignements dont l'Ordre ou vous même vous disposez sur les fiefs mineurs et majeurs avoisinant l'Esganie et de me la faire parvenir dans les plus brefs délai afin que je puisse m'en instruire. Je voudrais connaître leur nature, leur mœurs, leurs antécédents avec l'Esganie et leurs dispositions envers nous. Il est une autre requête que je dois vous faire. Depuis la mort de ma première épouse le mariage ne m'avait pas reparue une nécessité jusqu'à présent. Mais ma nouvelle fonction m'oblige à songer à ma descendance. C'est pourquoi je prends conseil auprès de vous sur les bons partis, en âge, présents tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de nos terres. Je sais que vous comprendrez ma situation et vous remercie d'avance pour votre aide. Il me tarde de goutter au fameux cidre de votre monastère, mais mon important devoir me retiendrons ici tant que ces clans impatients n'aurons pas été débarrasser de leurs inquiétudes. Si vous pouviez vous libérer pour venir à la coure cela ferait le plus grand bien aux esprits de chacun. D'autant que d'autres sombres nouvelles viennent à mes oreilles.
Au plaisir de vous revoir.
Votre ami, Sir Arnoult Dol, Seigneur d’Eizegann. » Action de fief : l’assemblé des clans. Voilà plusieurs heures que je m'entretenais avec le chambellan du château et le soleil était à son zénith. J'étais simplement venue lui donner mes instructions pour l'assemblée des clans que je comptais tenir dans les prochains jours, mais rapidement la discussion touchait les différents eusses et coutumes de l'"étiquette" ésganne. Si seulement l'on pouvait appeler ainsi cet ensemble de traditions complexes et vieillissantes a ne surtout pas enfreindre sous peine de contrarier ses interlocuteurs. Bien loin sont des règles de la courtoisie de Centralys. Cependant, je devais me plier à ces longues explications pour ne pas commettre un faux pas plus grave que celui de la dernière fois.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Détaille de l’action :
Convoquer une assemblée de l'ensemble des clans, les détailles protocolaires seront laissé au chambellan. But : - Les informer de la situation, des raisons de ma venue et du "départ" de mon prédécésseur. - Rassurer les clans sur la préservation de leur statut, de leurs peuples et de la Vieille-Coutûme. - M'informer sur les affaires pressantes du royaume et sur les demandes des chefs. Une fois que l’atmosphère sera rassurée, il sera temps d’aborder la petite question de la supposée trahison Sombralienne. Budget restant : 105 or |
Dernière édition: par Sardine.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81104
|
Tour 5 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Refus d'assistance Hugues de Lannoy est réaliste : il ne peut s’opposer seul à ce corps d’armée de traverser ses terres et même s’il y arriverait, il ne pourra simplement pas arrêter le courroux de la couronne et son peuple souffrira de sa décision. Par contre, il est hors de question de les aider. Après tout, comment les Grisons pourraient le considérer comme leur seigneur s’il se mets à ramper devant Sombralys et la Couronne dès qu’ils l’ordonnent ? - Maréchal, si la couronne vous ordonne de passer, faites. Mais n’espérez pas obtenir la moindre aide de m’a part, les réfugiés qui vous fuient accapare déjà mon attention. Au plaisir de ne jamais vous revoir. Sur ce, le seigneur de Santes fait faire demi-tour à sa monture en direction de son fief et accompagné de son escorte. Action fief : « Il faut continuer d’investir dans le développement de la forge afin d’assurer la sécurité du peuple Grison. Quant aux réfugiers, on leur montre les bienfaits de notre culture par rapport à la vie étouffante de la capitale. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- On investit 50 or de plus dans la forge. De plus, on investit 50 or dans l’intégration des réfugiés en leur inculquant la culture grison et la bonté du seigneur de Santes.
Action seigneuriale : « Cette missive de la couronne est des plus surprenante et pourrait grandement nous servir. Il faut que je contacte les Kallards. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
A vous dame Vivianie Kalard,
Les nouvelles provenant de la capitale m’oblige à prendre contact avec vous. Comme vous le savez, ma famille n’a jamais apprécié la couronne. Cependant, nous avons toujours respecté son autorité. Notre égare vis-à-vis de la couronne ne s’applique pas à Sombralys. Pas plus tard que cette semaine, le 4e corps d’armée de Sombralys s'est poster devant nos terres et ont essayés d'acheter notre loyauté. J'ai bien entendu rejeté l'offre... C’est pourquoi, aux vues de la déclaration récente de Blanche de Kalard, nous demandons votre soutien afin de pouvoir faire front aux parjurés si ceux-ci veulent de nouveau se risquer à travers le territoire grison. En attendant rapidement de vos nouvelles, veuillez accepter mes plus profonds vœux de prospérité. Hugues de Lannoy, seigneur Santes et représentant du peuple Grison. Actions gratuites : « Jamais nous n’aiderons volontairement les chiens de gardes de la couronne, jamais. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- On laisse passer le corps d’armée mais on s’assure qu’il n’y a pas de débordement de leur part. On affiche notre méfiance.
Budget restant : 74 or |
Dernière édition: par Solkills.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81112
|
Tour 5 : La fin du début
Suivants les informations, et les ordres sous jacents, de la Reine ayant accompagnés la lettre de mise en demeure de se rendre, le Commandant-Général donna les ordres de mouvements à plusieurs des différents Corps d'Armée. C'est ainsi qu'il se retrouva à envoyé le 5e Corps d'Armée au travers du Continent pour mettre aux arrêts un soi-disant opposant de la Reine Esgan, et à faire escorter son remplaçant : un jeune parvenu de la Cour ayant comme unique fait d'armes d'avoir participé à l'Armée en temps de paix, et d'avoir su cirer les bottes des bonnes personnes aux bons moments. Il prit aussi la liberté d'envoyer le 4ème Corps avec une mission importante et délicate, espérant qu'ils arriveraient à temps. Alors que 5 Corps d'armées étaient envoyés vers l'intérieur du continent pour sécuriser les récoltes à venir, le Commandant-Général regardait avec tristesse la table de l'Etat-major devant lui.. Un sentiment partagé entre la tristesse des années passées pour finir victime de cette accusation injuste, mais aussi entre l'inquiétude d'avoir dû disperser autant ses troupes, manœuvre hô combien regretté et regrettable par le passé.. Il laissa survoler sa main au dessus de la table, puis saisis la figurine représentant le 10e : "Faites replier le 10e de l'intérieur de la Capitale, notre présence n'y est plus opportune, laisser juste quelques groupes armées le temps que l'Armée Royale se redéplie dans les rues. Notre retrait ne doit pas laisser pour autant l'opportunité à des intentions mauvaises de s'en saisir.." "... Quand à la mise en demeure de la Reine... Si je refusais de m'y plier, je deviendrais coupable de ce dont elle m'accuse. Je crains de ne pas avoir le choix. Je me rendrais moi-même. Et avant que tu répliques Gérald, Tu sera en charge du 1er Corps ET de Sombralys quand ce sera le cas, et je refuse que l'Armée vienne me soustraire. J'ai le droit et le support du Conseil Restreint, je n'aurais pas à m'inquiéter, du moment que nous ne leur donnons pas de raisons de douter de ma conduite. Et si la Reine, dans un élan d'ambition l'oubliait, elle montrerait à tous son véritable visage.. Cela serait un mal pour un Bien...Je suppose." "Je vous en prie. Reconsidérez votre position Baldur ... En toute franchise, cela fait combien de temps que je suis à votre côté ? Et pour une fois, je ne peux que protester à votre décision... La Reine ne s'arrêtera pas là, et toute l'Unité du Royaume est dans la Balance... C'est pour cela que nous vous avions soutenus lors de votre déclaration de légitimité. Mais si vous disparaissez maintenant, Solaar nous en garde, alors le Royaume irait à sa perte ... Qui pourrait arrêter votre Belle-Soeur ? Ou qui aurait la capacité de lutter contre les agissements de Sorod ?" "Sorod... Il pourrait tout aussi bien être mort à l'heure qu'il est.. le 15ème n'a toujours aucunes piste, et je crains que celle de la Reine ne servent qu'à jeter de la Poudre aux yeux. Il est vrai que les Esgans ne sont pas friands du Royaume,et qu'ils ont une longue histoire avec la magie... Mais de là à venir en aide à un utilisateur de Démonologie? Je pense le Seigneur Elwogna beaucoup plus intelligent. Et j'espère que son interrogatoire ici, avant de le livrer à la Reine vous donnera les clés pour comprendre le jeu qui se déroule en arrière-plan..." "Votre décision est prise donc? Et rien ne pourrait vous en faire changer d'avis ?" "Il n'y a que les gens stupides qui ne changent pas d'avis et ne s'adapte pas...C'est le pourquoi bien des généraux perdent des batailles gagnées d'avances... Mais je crains que peu de choses me feraient changer de plan au vu des informations que nous possédons.." "En parlant d'informations, d'après un rapport d'avant-poste, le Seigneur Bernard Honenburg, de la Communauté de l'Ordre, semble se diriger vers ici avec une escorte légère..." "Et ? En quoi est-ce surprenant ? Ils ont toujours été loyaux à Sombralys il me semble... Il doit avoir une chose importante à dire pour prendre la peine de venir en personne... J'attendrais ses informations pour ré-évaluer ma situation, mais commence les préparatifs pour la passation de Commandement" Alors que Le Commandant-Général recevait son invité, voilà que son vice-maréchal rentre en trombe dans la salle : « Commandant ! Les Kalards et les Rhahans sont aux portes de Sombralys ! Ils nous assiègent ! » Après avoir rapidement abrégé l'entretien, Baldur Resath ainsi que Gérald sortent rapidement avec une escorte de cavalier pour se rendre aux murailles extérieures. Alors que ceux-ci sortent de la Citadelle de Sombralys, voilà que des centaines d'oiseaux sont libérés, volants dans les cieux rapidement dans diverses directions, bien que la majorité se dirigent vers le continent.... Arrivés sur les murailles extérieures, les yeux de Baldur saisissent la situation qui se présente à lui: bien que la totalité des armées Kalards ne semblent pas être présentes, un nombre important de celles-ci se déploient devant ses yeux, alors que de l'autre côté se trouve des armées mercenaires des Kalards... Fort heureusement, pas de trace d'armure en Or visible pour l'instant, signe que les armées d'élites Rahans ne sont pas engagés ici... Par volonté de ne pas prendre parti ? Ou par déploiement ailleurs ? Pris d'un doute, le Commandant-général se précipite sur une carte du Royaume, et commence à regarder frénétiquement les ordres de marches des unités envoyées.. "Le 5ème... " Le Commandant envoie valser la figurine les représentants dans un élan de rage qu'il n'arrive pas à refréner.. Alors que le Commandant-général commençait à entrevoir certaines pièces et rouages de la situations, à plusieurs centaines de kilomètres de là, le 5ème était perdu.. Sur le chemin du retour, escortant le Seigneur Elwogna qui criait, tant qu'il avait de la voix au début du moins, son innocence et le complot contre lui et son fief, le 5ème marchait à vive allure... Et alors qu'ils avançaient l'esprit léger du succès rapide de leur mission, l'Enfer Doré s'abattit sur eux. Personne n'aurait pu le prédire, ou encore l'éviter.. Pendant quelques heures certains réussirent à se défendre, repoussant tant bien que mal les armées qui leur tomber dessus en nombre, mais le constat était terrible. Lors du premier choc, non préparé, les troupes Rahans avaient percés les colonnes de marches de la 5ème... En quelques minutes, le maréchal était tombé, frappé dans le dos par l'un de ses soldats, sans doute corrompu, brisant la chaine de Commandement alors que le vice-maréchal luttait pour reprendre le contrôle de sa propre colonne. L'avant-garde avait été balayé, et si l'arrière-garde n'avait pas subis le même sort, cela était du uniquement à la dispersion de la Colonne de marche, empêchant les troupes dorées de les atteindre en même temps... Vos fiefs n’ont pas de connaissances de ce qu’il se passe actuellement (sauf mention contraire dans votre tour) Maison des Bivoix - Momo L’entraînement des troupes commencent réellement… Rien ne sera plus comme avant pour ses nouvelles recrues… sauf au niveau de leur intelligence, malheureusement la Maison Bivoix ne peut rendre plus intelligent les gens...Pas pour l’instant en tout cas.. Le Retour de ta délégation se fait sans soucis. A ton retour, les marchandises ont été déposées dans une des salles de ta Demeure, tout à l’air intact, bien que les tissus sentent légèrement le poisson encore.. Cependant le meuble émets de la lumière la nuit, une douce lumière bleutée qui filtrent sous ta porte. Décidé à ne dissimuler cela le temps de comprendre, tu l’a recouverte d’un morceau de tissu pour cacher sa lumière. Tu reçois un messager, accompagné d’une vingtaine de cavaliers lourdement armurés, arborant le symbole du 4ème Corps d’Armée de Sombralys. « Seigneur bivoix ! Je suis le Sergent Yamamoto. Je viens de la part du Maréchal Armstrong. Et ceci est de la plus haute importance» Il te tends une lettre cachetée, que tu ouvres prestement :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Seigneur Armory de Bivoix,
Je suis le maréchal Armstrong, du 4ème Corps d’Armée de Sombralys. Nous avons reçu l’ordre du Commandant-Général de nous mettre en route vers votre fief au plus vite pour remplir plusieurs missions d’une importance majeure d’après les informations qui nous ont été transmises. Premièrement, nous devons récupérer et ramener à Sombralys une garde de Stalinx que vous auriez repêché il y a de cela quelques semaines. Je vous prierais de la remettre au lieutenant Yamamoto afin qu’il puisse l’escorter au plus vite jusqu’à nous. Deuxièmement, nous avons comme mission de nous placer sous votre Commandement temporaire afin de recevoir des ordres d’affectations afin de lutter contre la révolte des prisonniers de l’île de Stalinx et qui en aurait pris le contrôle afin d’éviter une éventuelle fuite de ceux-ci. Troisièmement, nous avons comme ordre final d’organiser, sous votre commandement, la récupération de l’île des mains des prisonniers. » Maréchal Armstrong, 4ème Corps d’Armée Sombralien En discutant un peu plus avec le lieutenant Yamamoto, tu peux apprendre que le 4ème Corps d’Armée devrait avoir franchi la rivière avec l’aide du fief des Grisons et devrait arriver d’ici deux ou trois semaines. La présence de la Force armée en déplacement vers toi est ainsi l’une des meilleures occasions de faciliter le trajet de la garde à bon port. Réaction Gratuite : pour renvoyer la Garde avec l’escorte vers la 4ème Budget du Tour : 753 Or Remboursement attendu à la fin du Tour 7 : 94 Or (action gratuite) Communauté de l’Ordre – Lorwin Le Retour des Aventuriers sera dans la douleur et dans la peine.. Non pas parce que tu as confisqué les boissons, mais car sur l’ensemble des gens partis, il en manquera tellement… Bien sûr, les « aventuriers » ainsi qu’Eva et Dieter viendront te faire un rapport dans l’instant : « Seigneur ….C’était horrible... » Eva pleure « Je crains qu’Eva n’est plus la force messire, peut elle aller se reposer ? Elle en a cruellement besoin.. » Devant leurs mines fatiguées, et l’état désastreux de leurs loques de vêtements, tu acquiesce silencieusement...Eva sort, portés par 2 de ses camarades, elle mettra une semaine à se remettre de la fatigue mentale et physique… Contrairement à leurs habitudes, les « gamins » restent muets dans leur coin, Jean est couvert de sang, comme s’il s’était plongé dans un bain de sang, le jeune Jyrhad te semblent avoir au moins un bras cassé vu l’angle de celui-ci, et le jeune joseph, les yeux dans le vide, reste accroché à son bâton, les phalanges blanchies par l’effort qu’il exerce sur celui-ci.. Dieter semble être le seul plus ou moins intact, bien que ses vêtements soient également dans un très mauvais état, et que son visage exprime la plus grande fatigue que tu es vu… Il s’assoit, et pousse un soupire de soulagement.. « Par où commencer… Je suppose par le commencement ? Non ne m’interrompez pas… Je n’aurais pas la force de recommencer alors je vous prie, écoutez bien.. Nous sommes partis, confiants, sans doute trop, et si le trajet c’est bien fait, nous avons dû éviter beaucoup de patrouilles, sans trop de problème… Arriver dans le Donjon, nous avons compris rapidement qu’il serait compliqué, si ce n’est impossible de suivre le plan.. Pas d’endroit pour cacher nos trouvailles, et l’intérieur était tellement grand. Si nous devions ressortir à chaque fois, nous n’aurions jamais terminé de le visiter… Nous avons pris la résolution avec Eva d’embaucher les gens et de ne ressortir qu’à la fin, hormis pour le messager qui a du vous arriver entre-temps … » Tu t’apprêtes à faire une remarque, mais t’interromps en te rappelant ses mots.. « Nous avons donc tout fait.. Mais .. mais cela était horribles.. les pièges se déclenchaient, parfois quand nous sortions, parfois quand nous entrions, parfois quand nous étions en train de dormir… C’est ainsi que nous avons perdu Martin… Une lame est tombée du plafond, sans signes avant coureur alors qu’on dormait.. Il a été.. IL a été coupé en deux… » Il frissonne « Nos armures ont protégés parfois, et parfois on était notre perte… dans une salle il faisait tellement chaud.. nos armures ont brûlé Ivan… J’entends encore ses cris quand je fermes les yeux... » Il pleure « Et puis… Et puis il y a eu ces hommes verts… des démons… Ils venaient.. ils repartaient… Il ne nous tuaient pas, ils jouaient avec nous … Ils ont tués beaucoup à forces.. Et ils ont cassés le bras du petit. Jean a réussi à nous en débarrasser, bien qu’Eva a failli y passer avec lui en le faisant… Et le petit...Depuis tout ses morts il reste accroché à son bâton.. Pourrais-je le blâmer ? Sans doute pas. Mais en tout cas le premier étage est nettoyé, bien qu’il ne restait plus grand-chose. Nous avons trouvés la porte pour descendre…. Mais je veux pas.. je veux pas tout de suite descendre..j’ai besoin de temps..on a besoin de temps … » Ils ont ramené une Couronne en pierre, qui émane une énergie étrange, comme les armes des aventuriers ou ta relique. Ainsi que des pierres précieuses et un peu d’Or (Montant 1201 Or ) Pendant que Bernard est bloqué dans Sombralys, tu reçois l'information de la part du Commandant-Général qu'il compte lancer une action éclair au travers des lignes des Kalards avant qu'elles aient le temps de fortifier leur position afin de s'assurer la sortie de cavaliers pour aller prévenir les Corps d'Armées extérieurs, si jamais les pigeons étaient interceptés, et de laisser une force mobile dans leur dos. Il souhaite savoir si tu désire prendre part à l'affrontement aux Portes, si tu préfères rester dans les lignes de défenses du fief, ou si tu souhaites te joindre à une opération de la 15è à l'intérieur de la Capitale.. Dans tout les cas, il adjoint sous ton commandement 4 sergents ainsi que 200 soldats . (Action seigneur ) Budget du Tour : 1 368 Or Fief des Grisons – Solkills Ta Foire Annuelle des moissons aura lieu la semaine prochaine. Tes gens préparent déjà les différents prix, ainsi que les emplacements des marchands et des participants. La bonne humeur règne dans ta communauté, d’autant plus que la rumeur s’est répandu que tu as tenu tête seul face à des milliers de soldats Sombraliens afin de leur refuser l’accès au Fief. Tu reçois cette missive :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Seigneur De Lannoy,
Je vous suis reconnaissante de votre loyauté envers nous. Grâce à vos informations, nous pouvons savoir que le Commandant-Général, en plus de refuser de se rendre, compter certainement soudoyé les différents seigneurs du Royaume afin de pouvoir renverser la légitimité de la Reine. Loué soit votre dévouement, nous avons ainsi une occasion unique de prendre les devants. Ma fille n’aurait point dû lui laisser une semaine. Ce délai ne pouvait que lui convenir pour se renforcer et tenter de la détrôner. Nous avons lancé une partie de nos forces mener un siège contre Sombralys. Nous serions heureux de comptez votre bannière parmi les nôtres. Sachez que j’ai fait mandé des troupes afin d’assurer votre sécurité dans le cas où les troupes Sombraliennes décideraient de revenir… Cependant je ne peux vous cacher que j’aurai préféré que vous les ayez fait traverser la rivière. Ils auraient ainsi été immobilisé à l’Est, forcé de tenter un passage par mes Terres ou de faire un long détour par le Sud. Cela nous aurait éviter le tracas d’avoir un Corps d’Armée Sombralien en liberté entre notre ligne de front et nos fiefs….Enfin, vous ne pouviez pas prévoir cela je suppose... » Viviane de Kalard Réaction gratuite La forge à Santes est officiellement lancée. Budget du Tour : 351 Or Fief Esgan – Sardine Les chefs de clans ont acceptés ton invitation, ils se présenteront ensemble dans la semaine pour te rencontrer. (Réaction gratuite) Tu reçois ce courrier :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Sir Arnoult Dol,
Quel plaisir de vous lire de nouveau ! Cela faisait un moment que nous n’avions point eu l’occasion de nous rencontrer, et je serais heureuse de faire le déplacement. Cependant j’ai fort à faire cette semaine. Je vous apporterai tout ce que vous demandez mon cher ami, mais préparer un verre de cidre afin de me recevoir avec les honneurs ! » Mère Una, abbesse de Cwmduad Budget du Tour : 216 Or |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81114
|
Tour 6 :
Blason de l'Ordre
Les choses sérieuses commencent… Avant le départ de l’Ordre, j’ai pu observer le retour des explorateurs du donjon. Malgré leurs trouvailles exceptionnelles, je ne pouvais ignorer le lourd tribut qui avait dû être payé. La suite de l’exploration allait devoir attendre. Les prochaines étapes étaient le rétablissement et le deuil. Un message fut transmis en mon nom à la population, la fête serait reportée à la fin de la semaine prochaine afin de permettre aux invités d’honneurs de se reposer pleinement. Une cérémonie en l’honneur des victimes se tiendra en début de semaine prochaine à la suite de laquelle une pension sera remise à la famille des soldats ayant participé à l’opération. Réaction gratuite: Les fonds désormais disponibles allaient être alloué à la préparation de la Terre Agricole défrichée par les migrants. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Investissement de 206 Or pour terminer le financement de la Terre Agricole.
Action seigneuriale : Le plan était hasardeux. Beaucoup de paramètres étaient inconnus et ceux qui étaient connus était loin d’être rassurant. Le contact avait été perdu avec le reste des troupes en faction dans la capitale, aucun message de leur part n’était parvenu à Sombralys. Il était ainsi fort probable que la Reine ait reçu du renfort. Le 15e allait avoir de grandes difficultés à passer l’ensemble des fortifications qui se dressaient entre lui et le Palais. J’espérais ne pas avoir à montrer mon atout avant le dernier moment mais il faudrait surement s’adapter rapidement selon ce qui nous tombera dessus. Pour garder une grande agilité, le plan initial fut très simple, les détails seraient décidés in-situ : - Passer la première fortification avec l’aide du 15e - Tuer les patrouilles et vêtir les hommes d’armes de leurs uniformes - Remonter vers le palais aussi discrètement que possible - Faire prisonnière la Reine - Fuir par la mer jusqu’à Sombralys Mais s’aurait été faire preuve d’une grande naïveté que de penser que les choses se passeraient ainsi. Avant de partir accompagner les 3 groupes formés à partir de quelques troupes de la 15e, je donnais mes ordres aux hommes de l’Ordre qui m’avait accompagné. « Soldats de l’Ordre ! Sortez de ces murs avec la 1ere ! Accompagnez Baldur dans son effort de percer les lignes ennemies ! Vous devez faire votre possible pour donner aux messagers la possibilité d’informer les autres nations de ce qui se passe ici. Panzerschultze vous resterez aux côtés du Commandant et donnerez votre vie pour lui s’il venait à être en danger. Cavaliers, guettez la moindre ouverture dans les rangs ennemis pour les traverser et courir porter la nouvelle ! » Sur ces quelques mots d’encouragement, je laissais mes soldats emplis d’un sentiment morose pour me diriger vers le mur Ouest. Les défenses de Sombralys furent traversées avec une grande rapidité. Une fois devant le double mur qui séparait Sombralys de la capitale, nous nous sommes posté au pied du mur. Attendant quelques minutes que les Sombres Traqueurs eurent remplis leur office : porte ouverte, cadavre de soldats maintenu droits grâce à leur lance, une torche éclairant le crénelage dans la nuit. Nous repartîmes aussitôt. Deux groupes vers le Sud, l’un en direction le baraquement le plus proche, l’autre du port. Nous continuions en direction de la seconde fortification, toujours à pas feutrés dans les ténèbres des ruelles crasses des Bas-Quartiers. Quelques patrouilles connurent leurs derniers instants à notre rencontre n’ayant même pas l’occasion de laisser échapper un râle d’agonie. Le même destin attendait les gardes de la porte de la 2e muraille. Laissée grande ouverte, éclairée d’une torche pour indiquer aux patrouilles que les gardes étaient allé se délasser en allant quérir une galante, la porte était franchie. Le corps des patrouilles s’accumulaient dans les rues mais ne freinaient en rien notre progression. Les Sombres Traqueurs de la 15e montraient leur grande efficacité et je commandais à mes troupes pour les assister dans cette tâche. La troisième muraille était désormais sous nos yeux. Une vitre brisée donnait dans l’échoppe d’un apothicaire. Son corps dans l’escalier de la cave laissait deviner qu’il avait croisé le pelletons de tête que nous peinions à suivre désormais. En traversant le tunnel clandestin sous la 3e muraille donnant sur une salle de jeu de hasard, nous arrivions accueillis dans l’avant-dernière enceinte avant le palais par le bruit de l’alarme au loin et la lumière des incendies visible dans le ciel au Sud. La 15e avait foncé droit au Nord. Nous choisissions de prendre un léger détour pour éviter les mouvements de troupes en provenance du baraquement Ouest. Après avoir évité les ennemis, nous arrivions les premiers à l’entrée des égouts. Pas de trace de la 15e, après quelques instants de réflexion nous continuions à avancer, nous ne pouvions pas abandonner la mission. Nous ressortîmes au cœur des quartiers résidentiels bordant le palais. Seul quelques pâtés de maison et une grande cours nous séparait de l’enceinte du Palais. Les patrouilles Kalardes étaient légions dans la zone, les forces de la Matriarche était venu au support de la Reine. Notre première embuscade se déroula sans mal, mais le camouflage de nos traces laissa à désirer. Et par l’échec d’un stratagème notre présence dans l’enceinte fut découverte. Le passage dans les égoûts étant condamné l’accès au Palais était impossible. Un grand incendie fut initié afin de couvrir notre retraite. Si la mission initiale était un échec, nous pouvions encore réussir celle confiée à la 15e et rapporter les renseignements que nous avions collectés. Nous firent marche en direction du port Est afin de prendre la fuite. La place du port semblait calme, une garnison occupait les quais pour protéger les bateaux. L’assaut fut lancé. Deux groupes se séparèrent pour prendre en tenailles les défenseurs. Mon groupe écrasa l’ennemi mais lors des affrontements. Ke remarquais en revenant à moi après la fureur des combat que mes troupes avaient laissées place à des troupes ennemies qui occupaient désormais leur position. Je fis battre retraite à mes hommes en direction des bateaux sous le feu nourri des arcs ennemis. L’ennemi s’avança et je fis ouvrir le feu à mes arbalétriers. Les cibles des carreaux s’écroulèrent au sol la confusion dans les yeux, confusion que je ne compris que trop tard… Une fois que le bateau prenait la mer le maléfice fut rompu, et les ennemis qui nous poursuivaient se transformèrent sous mes yeux en soldats sombraliens. Ceux-là même que j’avais postés le long des entrepôts. Conscient de mon erreur et de l’illusion dont j’avais été affecté, je fis larguer un canot attaché à une corde afin de permettre aux rescapés de rejoindre l’embarcation. Malheureusement, un seul homme pu nous rejoindre avant l’arrivée des troupes ennemies. Un jour plus tard, nous arrivions à Sombralys, las d’un voyage bien trop long. C’est en ces mots que je fis mon rapport à Baldur à mon retour. Pour lui aussi tout ne s’était pas passé comme prévu. Son armure témoignait de la rage de la bataille. L’engagement de la 1ere et de la 14e avait provoqué le chaos dans les rangs Kalards et Rhahans mais alors que tout semblait remporté, la 10e franchit les portes de Sombralys et pris à revers la 14e, décimant l’unité en quelques minutes. Le front ennemi se referma sur la 1ere qui accusa de lourde perte et dû se replier. De son côté, les 3 groupes issus de la 15e n’était pas rentrée non plus de la Capitale, sans aucun doute exterminé lors de son entreprise de destruction. L’état des troupes faisait peine à voir. L’air abattu de Baldur également. J’appris plus tard le courage avec lequel l’un de mes soldats c’était sacrifié pour sauver le Commandant. La situation allait s’enterrer là pour quelques jours. Je devais réfléchir à quelle devait être ma prochaine action. Serais-je plus utile ici auprès de Baldur afin de m’assurer qu’il ne soit pas la cible d’une autre trahison. Ou devais-je soutenir son action militaire depuis mon fief ? « Commandant ! Je suis désolé de la tournure qu’ont pris les événements mais je ne pense pas qu’il faille pour autant baisser les bras. Je souhaiterais faire plus ici, mais force est de constater que sans troupe à commander mon soutien ne pourra être moral à Sombralys. » Je repris avec une courte pause. « Je souhaite cependant vous aider à renverser le cours de la guerre. Pour cela, couper les ravitaillements des Kalards en direction de la capitale permettrait de les isoler et de maintenir une pression forte sur la capitale. Je souhaite pour cela essayer de convaincre les Vincentes de prendre part au conflit en notre faveur en embusquant les flottes Kalardes qui naviguent dans leurs eaux. » Je scrutais le visage de Baldur afin de discerner son sentiment vis-à-vis de ce plan. « Si vous me le permettez, je prendrais la mer aussitôt que possible sur le bateau nouvellement acquis à la tête des troupes que vous m’avez confié. Avec leur aide, j’irais préparer une guerre d’usure à l’encontre des Kalards en sabotant leur infrastructure et en ruinant leurs récoltes. Les caravanes Rhahans en commerce à Sombralys ont elle été saisit par vous même ? J'en emporterais bien une avec moi afin de soutenir l'effort de mes troupes lors des longues excursions. » J’attendais alors la décision du Commandant en chef des armées royales. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Les panzerschutzes rejoindront le 1er Corps d’armée pour soutenir l’assaut de Baldur et le protègeront au péril de leur vie.
Les cavaliers de l’Ordre tenteront de franchir les lignes ennemies avec les messagers. Ils auront pour objectif de prévenir les Cornus, les Sombrans, l’Ordre et Eldorado des Vincentes de la traitrise de la Reine et de l’assaut sur Sombralys. Les troupes de l’Ordre vêtiront les couleurs de Sombralys pendant la bataille. Bernard suivra le 15e Corps d’armée avec les troupes mises à disposition par Baldur pour tenter un assaut furtif sur le Palais. Il suivra le 15e jusqu’à ce que leur chemin se sépare. Action de fief : Des fonds suffisants avaient enfin été rassemblés. La division Requiem allait enfin pouvoir voler de ses propres ailes, Dieter à sa tête. Pour organiser leur travaux, un centre de recherche serait bâtit dans les plus bref délais. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Construction d’un centre de recherche pour 1000 Or
Action secrète : Le plan n’a pas fonctionné comme prévu, pire que cela, des individus pouvant correspondre à la description ont été aperçu au Nord des Terres de l’Ordre. Inoffensive pour l’instant, il valait mieux retirer cette épine de notre pied avant qu’elle ne devienne un véritable problème. Détails de l’action dans l’handout
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Otto partira en direction du campement Nord avec l’espion, 5 panzerschutzes, 8 panzerhunds et 3 hommes d’armes.
Budget restant : 162 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 2 mois #81136
|
Tour 6 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
L’assemblé des clans (action gratuite) : Le chambellan à sut bien faire son travail. Nous aurons du cidre, des liqueurs diverses ainsi que du vin et de la bière importée. Le fumet qui émergeait des cuisines témoigne du soin que j'ai apporté à mes hôtes. Si seulement pouvaient-ils me le rendre au centième. Longue serait cette journée, car nombreux allaient être les sujets abordés. Mais les clans sont à la fois le ciment du peuple ésgan et le pire cauchemar de leur dirigeant. Malheur que de se savoir mal aimer de son peuple quand l'on ne cherche que le bien de ces gens. Aussi, il allait me falloir obtenir leur assentiment le plus rapidement possible, surtout à l'aube d'une guerre civile.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Maintenant que tous vous connaissez les circonstances qui ont mené le seigneur Elwogna à être démit de ces fonctions je vous propose d'entrer dans le vif du sujet. Je suis désormais le seigneur légitime du fief ésgan le protecteur de son peuple. Donc, nous devrons désormais œuvrer de concert pour la prospérité de nos terres. En retour à des inquiétudes qui m'ont été exprimées je tiens assurer mon respect de la Vieille-Coûtume ésganne. Je me fais moi-même responsable de mon peuple et aussi vrai que les clans resteront fidèle au pouvoir légitime de la couronne leur statut sera préservée, comme il le fut depuis huit siècles.
De sombre nouvelles me sont arrivée. La reine Blanche de Kalard, femme du défunt roi, a déclaré Baldur Resath, frère du défunt roi et protecteur du royaume ennemie de la couronne si ce dernier ne se rendait pas à elle dans la semaine. Malheureusement, je crains que cette semaine ne se soit pas encore écoulée que les Rahans ont déjà massacré un corps d'armé Sombralien. Chefs, je crains devoir vous annoncer que le continent connaissait désormais une nouvelle guerre civile. J'attends vos retours sur cette situation, mais je sais que vous partagez avec moi la loyauté de nos serments envers le monarque légitime de Centralions. Cette légitimité étant en suspend je pense que la priorité est avant tout d'assurer l'indépendance de nos terres. C'est pourquoi il me semble justifier de vous demander votre soutien et votre collaboration pour ces temps à venir, car nous savons tous qu'ils s'annoncent tempétueux. Avant de vous rendre la parole il est d'autres questions que je souhaite vous soumettre : La mère Una, abbesse de Cwmdual projette depuis longtemps de rassembler les diverses collections des monastères de son Ordre au sein d'un seul édifice qui serait dédier à l'apprentissage et à la recherche. Je lui ai déjà donné mon soutien et nous espérons tous que vous vous joindrez à ce projet pour la connaissance ésganne. En outre vous savez que la seigneurie est prête à participer à tout projet qui apporterait prospérité au royaume. Vous n'êtes pas sans savoir que nous dépendons encore de forces étrangères pour garantir notre sécurité, ce qui ne saurait durer d'avantage. Hors dans ce but il nous faut réunir des ressources importantes et je suis persuadé que bientôt vous participerez à cet effort pour notre bien commun. Enfin l'affinité de notre peuple avec la magie est connue de tous. J'aimerais connaître vos avis sur cette question. Action de fief : la terre des légendes. Je jetais un dernier regard sur la cour du château. Elle grouillait de monde et de chevaux, etr pas seulement ceux des chefs qui quittait désormais Tuhlgairn. Plusieurs dizaines de cavaliers s’aprètait à quitter le fief pour se répandre à travers le continent. J’avais même dut me rabaisser à recruter des colporteurs itinérants, des vagabonds et des ménestrels pour porter a rumeur jusque dans les villages les plus reculer. Mais cela valait la peine car en appelle quelques jours nous auront fait renaître les légendes perdus de la Terre des Sorts.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Détaille de l’action :
Plusieurs dizaines de messager vont quitter la terre des sorts pour colporter à travers le continent- les légendes d'Eizegann la terre des sorts, le nom mystique de l'Esganie. Objectifs : Faire connaître les légendes ésgannes ; faire courir le bruit selon lequel l'Esganie est une terre de magie par nature ; la magie y est plus présente, plus intense ; tous les ésgans sont des mages ; on y trouve des créatures fantastiques ; il existe une ancienne magie dont seul les ésgans ont connaissance ; quand les ésgans ce battent des esprits interviennent pour les aider au combat ; c'est pour cela que le continent est resté indépendant si longtemps ; le Sir Arnoult Dol seigneur d'Eizegann accorde sa protection aux mages ; plusieurs l'aurait déjà rejoint ; l'Ordre de Saint Mac d'Ifan approuve cette posture. —> Attirer en Esganie mages, aventurier, rumeurs et tout sujet relatifs à la magie. —> Faire naitre dans les consciences de chacun le lien entre la magie et l’Esganie. (Comment ? Il serait possible que certaines rumeurs paraissent difficiles à croire ? De modestes exagérations de la réalité tout au plus...) Parmi cette cohorte de colporteur se cacheront de vrai messagers en direction de la Coalition de la terre, de Sombralys et de Centralys. Avec ordre de détruire le message plutôt que de le laisser tomber en de mauvaises mains. Budget de l’action : 50 Letre à Blanche de Kalard de Centralys :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
À sa majesté Blanche de Kalard, Reine de Centralions.
J'aurais tant aimé vous écrire pour dire que la paix est revenue en Esganie et que nous la fairons encore régner longtemps. Malheureusement, ce sont de sombres nouvelles qui me poussent à vous écrire. En effet nous avons appris peu de temps après votre courrier que les Rahans ont massacré le 5e corps d'armée de Sombralys. Nous ignorons les raisons qui ont mené les événements à se précipiter ainsi, seulement il circule désormais la rumeure selon lequel les Rahans auraient l'intention de marcher vers l'est. Nous ignorons si ces rumeurs sont fondées ou non, mais le passage de l'armée sombralienne à laisser les défenses ésgannes exsangue et à peine aptes à assurer au fief sa propre sécurité. Si vous pouviez dissiper nos doutes sur les Rahans et surtout si vous pouviez nous fournir les moyens matériels de rétablir nos défenses nous serions à même de vous soutenir tout comme je l'ai fait par le passé. Nous sommes conscients des difficultés que Centralys pourrait rencontrer actuellement, d'autant que le traître Sorod cour encore. Mais nous vous conjurons de nous porter cette assistance et dans les plus brefs délais l'agriculture ésganne pourra à nouveau fournir les marchés de la capitale. Et dans les plus brefs délais nos troupes pourront être mises à votre service. L’Esganie restera toujours fidèle à la Couronne légitime de Centralions. Votre dévoué conseiller, Sir Arnoult Dol, Seigneur d’Eizegann. Lettre à Baldur Resath de Sombralys :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
À Baldur Resath, Commandant Général de Sombralys et Protecteur du Royaume.
Commandant, par cette lettre j'ai le malheur de vous annoncer le massacre du 5e corps d'armée. Le 5e est vraisemblablement tombé dans une embuscade menée part des troupes d'élite des Rahans. Nous avions été informé quelque jour plus tôt des déclarations de la reine à votre encontre. Mais cette attaque perpétré avant l'expiration de l'ultimatum nous choque autant qu'elle nous inquiète sur les intentions réelles de la régente. Seulement à présent les Rahans menaces directement tous les territoires situer à l'est de leurs terres. C'est pourquoi si nous sommes tout à fait conscient que vous êtes probablement déjà en tain de prendre la menace des Rahans en compte nous vous implorons de nous envoyer une assistance. Depuis la destitution du traître Elwogna nos défenses sont exsangues et nous sommes à peine à même d'assurer la sécurité de notre peuple. Si vous pouviez nous fournir les moyens matériels de rétablir nos défenses nous serions à même de vous soutenir tout comme mon peuple l'a toujours fait par le passé. Nous vous conjurons de nous porter assistance et dans les plus brefs délais nous serons en mesure de fournir à la citadelle les vivres et les troupes dont elle aura besoin. L'Esganie restera toujours fidèle à la Couronne légitime de Centralions. Sir Arnoult Dol, Seigneur d’Eizegann. Lettre au Ligat de la Coalition de la Terre :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
À Pompeïus, seigneur des Terres Fertiles, Légat de la Coalition de la Terre.
Chèr Pompeïus. En premier lieu je tiens à réaffirmer que je partage l'amitié qui unie nos peuples et vous savez que j'entretenais déjà cette amitié avant d'occuper mes fonctions présentes. Par ailleurs, il me paraît tout naturel de poursuivre avec vous efforts de rapprochements initier avec mes prédécesseurs. Seulement ce n'est pas en tant que partenaire que je vous écris, mais en tant qu'ami, car seul des amis de l'Esganie pourrait répondre à une tel requête. En effet vous n'êtes sûrement pas sans savoir que nous sommes à l'aube d'une guerre civile. Nous avons appris le massacre du 5e corps d'armé sombralien par des troupes d'élites Rahans. Or il s'avère que l'arrière garde du 5e est resté en Esganie. La destitution de Elwogna a brisé les défenses du fief et nous dépendons de ces troupes pour assurer notre sécurité, nous ne pouvons donc pas nous en séparer tant que cette question reste en suspend. Cependant, nous craignons que la présence de ce corps d'armé n'entraîne des représailles de la part des Rahans qui nous verrait comme leur ennemi. Ce n'est pas faire du misérabilisme que de dire que notre parole à peu de poids face à la leur. C'est pour cela que prie donc la Coalition de bien vouloir intercéder en notre faveur dans cette affaire. Nous allons avoir besoin de fond pour reformer nos troupes, tant que nous n'auront pas réunis cette somme nous resterons vulnérable. Nous ignorons encore les circonstances de ce soulèvement Rahans et ne voulons pas être entraîné dans un conflit sans en connaître les tenants. L'Esganie vit une période une période délicate suite à la destitution d'Elwogna et vous sera reconnaissante votre aide, sous toutes ces formes. Nous avons toujours pu compter avec la Coalition par le passé et cela a toujours été réciproque. Avec toutes mes amitiés, Sir Arnoult Dol, seigneur d’Ezegann. Action seigneurial : constat de décès. « Votre convoie est près Sir. » La voix rauque de Felip m'arrachât à mes rêveries. Une fois encore mon devoir allais me contraindre mettre ma vie au-devant du danger. Je regardais le visage impassiblement sévère de mon nouveau commandant de la garde. Je savais qu'au fond de lui il aurait souhaité que je reste et que lui parte. Mais à notre grande peine cette mission était trop sensible pour que je la délègue. Aussi je me contentais alors d'un dernier regard entendu avec mon ami avant de le quitter et de descendre rejoindre mon escorte.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Détaille de l’action :
Aillant appris le massacre du 5e corps d'armé je pars vers le fief où c'est déroulé la bataille pour prendre connaissance de l'état d'Elwogna, seigneur déchu d'Esganie et traître à l'humanité. Pour des raisons évidentes ce sujet me concerne en plus haut point ce qui justifie mon déplacement. S'il est décédé pour lui donner une sépulture décente en Esganie, s'il est encore en vie pour l'appréhender. Je suis escorter de 20 piquiers et 10 archers (pris dans la garnison de Tuhlgairn, puis d'Ifan et de Cwmduad pour compléter). Des messagers précéderont ma marche pour prévenir les fiefs traverser de mon arrivée et de mes intentions non belliqueuses. Je compte profiter du trajet pour rencontrer les responsables de ces fiefs. Tout ce bruit servira de couverture pour mon espion infiltré dans mon propre cortège. Sa mission est de récolter des informations sur les fiefs traverser. Se concentrant principalement sur l'orientation politique des dis fiefs et s'informant de potentiel mouvements de troupes rahans. Nous sommes disposés à aller à leur rencontre si nous en croisons pour toutes ces raisons officielles et officieuses. Felip Cajal assure la régence en mon absence. Budget à la fin du tour : 66 Or |
Dernière édition: par Sardine.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81143
|
Tour 6:
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède Comme un As de trèfle je garde la garde dans mon jeu
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Garder la gardes dans notre fief Méthode : -Expliquer au garde que depuis leurs départs de sombralys la situation a changé et que par conséquent il faut mieux s'adapter et préserver la garde loin du centre de la politique RP : J’accueillis les gardes avec une certain impatience. Je me demandais quand est ce que l'armée de sombralys allait arrivé. Enfin, mieux valait tard que jamais... Les soldats en lourdes armures avaient quittés leurs chevaux. Ils arboraient le symbole de la quatrième armée. -Bienvenue à Solède, Sergent. -Seigneur bivoix ! Je suis le Sergent Yamamoto. Je viens de la part du Maréchal Armstrong. Et ceci est de la plus haute importance Je pris la lettre de ses mains et je me leva. -Sergent, venez avec moi. Anna, occupez vous de ces gens, de l'eau de cheminée et des victuailles. Qu'on leurs fournissent une place prêt d'une cheminée. Je savais que je pouvais compter sur Anna pour s'occuper convenablement de ces hommes. Moi et le sergent, nous suivirent un couloir, et montèrent plusieurs escaliers. A peine fatigué de la petite marche, j'ouvris la porte de mon bureau. Alors que je m'installais moi même je dis: -Installez vous. Installez vous.. -Moi et mes soldats sommes a vos ordres. Toutefois ma première mission est d'escorter la garde de Stalynx. -Je ne vous donnerai pas la garde. Vous ne l'escorterez pas tout de suite... -Quoi?!?! -Laissez moi finir. Je vais la garder ici et en sécurité plutôt que de la lâcher sur les routes pour une raison simple. Baldur Resath est sommé par la reine de se rendre pour un procès. Or je n'ai aucun doute sur l'honneur et les vertus de Baldur Resath. Toutefois, je n'ai eu aucune nouvelle de la capitale pour annoncer le début du procès ou quoi que ce soit. J'ai des nouvelles concernant des affrontements dans la coalition de la terre, que des groupes de bandit se constitue en petite armée et que le bâtard rassemble ses forces lui aussi. Je peu en déduire de nombreuses chose de toute ces informations, mais aucune qui ne me laisse penser que je puisse risquer de perdre cette garde qui est et qui serra un atout vitale pour reprendre l’île de Stalynx. Action Fief : Vous l'avez?
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Augmenter nos capacités d'emprunt et donc a long terme nos capacités a construire et se développer rapidement Méthode : -Investir 450 dans la construction d'une Banque RP : Bon, mon père m'avait chargé d'une mission simple, négocier l'ouverture d'une nouvelle banque. J’étais assis dans la salle de réunion de la Banque depuis presque une heure. Je ne pensais pas que j'allais devoir attendre si longtemps avant d’être reçut. Soudain, il entra, encore une fois je fus surpris de ne voir qu'une seul personne. -Allez vous bien ? -Euh, oui parfaitement... -Pour quelle affaires venez vous jeune Heymon ? Un prêt personnel, ou pour votre famille ? A moins que ce ne soit au nom de la ville ? -Rien de cela... Je souris en voyant que pour une fois, ce fut lui qui était surpris. Mais a la surprise succéda un subtil mélange d’inquiétude et d’intérêt. -Ah oui ? -Mais avant cela, jouons a un jeu. Une petite énigme, ou une boutade plutôt ? -Ma foi, allons y. -Qu'est ce qui est mieux qu'une banque ? -Je ne sais pas. -Deux banques... -Ah oui.... -Vous l'avez. ? -Je pense bien... Mais c'est a mon tour. Mon premier est produit par les troupes de théâtre, mon deuxièmes sort voir les troupes de théâtre, mon tout permet aux gens comme a la troupe d'exister. -Hmmm, je dirai l'Argent. -Bien.... et vous l'avez ? Je sortis de ma poche l'ordre d'achat, et je fis livrer l'argent a la fin du jour. Action seigneurial : Passer la porte
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Échange de technologie -Informations sur les positions portos dans la guerre civil -Aide pour comprendre le butin des pécheurs -Donner les informations de l’expédition du premier tour Méthode : -Le seigneur, sa femme, son fils 3 serviteur par personnes (dont un espion a chaque fois), et 10 cavalier -Négocier avec le seigneur porto -Observer à titre personnel -Laisser traîner les oreilles des espions RP : La petite troupe que j'emmenais avec moi eut rapidement fait d'arrivé aux frontières du territoire Porto. Nous constatâmes la présence de troupes importante dés notre arrivés. Les campements étaient dressés, et les sortent de troupes speciales des Portos patrouillaient. Nous ne fument pas arrêtés jusqu’à la première ville. Une fois installés dans une auberge, j'entendis une bien étrange rumeur. Ce ne serrait d'ailleurs pas la dernier fois que je l'entendrais durant ce voyage. “Il paraîtrait, que les Portos emmènent des prisonniers et des bandits dans les montagnes. Ils devraient être condamné a mort, mais si vous voulez mon avis. Le sort qui les attends la bas est pires que la mort. On les transformes en monstre, on leurs injectes des poisons horrible, on les fairent se reproduire avec des animaux. Et puis plein d'autre truc qu'on peu même pas imaginer.....” J’écoutais d'une oreille distraite, pendant que mes serviteurs étaient entrain de réserver une place pour chacun de nous. Nous partirent rapidement ensuite. Entre là bas et la capitale, nous fument arrêtés plusieurs fois par des patrouilles qui s’inquiétaient de notre identité, mais qui nous témoignèrent du respect et nous laissèrent continué quand elles connurent notre rang. Enfin, après un long chemin nous arrivions enfin dans la demeures des Portos. Des portiers nous ouvrirent la porte, et alors que l'on s'occupait de ma famille et de mes gens, un serviteur en tenue noires me mena jusqu'au seigneur de ces lieux. Lorsque le serviteur me désigna la porte, j'entra par moi même. La pièce semblable a un bureau était bien éclairé, l'on voyait parfaitement le joyeux bordel de cette salle. Des piles de papier, des restes de nourriture et de la peinture écaillée sur certaine partie de la bibliothèque. Le seigneur porto ne se leva pas seuls ses yeux se levèrent du parchemin qu'il était entrain de lire. -Ah. Vous êtes la? Eh, euh... Que faites vous ici? -Oh excusez moi, je ne voulais pas vous interrompre. Et bien je pense que vous attendez pour un rapport depuis longtemps non? -Ah oui Il sourit Ravis, de voir que vous n'avez pas oublié -Je n'oublis jamais rien, mais disons que la dernière fois que je suis passé, vous étiez a la capitale. Et ensuite j'ai eu d'autre affaires. -Oui je comprend, j'ai moi même beaucoup d'affaire et de lettres, la plupart sans importance. Regardez, celui la n'a même pas signé sa demande de crédit.... -Etre seigneur c'est souvent perdre son temps, mais ce que j'ai a vous dire va vous intéresser. Comme vous le savez, nous avons embarqué et nous nous sommes rendus a Stalynx. Une fois arrivé sur place, nous fumes surpris de découvrir que le Seigneur Elfiort et une petite escorte nous attendait. Et quand une barque débarqua quelque un des mercenaires que j'avais payé fort chères, ils furent massacré par Ser Elfiort et ses hommes. En un instant, comme si de rien n’étais. Son visage changeait, marquant de l’intérêt, de la surprise surtout. -Je vois que vous etes surpris, mais la suite est encore plus surprenante. J'ai cru bien malgré moi a une sorte de trahison de Ser Elfiort. Mais il n'en était rien, comme je l'appris plus tard de la bouche d'une garde qui s’était échouée sur nos terres. Elle nous apprit qu'en creusant, ils avaient déterré un démon important Asgrot. Asgrot sortit de sa prison et pris le contrôle des gardes les uns aprés les autres... Et aujourd'hui Stalynx est perdu et il faut a tout pris les empêcher de débarquer. -Je vois en effet que vous avez était bien occupé. -Oui. Aussi j'ai informé sombralys et vous même. Nous devons resté les seuls dans la confidence. -Oui, sinon de mauvaises gens pourrait être au courant et cela aurait des causes catastrophiques. -En effet, le royaume est déjà assez troublés. Nous devons préserver une certaine stabilité pour régler se problème. -Il est plus troublé que vous ne le pensez. -C'est a dire? Avez vous plus d'information? -Eh bien... Avez vous entendus parlé des pierres de souvenirs? -Non cela ne me dit rien. -Et bien suivez moi. Le soir même, je repensai a tout ce que j'avais vu. Sombralys assiégé par les Kalards et les Rahans, la capitale en feu, plusieurs corps d'armés en difficulté. Tant de nouvelles informations. Tant de nouveaux acteurs dans le jeu, en premier lieu Bernard Hohenburg qui semblait avoir mené une partie des armés sombralyenne. Et qui était l'homme dans cette cage? Un noble sans aucun doute. Je fus interrompus dans mes réflexions par ma femme. -Armory? Tu dors? -Nom ma chère. Non. -Je suis content que nous soyons la tous ensemble. Combien de temps resteront nous. -Le temps qu'il faudra, sans doute un ou deux jours. -Ah... Bien. -J'ai besoin de me vider l'esprit. Et je pris la décision de féconder ma femme, cela faisait longtemps et je sentais une migraine pointé le bout de son nez. Peu être que cela me permettrait clarifier la situation. Il y eu de nombreux repas, de nombreuses réunion avec des cousins, des neveux et tout ce qui s'ensuit. Ma femme et mon fils étaient aux anges de voir de nombreux et nouveaux visages. Quand a moi appréhendais, les Portos ne voulaient pas d’échange technologique, je me posais des questions qui me causait des migraines et les soirées arrosée de vin n'arrangeait rien. Pas plus que les conversations et les nuits avec ma femme. Finalement, nous partîmes après deux jours. J'avais obtenu de nombreuses informations, très nombreuses et toutes utiles dans un futur proche ou lointain. Pour gérer les situations futurs et notamment l'araignée de la fin des temps j'avais obtenues de quoi réduire en cendre mes ennemies. Et pour mes problèmes récents, j'avais un mage qui m'aiderait dans mes inspections ET ma femme me laisserait en paix pendant un moment. Cependant, j’étais accablé par tout ce que j'ignorais, j’étais accablé par ma faiblesse et celle de mon fief. Il faudrait que cela change. Sinon les Bivoix resterait une note de bas de page dans les livres parlant des plus grands que nous. Emprunt a rembourser tour 7 = 94 Budget de recherche = 30+20 Budget Restant = 273 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81144
|
Tour 6 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Hugues de Lannoy observe les préparatifs de la grande fête se mettre en place depuis la fenêtre de sa demeure ancestrale. Les charpentiers travaillent d’arraches pieds pour monter l’estrade du concoure alors que des marchands commencent déjà à installer leurs étales sur les principales artères vitales de la ville. Au loin, on aperçoit déjà des groupes de personnes se diriger vers la ville afin de réserver une place dans les auberges qui seront prises d’assaut. « Cette fête sera mémorable, je le sens. » Le seigneur de Santes tourne la tête et regarde quelques instants le portrait de sa bien aimée qui trône au-dessus de l’âtre de la cheminée. « Nous aurions dansé jusqu’à ce que nos jambes ne puissent plus nous supporter. Et puis nous aurions bu du vin jusqu’à être saoul et rire à gorge déployée devant les acteurs. Enfin, on aurait fini chacun dans les bras de l’autre, dans cette pièce… Cela aurait été un souvenir mémorable. » Le maître de la demeure ressent une nostalgie alors qu’il se remémore les joies du passé. Pas de tristesse cependant, il a fait son deuil. Finalement, Hugues se dit qu’elle n’aurait pas apprécié son implication croissante dans la politique du Royaume. Elle l’aurait fait changé d’avis, probablement. Alors qu’il plonge son regard vers le fleuve, son esprit se remet à rêvasser et profiter de, peut-être, les derniers instants de paix. Action fief : « La croissance du peuple Grison et son bien-être montre la justesse de ma gouvernance et de notre mode de vie. C’est grâce à cela que nous traversons les troubles ensemble. Et c’est en l’honneur de nos ancêtres et de cette terre qui nous ont élevés que j’organise la grande fête de la moisson. Pour Santes, Edelnac et les futurs communautés grisonnes. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- On investit 50 or pour les boissons, les troupes théâtrales et tous les loisirs qui plait au peuple ainsi qu’un endroit spécifique pour le concoure. De plus, on investit 25 or pour l’organisation d’un grand bal à ciel ouvert pour le peuple et les invités plus distingués. Si des seigneurs des fiefs de la Terre viennent, l’objectif est de connaître leurs alignements dans la guerre civile actuelle et essayé de les faire pencher dans la balance des Kalards. Si une Kalard est présente, l’objectif est de négocier l’implication des Grisons dans cette guerre avec la volonté d’une future indépendance (à l’image d’un Grand-Duché par exemple) et ramener les seigneurs de la Terre dans leur camp (je te laisse interpréter les discutions en tenant compte de mes traits !).
- On investit 150 or pour débuter la construction d’un stockage de vivre à Edelnac. On invite également une partie de la population de Santes à fonder une nouvelle communauté (marquée d’une croix sur la carte.) Action seigneuriale : « Je ne crois pas que nous pourrons échapper à cette guerre civile. Si Sombralys gagne, rien ne pourra s’opposer à leur joug. Néanmoins, nous ne sommes pas prêts à participer militairement. Cependant, nous pouvons agir sur le plan diplomatique… » - Lettre à Viviane de Kalard
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
A vous dame Viviane de Kalard,
Je vous remercie de l’assistance que vous nous procurer face à la fourberie de Sombralys. Sachez que vous trouverez en moi une personne loyale dans ses engagements et je vous soutiens dans vos efforts pour mettre au pas Baldur de Sombralys. Cependant, je ne peux vous apporter une aide militaire suffisante pour qu’elle soit utile pour l’instant. Je peux néanmoins travailler sur la table de la diplomatie et m’arranger pour rallier le plus de seigneur des fiefs de la Terre. Je vais néanmoins être direct. Le peuple Grison a toujours vécu sous l’oppression de Sombralys et méprisé par la Couronne. Si vous désirez une assistance solide des Grisons, cela aura un coût qui ne se mesure pas en or. C’est pourquoi je requiers la venue d’un ambassadeur en qui vous avez confiance afin de négocier de manière directe lors de la Grande foire de la Moisson grisonne. En vous souhaitant longue vie et prospérité, Hugues de Lannoy, seigneur Santes et représentant du peuple Grison. « Un tome trop poussiéreux, il est temps de l’utiliser un peu. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Le seigneur de Santes se renseigne un maximum sur l’histoire des seigneurs de la Coalition de la Terre afin d’apporter un éventuel plus dans les négociations.
Budget restant : 126 or |
Dernière édition: par Solkills.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81146
|
Tour 6 : Vers l’Inconnu et au-delà
Les jours s’allongent, et avec eux, la beauté de l’été a venir prends lentement place. Les récoltes commencent à avoir bonne mine, mais encore trop tôt pour la récolte qui s’annonce prometteuse. Profitant des jours qui s’allongent, et de la quantité de travail aux champs qui se réduit pour le moment, les fêtes de villages s’organisent, faisant pour les plus importants venir des troupes de tout le continent malgré les temps troublés, et pour les plus petits, des villageois sortent des instruments qu’ils n’ont plus touchés depuis la dernière fête, espérant par un miracle incroyable, être devenu incroyablement bon pour cette année… Plus généralement, une tension lourde s’est abattit sur la plupart des fiefs, dû majoritairement à une absence de nouvelles concernant la politique du Royaume jusque là.. De nombreux seigneurs guettent ainsi les nouvelles, quand bien même sous la forme d’un barde venu divertir les gens en « chantant », ou plutôt massacrant, les vers d’une musique populaire afin d’y raconter des événements récents, événements « dont il a eu connaissance par un collègue qu’il a croisé il y a quelques jours, qui lui même les tenait de l’indiscrétion d’un autre barde qui écouté, bien sûr sans le vouloir, la discussion d’un Seigneur avec un autre, après avoir fait une représentation pour eux ». Maison des Bivoix - Momo Te réveillant de bon matin, sans migraine, et la tête emplis déjà de questionnement, notamment au sujet de cette lueur bleuté qui émanait du meuble, tu t’habilles prestement et rentre dans la pièce de ton « butin ». Tu soulèves rapidement le tissu au dessus du meuble, et cette fois, aucune lumière n’en émane. Légèrement surpris, tu te demandes si ton imagination, dans ton sommeil, ne t’aurais pas jouer un tour ? Après avoir pris connaissance de la montagne de lettres à lire afin d’assouvir tes besoins de curiosités, et surtout de trouver si l’une parmi elle ne renferme pas un codage ou autre, tu te diriges pour prendre ton petit-déjeuner. Tandis que tu manges ton morceau de lard, enroulé autour d’un doigt de fromage, tu fais appeler ton espion afin de vous mettre au travail qui vous attends… La journée se passe, et bien que vos yeux fatiguent a force de parcourir des lettres, jusqu’ici sans valeur, la plupart étant des lettres absolument ennuyantes car provenant de familles de détenus demandant invariablement des nouvelles de ceux-ci, racontant comment se passe la vie dans la ville ou le village sans eux. Bien que de temps en temps, l’une d’elles sortent du lot par son originalité ou son contenu encore tel que celle-ci :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Enfoiré de Dunclan ,
Tu n’as toujours pas répondu à mes précédentes lettres grosse tanche. Ton môme attends toujours le retour de son « Pôpa », d’ailleurs ta pute aux yeux bleus a eu son gamin aussi. Pas foutu de garder ton attirail en place,non ? Fallait que tu ailles enfiler cette gamine aussi ? Marjorie n’est pas tombée enceinte elle, tu aurais peut-être aimé avoir un gamin avec la Rousse du village ? En tout cas, saches que si jamais je te retrouves, je te couperai ton attirail, et je te les ferais bouffer, puis je te ferai vomir pour te les faire rebouffer encore une fois. Et ensuite peut-être que je t’achèverai. Sofia » Le temps passe rapidement, et un sentiment d’inefficacité s’empare peu à peu de toi, alors que le tas de lettres semblent ne pas descendre. Une fois la nuit tombée, tu te rends compte que le meuble commence de nouveau a émettre une douce lueur bleuté, mais tu remarques aussi l’absence de réaction de la part de ton espion. Grâce à une courte gymnastique cérébrale, tu en viens à la conclusion que ce meuble, magique a ne pas en douter, ne résonne la nuit qu’au vu de ceux ayant une affinité certaine avec la magie… Mais tu n’aura pas le moyen de découvrir son utilité.. Le sergent Yamamoto est surpris, il en faut peu pour le dire. Qu’un Seigneur refuse de se soumettre à une requête Sombralienne est assez rare, voir inconnu à ses yeux..jusque-là.. Cependant, par respect pour ton rang, il te laissera continuer, et admettra que ta vision des choses n’est pas forcément mauvaise…Après réflexion, il se laissera convaincre de rester ici,en attendant que le 4e Corps d’Armée arrive, cependant il se désistera devant son Maréchal si celui-ci venait à être en contradiction avec les « changements » de plans… D’ailleurs, le Sergent Yamamoto, a ton retour de ton séjour chez les Portos, trouvera étrange que le Corps d’Armée ne soit pas encore arrivé, et te demande l’autorisation d’aller à sa rencontre, sans la garde. Réaction Gratuite En rentrant de ton petit périple chez la Famille de ta Femme, accompagné de Daphné, la mage que les Portos ont gracieusement offert pour expertiser ton meuble, tu te dépèches de la conduire au meuble, qu’elle identifie très facilement. « Seigneur Bivoix, ce meuble est indéniablement magique… » A voir ton regard, elle saisit que tu attends des résultats, et non pas des explications… Elle saisit donc un parchemin dans l’un des tiroirs, ainsi que la plume qui va avec. « Voyez, vous pouvez écrire un message à l’aide de cette plume et de ce parchemin. Une fois fait, vous replacer les deux dans ce tiroir. Et le message sera transmis, où que soit la personne. Mais attention, écrire un message avec cette plume coûtera votre sang… » Elle te fait une démonstration, écrivant un très court message, le plaçant dans le tiroir et se serrant la main. Après quelques secondes, un de tes gardes ouvre la porte, salue de manière parfaite et te tends un message. Son allure, sa prestance, t’impressionne, car il ne te semblait pas avoir de soldats aussi efficace, alors que tu prends connaissance de la lettre, tu remarques le garde s’éclipser. Lorsque tu passera la porte, aucune trace du soldat ne sera visible… Tu refermera la porte, toujours serrant le message qui vient de t’être remis, qui corresponds à celui que la mage t’a écrit… « Intéressant... » L’aménagement des écuries est terminée, les chevaux sont en routes pour y être dressé . (Tech développée, ne sera active que le prochain Tour) Tu reçois ce message :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Seigneur du Royaume,
Sombralys est sous le siège des forces Kalards, jointes par les troupes Rahans. En tant que Seigneur de Sombralys, mais aussi en tant que Protecteur du Royaume, bien que mon devoir m’ordonnait de me rendre à la justice Royale, je ne puis, en plein conflit, passer le Commandement des armées. De part la même missive, j’implore les différents Seigneurs à préserver l’Ordre et la Stabilité du Royaume, le temps que la lumière sur ses événements soit faite. Sachez qu’il est maintenant, plus que jamais, important de préserver notre Union. En effet, il apparaît qu’en plus de la menace de Sorod, un Démon de la plus haute puissance, l’un des bras droit du Roi-Démon à fait son apparition à la Surface… Que Solaar vienne en aide à ceux qui le mérite. Et qu’il foudroie nos ennemis Baldur Resath » Alors que tu finis a peine de lire ce message, un garde apparaît portant 2 autres missives Sombraliennes.. En les déroulant, tu prends conscience qu’elles sont des copies identiques de la première lettre. Tu redresses la tête juste à temps pour voir toujours le même garde courir vers toi avec une 4e lettre de Sombralys, qui se révélera être là même encore une fois . Dans les jours qui suivent, tu reçois 3 propositions : -Toujours battre le fer : en échange de l'utilisation du Fer extrait par Tour, fourni 1 soldat aléatoire (Hommes d’armes, piquiers, archers, cavaliers, espions ) ne compte pas dans le décompte des forges -Le Fer est d’Or : Si tu acceptes de vendre ton fer aux troupes Kalards, en passant par des marchands, tu aura un bonus de 50 Or par Tour -Fort Bivoix : Tu peux accepter de stocker ta production de Fer en la mettant sous scellée (mettant l’équivalent de 50 Or en Fer de côté chaque tour). A des répercussions . Choix gratuit Budget du Tour : 396 Or Remboursement attendu à la fin du Tour 7 : 94 Or (action gratuite) Communauté de l’Ordre – Lorwin « Il est vrai que cela sera beaucoup plus impactant que vous conservez dans ses murs. Nous n’avons pas réussi à intercepter d’éventuels charrettes Rahans, cependant je vous en mets une à dispositions. Quand aux troupes, je vous laisse leur commandement, pour l’instant, cependant je réintégrerai les sergents à d’autres unités sans commandement pour le moment. Bon courage pour votre entreprise » C’est ainsi que les mots résonnent dans ta tête alors que tu repars à bord du bateau volé. Cependant, celui-ci, après t’avoir déposé, fera route sans toi vers l’archipel des baleines afin d’y porter le message du Commandant Général. A ton retour, tu apprends que la fête en l’Honneur des aventuriers a déjà eu lieu, sans qu’il y ait de nouveaux débordements, d’après les rapports du moins. Cependant, un groupe de dévots t’attends depuis quelques jours pour te confier une tâche importante à leurs yeux. Émetteur : un groupe de dévots Objectif : Rechercher la "Main de Solaar" et montrer son existence au Monde La "Main de Solaar" serait une relique. Elle contiendrait une partie de la puissance de Solaar. D'après le groupe de dévots, elle ressemblerait à un bâton orné d'une main avec 2 doigts dépliés. Elle serait faite d'Or pur, de diamants et d'un morceau de marbre blanc. Toujours d'après eux, elle serait tombée sur Terre peu de temps avant la Naissance de l'Humanité. Jamais personne ne l'a trouvée, mais dans un extrait du livre "Chroniques de la Guerre Démoniaque" que le groupe a réussi a trouvé, il est mentionné par l'auteur que : "C'est alors que je le vis, cet être abject, dont la noirceur de l'âme n'était suffisante à dissimuler l'aura lumineuse de l'Objet qu'il tenait en sa main. Beaucoup d'Hommes tentèrent leur chance pour récupérer cet objet inconnu, mais qui inspirait chacun d'entre nous, remuant nos entrailles. Loué soit ma lâcheté, car j'en suis le seul qui survécu.Maudit soit ma lâcheté, car je serai à jamais tourmenté par le savoir de cet objet enfermé dans les ténèbres qui ne reverra jamais la lumière de Solaar " Récompense : - la "Main de Solaar" (Acceptation/Refus de la quête gratuit) Budget du Tour : 326 Or Fief des Grisons – Solkills Tu reçois cette missive par pigeon de Sombralys :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Seigneur du Royaume,
Sombralys est sous le siège des forces Kalards, jointes par les troupes Rahans. En tant que Seigneur de Sombralys, mais aussi en tant que Protecteur du Royaume, bien que mon devoir m’ordonnait de me rendre à la justice Royale, je ne puis, en plein conflit, passer le Commandement des armées. De part la même missive, j’implore les différents Seigneurs à préserver l’Ordre et la Stabilité du Royaume, le temps que la lumière sur ses événements soit faite. Sachez qu’il est maintenant, plus que jamais, important de préserver notre Union. En effet, il apparaît qu’en plus de la menace de Sorod, un Démon de la plus haute puissance, l’un des bras droit du Roi-Démon à fait son apparition à la Surface… Que Solaar vienne en aide à ceux qui le mérite. Et qu’il foudroie nos ennemis Baldur Resath » Réaction gratuite La construction à Edelnac n’a pas commencé car le coût n’est pas couvert. Ta Foire Annuelle des moissons a lieu. Malheureusement, avec les récents événements majeurs, tu sens que la population est inquiète, et que très peu d’étrangers viennent. Seuls quelques habitants de la Communauté d’Elderon sera venus pour tenter de contester la première place, mais répartiront avec la 3e place. Quand à ta propre réussite, tu ne finis pas sur le podium, bien que tu puisses apprécier le travail de tes mains. Budget du Tour : 302 Or Fief Esgan – Sardine Les différents bardes, troubadours et autres prennent ton Or avec joie, et s’en iront conté les exploits Esgans, leur affinité avec la Magie, et louer vos talents de protecteurs. Tout autour de la table, les différents chefs de clans et toi-même sont placés. Chacun ici semble se connaître, se respecter et se faire confiance, hormis envers toi. Après tout, n’es-tu pas encore qu’un étranger, imposé par la Couronne ? Après un début de discours, que tu abandonnes vite, remarquant leur manque d’intérêt pour écouter les monologues, préférant le dialogue. Après plusieurs heures de discussions, de verres vidés et de rempotage d’assiettes, il t’apparaît aisément que les différents chefs de clans sont en accords sur la vision de s’assurer de la sécurité Esganne avant tout, et qu’ils essaieront de leur mieux de venir subvenir aux objectifs que vous établissez ce soir là dans ce but. Quand à la position de la Magie, elle fait bien sûr partie intégrante de la culture Esganne..Cependant ils soulèvent ensemble la question d’assurer la protection des mages qui viendraient potentiellement à venir au vu du contexte ? Hormis le clan Gáibheafáin qui bien sûr est pour le retour de la Magie dans votre vie de tout les jours, et comme le dit sa représentant : « Le Destin pourvoira au reste » Concernant ta délégation ainsi que les messagers partis pour Sombralys et Centralys : Le messager pour Centralys est parti par une route légèrement plus au Sud que les autres et n’a donc pas rencontré les troupes Rahans. Tu peux supposer qu’il est donc parti accomplir sa mission. Concernant ta délégation, ainsi que ton messager pour Sombralys : Vous aviez prévu de passer par les 2 Fiefs intermédiaires avant de rejoindre le fief Rahan pour demander des explications, cependant, la suite des événements mènera à un changement rapide de plans. En effet, alors que tu t’approches des limites, plus ou moins flous, du Fief Esgan, tu peux apercevoir au loin des Soldats en Armure Dorée : Les troupes d’élites Rahans. Celles-ci semblent avoir établis un campement provisoire, et d’après un rapide décompte, leur nombre peut être estimé à environ 600-700 soldats. En plein doute, tu décides quand même de continuer ton chemin.. après tout les réponses à tes questions sont certainement devant toi,non ? Alors que tu t'approches, tu entends l'alerte être sonnée et les forces Rahans se mettre en position. Au vu de leur rapidité et de leur organisation, tu ne peux que reconnaître en eux la justesse de la réputation qui les précède.. Tu t'arrêtes à quelques pas de leur enceinte de bois, et décline ton identité, espérant cela suffisant pour ne pas recevoir un trait au passage. Après de longues minutes, la porte de l'enceinte s'ouvre, et 3 cavaliers en sortent. Bien que tout les 3 revêtus de l'armure dorée, tu peux remarquer que chacun arbore un animal différent incruster dans les lignes de celles-ci : un Ours, un Serpent, et un guépard. "Sir Arnoult.."dit le premier de ceux-ci".. que nous vaut le déplacement de votre Seigneurie parmi nous ? Nous avons fait attention à ne pas nous installer sur vos terres pourtant.." "Et bien.. messires ?" "Lieutenant Davol de la compagnie Ours de la Golden Compagny, et voici le lieutenant York, et le lieutenant Batalion" "..effectivement vous avez fait attention de vous installez en dehors, mais néanmoins, votre proximité reste... intimidante... surtout sans connaître la raison de cette présence, surtout en ces temps troublés..." "Ces temps troublés sont la raisons de notre présence. Nous avons ordre de repérer les troupes dissidentes, et de les exterminer. Bien sur tant que vous restez loyal au pouvoir légitime, vous n'avez aucune crainte à avoir... D'ailleurs, il nous ait apparu que le Corps Sombralien venu vous escortez n'était pas au complet à son retour.. vous n'auriez pas une idée d'où serait partis ces traîtres?" "Il ne semble pas que je puisse vous aidez là dessus... mais si j'entends quelques choses je vous le ferai savoir. D'ailleurs qu'à fait Sombralys pour être déclaré, a juste titre assurément, traître ? " "Je ne connais pas les détails, mais nous avons entendus dire qu'ils auraient tenté de soudoyer des Seigneurs, probablement dans le but d'acheter leur vote.. vous savez pour l élection du nouveau Roi..." "Effectivement, seuls des lâches ferait cela... Et vous saviez ce qui est advenu de l'ancien Seigneur Esgan qui faisait route avec eux ?" "L'homme en cage? Il est mort je peux vous le garantir" Ils rigolent de manière sadiques et cruels. "En tout cas Messire Arnoult, sachez que nous avons aussi la mission de maintenir l'ordre et la sécurité dans la région... si jamais vous aviez des soucis avec des bandits.. ou autres..." Ils font demi-tour, faisant fi du protocole. "Vous savez où nous trouvez, n'hésitez pas.. on s'ennuie comme des rats morts ici" Avec toutes ses nouvelles informations, tu rentres rapidement... (Réaction gratuite : Ils ne semblent pas forcément en train de marcher pour vous attaquer.) Tu reçois des nouvelles de l’Abbesse Una, qui se mets en route pour venir te voir. (RP gratuit si tu veux lui poser des questions précises, les informations qu’elle t’apporte apparaîtront au prochain résumé). A ton retour, tu reçois aussi cette missive par pigeon de Sombralys en 2 exemplaires :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« Seigneur du Royaume,
Sombralys est sous le siège des forces Kalards, jointes par les troupes Rahans. En tant que Seigneur de Sombralys, mais aussi en tant que Protecteur du Royaume, bien que mon devoir m’ordonnait de me rendre à la justice Royale, je ne puis, en plein conflit, passer le Commandement des armées. De part la même missive, j’implore les différents Seigneurs à préserver l’Ordre et la Stabilité du Royaume, le temps que la lumière sur ses événements soit faite. Sachez qu’il est maintenant, plus que jamais, important de préserver notre Union. En effet, il apparaît qu’en plus de la menace de Sorod, un Démon de la plus haute puissance, l’un des bras droit du Roi-Démon à fait son apparition à la Surface… Que Solaar vienne en aide à ceux qui le mérite. Et qu’il foudroie nos ennemis Baldur Resath » Budget du Tour : 394 Or (les 100 Or ont été restitués) |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81147
|
Tour 7 :
Blason de l'Ordre
Le Recueillement et la Préparation Je fus accueillit à mon retour de Sombralys par le sourire chaleureux de Retia. L’or de ses mèches illuminait l’atmosphère malgré le silence pesant régnant sur la ville. La cérémonie allait avoir lieu dans quelques heures, je devais m’y préparer. Après une réunion rapide tenue en lieu clos avec Retia, Eva, Dieter et Otto, je récapitulai l’organisation des événements à venir. J’allais devoir m’absenter un mois durant pour mener à bien l’expédition avortée un mois plus tôt. Les jeunes aventuriers, eux, allaient devoir s’entrainer. J’espérais qu’il serait plus facile de les convaincre maintenant qu’ils avaient vécu l’horreur des combats, la douleur de la perte et la peur de la mort. Jean et Joseph serait formés en même temps que les nouvelles recrues. Il leur sera demandé de ne pas faire usage de leurs armes magiques afin de leur inculquer la rigueur, la discipline et surtout de leur faire comprendre à quoi sont confrontés les soldats qui se battront à leur côté à l’avenir. Jyrhad, quant à lui, devait se reposer. Son arc ne lui sera d’aucune utilité durant sa convalescence. Dieter en prendra possession jusqu’à ce qu’il recouvre ses facultés. L’entrainement des deux frères sera suivi d’un mois de formationau sein de la Jugend des Ordens, à laquelle les 3 aventuriers participeraient, pour leur apprendre les valeurs de l’Ordre. A la suite de cette formation, s’en suivra la cérémonie de clôture au cours de laquelle il est de tradition pour les cadets de s’unir à celui ou celle qui sera son partenaire de vie. Des partenaires adaptées parmi les jeunes femmes de leur âge seront sélectionnées au préalable afin de les présenter aux aventuriers et de faciliter ainsi leur consentement à suivre ce cursus. Le message avait été passé à mes conseillers pour diriger la communauté en mon absence. Actions gratuites : Après quelques ablutions, je décidais de recevoir les dévots immédiatement après mon retour afin de savoir de quoi il en retournait. Cette « Main de Solaar » pouvait avoir un intérêt non négligeable. Quand bien même elle n’aurait aucun pouvoir particulier, elle aurait tout de même pour effet de subjuguer l’esprit des fidèles de Solaar. Je devrais consacrer quelques efforts à sa recherche malgré le peu d’information que je possédais à son sujet. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Acceptation de la quête des dévots.
- L’origine des dévots leur sera demandée avant leur départ ainsi que le moyen de les contacter si je parvenais à retrouver l’objet Action seigneuriale : Le temps du deuil était arrivé. La cérémonie avait été préparée par Retia comme convenu. Je devais y faire un discours afin de rendre hommage aux soldats tombés au combat dans le donjon, à ceux ayant succombés aux bandits et aux traitres du royaume. Cette cérémonie avait un but symbolique, aucun corps ne serait réellement mis en terre, n’ayant pas été rapportés. Devant le cimetière de Steinenwolfe, la foule se rassemblait sous la pluie battante. « Mes amis, mes frères, chers habitants de Steinenwolfe, J’aurais aimé vous faire ce discours dans une situation plus heureuse. C’est cependant dans la douleur que nous sommes aujourd’hui réunit. Dans le déchirement lié à la perte de nos valeureux soldats qui ont succombé en donnant leur vie pour l’Ordre, ses principes et son futur. Aussi je m’assurerais que leur famille ne manque jamais de rien. Je les accompagnerais comme l’âme de nos héros les accompagne. Unissons-nous dans leur souffrance, que nos cœurs battent à l’unisson dans cette communion et que le souffle de notre Nation ballait les plaines, les mers et les monts. J’appelle tout le peuple à renforcer ses liens dans cette époque sombre, rapprochez-vous de vos voisins et bâtissez ensemble. Nous allons aux devants de troubles insoupçonnés et seule notre collaboration nous permettra d’en venir à bout. Recueillons nous ensemble à la mémoire de ces hommes qui entrent aujourd’hui dans la légende par leur bravoure. » Après quelques minutes de silence autour des tombes, je repris. « Le temps est au deuil et au recueillement mais nous devrons rapidement rebondir. L’Ordre ne peut faillir et nous devons nous étendre, acquérir la place que nous méritons dans ce monde. Dans un premier temps cela passera par notre nombre. Peuple de l’Ordre, il est votre devoir d’avoir une descendance nombreuse et de l’éduquer dans l’honneur. Nous devons nous préparer et pour cela accroitre nos réserves de nourriture afin de pouvoir soutenir cette expansion. Tous ceux qui souhaite participer sont les bienvenus et sachez que la communauté toute entière vous en sera reconnaissante. Je vous remercie tous pour votre présence aujourd’hui. Nous serons toujours victorieux. Vive l’Ordre ! » Je quittai alors le cimetière pour me préparer à mon voyage. Je laissai Retia s’occuper de l’organisation de la distribution des pensions aux familles des victimes et de la diffusion du message d’appel au don pour la construction d’un nouveau grenier. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Cérémonie d’adieu aux soldats morts au champ d’honneur. Budget : 10 Or
Distribution de pensions aux familles des soldats décédés. Budget : 40 Or Incitation au don populaire pour la construction d’un nouveau stockage de nourriture. Action de fief : Sous mes ordres directs, les brasiers des forges flambèrent nuit et jour. Une guerre civile comme aucun homme vivant n’en avait connu allait faire rage dans le Royaume et l’Ordre devait être préparé. Une troupe d’homme d’arme allait être formée. Parmi les 10 hommes, Jean et Joseph participerait à l’entrainement. Il était désormais nécessaire que ces garnements apprennent la discipline militaire. Je ne m’attendais pas à un miracle mais déjà leur faire comprendre l’importance de la retenue et de l’obéissance serait un grand pas… Dix Panzerschutze seraient également formés. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Recrutement et formation de 10 Panzerschutze + 10 hommes d’armes
Jean et Joseph seront inclus dans les 10 hommes d’armes. Budget : 100 or Action secrète : Le temps de reprendre l’expédition prévue était arrivé. Cette fois-ci, les dangers seraient plus élevés sur le trajet et les enjeux bien plus importants. Cette mission ne pouvait pas revenir à Dieter comme c’était initialement prévu. Je craignais de devoir la mener moi-même. Et j’espèrais que mes nouvelles troupes sauraient m’assurer un minimum de sécurité. Je fis confectionner des tabards aux couleurs de l’Ordre et adapté à l’équipement des troupes de Sombralys afin de leur faire porter. Notre voyage allait passer assez proche des Kalards et je pensais qu’il serais plus sûr d’afficher mon étendard plutôt que celui de leur ennemi direct. Ma première étape se ferait dans le fief des Grisons. Le chemin se poursuivra en direction de Patlamas puis de Solède.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Je me présente à Santes avec mon escorte en requérant une audience avec Hugues de Lannoy. J’arrive les bras chargés de matériel de première nécessité afin de les offrir aux Grisons pour que cela puisse bénéficier à la population que je pense éprouvée par l'afflux des réfugiés.
Je suis alors accompagné, avec mon escorte, à travers les rues de Santes. Je peux noter la curiosité des habitants, voir une certaine inquiétude de leur part. Après avoir remonté ce qui semble être l'artère principale de la cité, je constate que la pente se fait de plus en plus raide et m'amène sur le début du versant est de la montagne. En haut d'un chemin de terre battu, j’aperçois une demeure très ancienne. Le sergent d'arme grison qui vous guide s'arrête et se tourne vers moi : "Messire, je dois vous demander de laisser votre escorte ici." « Bien évidemment. Messieurs ! Attendez-moi là ! Mon servant peut-il m’accompagner ? C’est lui qui porte les documents importants que j’ai à porter à votre attention pour ma proposition. » Il acquiesce et je fais signe à mon serviteur de me suivre. Suivant le sergent et escorté par deux hommes d'arme, nous franchissons le portique. Bizarrement, on ne me fait pas rentrer dans la demeure mais nous partons sur la droite en suivant un petit chemin de graviers qui contourne le bâtiment. Je constate qu'il n'y a que très peu d'ornementation et aucune bannière ni étendard de la famille Lannoy n'est dressés. L'ensemble apparaît très austère et rustique. Je tente d’engage la conversation sur le chemin : "J'espère que la situation a pu s'améliorer dans votre fief. Votre absence a été regrettée par les convives du banquet mais je comprends que le peuple passe avant tout." Le sergent d'arme est un peu surpris que je commence une conversation avec lui. "Et bien messire, j'en sais pas trop. Je m'occupe pas vraiment de tout ça vous voyez. Mais euh.. Les réfugiés vont bien. Le seigneur de Santes s'est occupé d'eux personnellement." "Je comprends. Le seigneur de Santes semble être un homme bon et soucieux des personnes dont il a la charge. N'est-il pas trop surchargé avec la guerre civile qui s'approche ?" J’observe attentivement la réaction du sergent. Je le vois sourire. "Oh que oui il l'est ! Lui au moins il mérite sa place, pas comme les seigneurs de pacotilles qui peuple le royaume..." Il marque un temps d'arrêt. "Hum, sans vouloir vous vexer messire." J’aperçois un homme de forte stature se diriger vers votre groupe. Il a l'attirail d'un guerrier mais ne porte pas d'armure. "Seigneur Honenburg ?" "Lui-même !" "Lieutenant Loris, j'ai été chargé de vous conduire jusqu'au maître des lieux. Excusez-moi, mais je vais devoir fouiller votre homme. Par sécurité avec les temps qui courent... Vous en êtes exempté bien sûr, de par le privilège de votre rang." Je note de la suspicion dans son regard alors que ses yeux vont de ma personne à mon assistant. "Je comprends tout à fait ce besoin. Faites donc." Le dénommé Loris s'exécute lui-même à la tâche sans prendre de gants. Manifestement satisfait, il se redresse et m'invite à le suivre. J’observe les alentours lors du chemin pour comprendre ce qui peut pousser les Grisons à temps de prudence. La peur d'être impliqués dans le conflit à venir ? Je finis par arriver dans ce qui semble être le jardin. Celui-ci dénote avec le reste du domaine et apporte une touche bienvenue de verdure et de beauté. Le calme y règne, comme si le bruit lointain de la ville n'osait point perturber ce havre de paix. Je constate que l'endroit est bien entretenu mais je note tout de même de la négligence de la part des serviteurs. Serviteurs que je n'ai pas encore croisés jusqu'à maintenant. Je passe devant une statue très ancienne, datant de plusieurs centaines d'années au minimum. Elle y représente un homme très musculeux avec un air de défi. Alors que je contemple l'endroit, je suis tiré de ma fascination par l'arrêt soudain du groupe. Une jeune fille d'une beauté encore supérieur au jardin se tient sur le chemin, ce qui a obligé le lieutenant à s'arrêter. Je vois de la colère dans ses yeux alors qu'elle me fixe. "Quoique vous voulez, vous n'avez rien à faire ici. Alors dégagez !" Le lieutenant semble quelque peu mal à l'aise. Ignorant l’invective, j’interpelle le lieutenant : "Permettez-moi de vous poser une question mais plus cette escapade se prolonge plus je suis amené à penser que vous nourrissez une certaine animosité à mon égard. N'y voyez là aucune accusation mais je souhaiterais être informé si j'ai manqué à l'une de vos coutumes et indisposé vos gens par là même ?" Alors que les attentions sont fixés sur la jeune demoiselle, une ombre se déplace.. D’un pas aussi léger que le vent, jouant avec les ombres ambiantes, celui-ci se fonde dans le paysage, prenant gare à ne pas laisser de traces de son passage. Indétecté, il se glisse dans un renfoncement végétal et tend l'oreille. Mon serviteur tourne la tête vers le jardin quelques secondes, puis reporte à nouveau son attention sur l'échange devant lui. Il observe de nouveau le jardin quelques secondes plus tard avant de reporter pleinement son attention sur vous. Avant que le lieutenant ne puisse répondre, la jeune fille s'exclame : "Ne m'ignorez pas, Enrent ! Quoi que vous voulez dire à mon père, vous pouvez garder votre venin pour vous !" Elle s'approche, menaçante. Le lieutenant Loris tend le bras pour la stopper mais elle essaye quand même de pousser avec vigueur. Malgré le fait qu'elle m’apparaît avec la fragilité d'un cristal, elle est mue par une réelle volonté. "Madame, il suffit ! Votre père m'a ordonné d'amener le seigneur Honenburg à lui, maintenant écartez-vous avant que je ne sois obligé de faire demander la garde." Elle me fixe avec fureur puis tourne les talons et s'en va. J’entends à nouveau mon nom écorché, peut-être est-ce dû à l'accent local. Quoi qu'il en fût, le problème évident n'était pas celui-ci. "Comprenez Lieutenant Loris que je me dois d'exiger des explications." "Veuillez nous excuser pour cette interruption, messire. Il s'agit de la fille du seigneur De Lannoy, Luise. Elle... Elle s'inquiète juste pour son père et prend trop à cœur les affaires qui ne la concerne pas encore." "Elles ne la concernent peut être pas mais il semblerait qu'elles me concernent moi. Pouvez-vous, je vous prie, m'indiquer ce qui me vaut cet accueil ?" Je laisse alors tomber le sourire chaleureux que j’arborait jusqu'alors pour prendre un air beaucoup plus solennel. "Si vous connaissiez l'histoire de notre peuple, vous comprendriez. Mais ce n'est pas à moi de répondre à ces questions. Le seigneur De Lannoy vous attends." Il se remet en marche et je le suis dans les ruelles, gardant une attention toute particulière à mon environnement. J’arrive devant un homme accroupi, le dos tourné. Il est en train d'entretenir un parterre de fleurs des montagnes. Il n'a comme tenue qu'une simple toge malgré la température assez fraîche. Le lieutenant me fait un signe en acquiesçant et il fait quelques pas de côtés pour me laisser passer ainsi que mon assistant. "Seigneur De Lannoy, je suppose ?" Lançais-je sur un ton subtilement piquant en m’adressant à cet homme que j’avais déjà rencontré auparavant. Quelques secondes s'écoulent alors qu'il pose ses outils et se redresse. Il se tourne vers moi et je peux observer un homme dans la trentaine dont le visage est marqué par l'effort. Néanmoins, il ne semble pas être bâti comme un soldat. "Comme si vous ne le saviez pas, seigneur Hohenburg." Je constate que cette fois ci mon nom n’est pas écorché. Il essuie ses mains sur un chiffon qui pend à sa ceinture avant de tendre la main. "Bienvenu sur les terres grisons." "Et je vous remercie, évidemment, pour cet accueil..." Lancé non sans une pointe d'ironie, Bernard serre cependant la main de son hôte. "Comprenez ma position, je me rends à votre visite en toute courtoisie et amitié et me voilà accueillit avec méfiance et soupçons. Et à cet instant même par des insultes et des injonctions à quitter vos terres par votre propre fille. J'ai vu le regard que vos hommes me lançaient sur le chemin. Je n'irais donc pas par quatre chemins. Quelles sont les accusations qui me sont faites et qui justifieraient de me voir jeter l'opprobre ainsi par un fief que je considère comme un partenaire de valeur ?" Malgré ma contrariété, je prononce cependant ces mots dans le plus grand calme et retenue. L'ombre nous a suivis, se coulant avec une discrétion sans pareil, cependant Hugues croit apercevoir un mouvement au niveau du coin de l'œil. Mon serviteur tourne aussi la tête, encore une fois, mais après quelques secondes n'arrive pas à discerner quelque chose. Deux mains se serrent, l'une habitué à manier l'épée, l'autre habitué à manier la terre. Hugues fronce un peu les sourcils. "Pardonnez Luise, ce n'est encore qu'une enfant même si elle ressemble déjà beaucoup à sa mère..." Je ressens clairement de la tristesse dans la fin de cette phrase. "Quant à mes hommes, ils sont grisons. Et c'est donc normal qu'ils se méfient de vous de par vos liens avec Sombralys, surtout par les temps qui cours." Hugues tourne légèrement son regard dans la direction indiqué mais ne voyant rien, reporte son attention sur moi. Après quelques secondes, la poignée de main se rompt. "Je vois que la nouvelle a réussi à parvenir jusqu'à vous. Je savais les Grisons hostiles à Sombralys mais je ne pensais pas votre peuple plus proche de la Couronne pour autant. Sachez cependant que je ne suis présent en ces lieux ni sur ordre du Commandant Général, ni sur celui de la Reine. Mes intentions à votre égard sont exactement celles que j'ai nommé à vos gardes." Après une courte pause pour regarder ce qui attirait tant l'attention de l'assemblée, je tourne rapidement la tête sans ne rien apercevoir non plus et repris. "Je suis en quête d'un mage ou de quiconque serait à même de soigner des blessures magiques. Deux de mes hommes sont en piteux état. Je n'ai pas pu savoir ce qui leur était arrivé et je suis donc en route répandant mon appel à l'aide sur mon chemin. J'ai profité de l'occasion pour vous faire parvenir de bien maigres présents face au travail que vous devez abattre ici. Mais comme toujours, ce chemin a été choisi non sans intérêt. En effet, je requiers votre aide pour traverser la rivière afin de me rendre aussi vite que possible chez les Portos, leur science saura peut-être égaler la magie dans cette situation." "Je n'apprécie ni la couronne, ni Sombralys pour des raisons si évidentes qu'il est inutile que je donne un cours d'histoire. Vous clamez venir sans ordre du Commandant Général, rien ne peux me l'assurer si ce n'est votre parole et cela ne me suffit pas." Je remarque le manque de tact et je me rappelle du caractère du seigneur de Santes. "Qui plus est, le Commandant Général a tenté de me forcer la main. Il a échoué. Vous comprendrez ma méfiance donc. Quoiqu'il en soit, je n'ai pas de griefs envers vous. Je n'ai aucune raison de ne pas vous offrir mon assistance, ne serait-ce que par égard à votre rang." "J'apprends avec regret cet acte de Sombralys. Je peux vous donner ma parole que je n'en savais rien même si cela ne semble pas vous convaincre. Vous gardez votre méfiance et c'est votre choix, un choix prudent qui vous ressemble et voyez là un compliment." Je fais un geste de la main pour indiquer à mon serviteur de sortir un rouleau. "Permettez-moi donc de faire le premier pas vers vous. Je souhaite profiter de notre entrevue pour vous proposer un échange qui ferait grandir nos deux peuples. Voyez là quelques technologies que je souhaiterais partager avec vous en échange de ce que vous pourrez m'apprendre de vos techniques et savoirs. Notez bien qu'aucune de ces technologies n'est guerrière, peut-être cela vous fera comprendre que Sombralys n'y trouvera aucun avantage particulier." "Voilà un geste honorable de votre part. Je pense que nous pouvons échanger en toute tranquillité des savoirs qui peuvent bénéficier au plus grand nombre. Mais vous seriez surpris de certaines ressemblances entre nos peuples qui maîtrisent des procédés similaires. Ce procédé m'intrigue... Climatologues ? Je vous propose en échange notre technique de fabrication de briques creuses. Elles sont légères et isolante, cela vous permettra diminuer le coût de construction de vos bâtiments." Le visage d'Hugues devient perplexe. "Par contre, il y a un problème à vous faire traverser la rivière tel quel. Voyez-vous, vous n'êtes guère discret avec votre escorte et les Kalards sont peut-être déjà au courant de votre présence. Je ne peux me compromettre en vous faisant traverser la rivière aux yeux de tous. Après tout, vous vous rappelez peut-être que ma défunte mère était une Kalard... Si vous souhaitez traverser avec mon aide, il faudra attendre le couvert de la nuit. A partir de là, je pourrai discrètement vous faire passer de l'autre côté via notre vedette fluviale." "Je suis tout à fait intéressé par vos matériaux de construction. Je trouve l'échange équitable." Je reprends mon sourire chaleureux. "Votre proposition me touche, je la reçois comme un geste d'amitié fort apprécié. Sachez qu'en l'honneur de notre passé, de notre présent et je l'espère de notre futur, je défendrais la cause des Grisons auprès de Sombralys." Voyant le visage d'Hugues s'assombrir quand "Sombralys" fut nommé, je reprends : "Je sais que vous ne les portez guère en grande estime, mais je peux vous assurer que Baldur est un honnête homme et qu'il a pu faire montre d'un honneur ... disons presque démesuré. Si nous devons attendre jusqu'à la nuit, peut être auriez-vous un peu de temps pour que je vous donne en privé quelques détails sur la situation en actuelle ? Quel que soit votre choix final, il sera votre et je ne vous en ferais aucun reproche. J'espère juste que cela vous permettra à vous positionner avec toutes les informations à votre disposition." "Je vous sais être un homme d'honneur, seigneur Hohenburg. Vous vous portez garant du comportement de vos hommes ?" "Je m'en porte garant." "Bien. Vous serez donc mon invité jusqu'à ce que la nuit soit sombre." Hugues se tourne vers le lieutenant. "Loris, les soldats de l'ordre seront temporairement assigné à la caserne. Prévenez nos hommes et évitez tout problème, bien compris?" "Comme vous voulez, seigneur.." On sentit tout de même un signe de contrainte dans sa voix. Hugues reprend : "Je vous en prie, seigneur Hohenburg, veuillez me suivre." Je jette un bref coup d'œil au lieutenant qui s'éloigne en grommelant. Hugues fait un petit tour du jardin pour se diriger ensuite vers un chemin couvert par des arches menant à l'intérieur du domaine. Alors que le Seigneur De Lannoy se déplace, il aperçoit, provenant du domaine, sa belle-fille venir vers eux, l'air toujours aussi remonté... Voyant cela, Hugues soupire, regrettant que sa douce femme n'ait donné à leur fille une grande beauté, mais aussi un entêtement tout aussi incroyable… L'ombre, tapie dans le renfoncement végétal, guettant son occasion, se raidit. Respirant calmement, il laisse sa main descendre lentement jusqu'à sa ceinture, tâtonne légèrement jusqu'à trouver les pommeaux… d'un geste fébrile, il tente de se calmer en dégainant 2 couteaux, ses préférés. En cette journée d'été où le soleil frappe dans le jardin, voilà qu'un des rayons vient percer le tapis de végétation, et vient, l'espace d'une seconde mordre l'acier de la lame. Cette seconde, comme suspendu dans le temps, est l'occasion pour que le Seigneur de Lannoy puisse apercevoir la réverbération danser sur le sol, au-devant de sa fille. D'un mouvement rapide, sans analyser, celui-ci se retourne et aperçoit l'origine du sinistre reflet... Alors que d'innombrables pensées obscurcissent son cerveau, son reflexe est de se jeter au-devant de sa fille, criant des sons plus que des mots. Je ne compris pas immédiatement ce qui se passait. J’étais debout et désormais poussé au sol, délesté de ma dague par mon serviteur. Un bruit confus, un cri de surprise plus tard, et le silence revient. À la place d'où je me tenais, mon serviteur se tient encore debout, une lame luisante dans le torse, mais plus d'arme en main. Son sang s’écoule au sol, jusqu’à moi avant qu’il ne s’effondre à mes pied. Hugues de Lannoy tient fermement sa précieuse fille entre ses bras, et un trou béant s'ouvre dans sa manche, là ou une lame a traversé fort heureusement sans effleurer sa peau. L’ombre quand a elle est désormais bien visible. Une femme se tient droite ma dague enfoncée au niveau de son abdomen... sur son visage se lit une grande surprise avant qu'elle ne s'écroule au sol. "Hugues ! Avez-vous été touché ? Gardes ! Gardes ! A l'assassin ! Vite venez ici !" A la vue de mon serviteur touché à la poitrine mon sang se glace d’effroi. "Un médecin ! Quelqu'un est-il capable de prodiguer des soins ici ?" Cela pris quelques secondes avant que je remarque qu’il était trop tard pour lui. "Je vais bien ! Luise, tu vas bien ?" Hugues la serre encore plus profondément contre lui alors qu’il est gagné par la colère. Lorsqu’il est certain que tout est sous contrôle, que la garde est là, il la confie à ses soldats et se dirige vers mon serviteur afin de voir dans quel état il se trouve. Il le découvre visiblement mort, un sourire aux lèvres comme s'il était heureux de cette fin pour lui. Je m’approche pour regarder le corps de l'assassin, serrant le poing et les dents et tentant difficilement de camoufler la rage qui m'emplit à cet instant. "Elle est encore en vie ! Hugues faites la soigner je vous en conjure. Nous devons savoir qui est à l'origine de cette attaque !" L’assassin quant à elle, respire encore, mais ne représente plus une menace... la lame en travers de son abdomen, à défaut de la tuer sur le coup, reste une blessure qui lui sera fatale dans les minutes à venir, la médecine conventionnelle ne pouvant rien pour elle. A sa ceinture, deux autres lames sont encore dans leur fourreaux, chaque fourreau ayant dans le bout une sorte de flacon avec un liquide vert pour que le bout des lames viennent tremper dedans. Alors qu’Hugues s’approche de la femme, il sort la petite sphère en verre qu'Arilo lui a confié et la brise au sol. J’entends la sphère se briser et je me tourne alors en sursaut l'épée à la main encore sous le choc des dernières émotions. « Baissez votre arme, Bernard ! Arilo, sauvez la vie de cette femme, vite ! Il nous faut des réponses de la part de cet assassin !" Bernard, l'air méfiant hésite quelques secondes et range son arme. Arilo hoche la tête, comprenant que la situation doit être importante.. Il a cependant un mouvement de recul lorsqu'il voit le liquide vert. Il entame néanmoins une incantation dans une langue profondément obscure pour vous. Une lueur sors de son corps, et pénètre dans celui de la jeune femme... après quelques secondes, la lame est poussé à l'extérieur de son corps, et une profonde inspiration se fait entendre. La garde attache rapidement la captive avant qu'elle recouvre ses esprits, et la désarme. Hugues lance : "Garde, emmenez là immédiatement dans les cachots et sous bonne garde. Et rassemblez ses équipements. Merci mon ami, je suis désolé d'avoir du vous appeler ainsi mais la situation l'exigeait..." Arilo se relève, tremblant encore de l'effort magique demandé et fini par se rasseoir pour récupérer son souffle. « Ce... n'est rien... Messire.... » Hugues se tourne vers un soldat. "Va vite chercher du vin pour Arilo, dépêche-toi !" Le soldat part vite, et la garde emmène prestement la captive. Elle avait 4 lames, dont 3 sont encore enduites de liquides verts. Dans ses poches, on ne trouve qu'un médaillon avec comme inscription "Que les Seigneurs Tombent Morts. Le Peuple connaîtra un grand âge d'Or " Assez interloqué, je demande : "Vous... avez un mage à votre cours ?" "Vos yeux ne vous trompes pas, seigneur Hohenburg." "Nous en parlerons plus tard. Avant cela, j'ai quelque chose à vous demander. Nous devons incinérer dans les plus brefs délais le corps de mon serviteur. Je ne peux courir le risque qu'il soit découvert en dehors de mon territoire. Pouvez-vous organiser cela ?" "Cela peut s'arranger, mais pourquoi ?" "Comme vous avez pu le remarquer, il était loin d'être un simple... serviteur. Son corps pourrait donner beaucoup plus d'information à nos ennemis que je ne pourrais le tolérer. Je ne peux vous en dire plus, j'espère que vous pouvez tout de même accéder à ma requête." "Très bien, mes hommes s'occuperons de lui et il recevra les prière d'usage. Mais pour l'instant, je pense qu'il est important de garder ce qui s’est passé ici sous silence. » "Je vous en remercie. En effet, nous sommes avec nos hommes les seuls au courant. Et cela est surement mieux ainsi. Puis-je emporter avec moi une fiole de ce liquide ? Je souhaiterais le faire étudier à mes scientifiques. Peut-être sa composition saura nous en apprendre plus sur cette personne... et son origine." « Vous pouvez prendre l'une des fioles, à condition que nous partagions toute découverte entre nous. " "Toute mes découvertes vous seront transmises." Hugues garde le médaillon avec lui et ordonne qu'on place les lames enduites du liquide vert dans un coffret. Arilo lève la main et fais signe à Hugues d’approcher. "Oui Arilo ?" Il prononce avec difficulté quelques mots, puis fais un hochement de tête appréciatif en voyant le vin arriver. Le seigneur de Sante acquiesce, perplexe. Il lui montre le médaillon pour voir s’il le reconnait. Arilo hoche la tête négativement et Hugues se tourne alors vers moi. "Seigneur Hohenburg... Bernard si vous me le permettez. Il faut qu'on parle de ce qui vient de se produire et de toute urgence." "Je le crois aussi..." Les deux seigneurs se retrouvent dans le bureau d’Hugues. La pièce, comme le reste de la bâtisse, est relativement sobre. Une fenêtre donne sur le jardin en contre-bas et laisse filtrer un rayon de lumière dans la pièce. Sur l'un des murs, on y trouve le portrait de la famille : Hugues, Constance son épouse et Luise. L'un des deux gardes qui nous ont escortés referme la porte, laissant les seigneurs seuls pour discuter. "Veillez accepter mes excuses, Bernard, pour la mort de votre serviteur. Un assassin, ici... Je ne comprends pas comment il a pu accéder aux jardins." "Je crains que vous ayez été victime d'un afflux trop important de population ces dernières semaines pour pouvoir faire le tri entre les bons et les mauvais éléments. Vos excuses ne sont pas nécessaires. Je vois bien que vous n'êtes pas impliqué. Cependant, il est nécessaire que l'on tire au plus vite cela au clair. Ma mission prioritaire reste cependant la même. Je dois chercher un moyen de sauver mes hommes. A moins que votre mage puisse m'y aider, je dois continuer mon voyage vers l'Est." "Non, ce n'est pas lié aux réfugiés. Cette femme est un assassin entraîné du plus haut niveau et son équipement est hors de prix. Quelqu'un l'a envoyée ici pour nous abattre tous les deux. Votre mission vers l'Est est compromise. L'ennemi, qui qu'il soit, sait que vous êtes ici. Qui plus est, les Porto ne vous seront d'aucune aide dans ce domaine. Vous avez aperçu les talents de mon mage, il pourra peut-être vous aider mais je refuse de l'envoyer hors des territoires grisons." Hugues ouvre le coffre qui contient les fioles de poisons. "Ce poison... vaut une fortune, Bernard. Il vaut bien plus d'or que ce que l'on possède toi et moi réuni. C'est à dire que le commanditaire a des grosses ressources sous la main, en plus d'une raison de nous voire mort." Il dépose le médaillon sur la table. "Et apparemment, quelqu'un qui veut la mort des seigneurs du Royaume. Vous savez à qui je pense quand je lis ces deux éléments ensemble ?" "J'ai passé l'âge des devinettes Hugues, si vous avez une idée faites m'en part." "Sorod le Bâtard." "Or nous ne savons quasiment rien de lui. Et même Sombralys qui a déployé toutes ses ressources pour le retrouver a été incapable de le faire. Et vous vous accorderez bien avec moi sur ce point, seul il n'aurait aucunement les moyens de mener à bien une entreprise de ce genre." Je me tourne vers la fenêtre. "J'ai beau tourner la question dans tous les sens, nous devons savoir si ce médaillon est une piste ou un leurre. Avons-nous été les seuls ciblés ? Qui soutient l'assassin et cette entreprise ? Il y a forcément des fiefs engagés avec Sorod s'il s'agit de son fait. A moins que..." Je me tourne à nouveau vers Hugues, le doigt levé avant de me raviser. "Non, ce ne peux pas être ça... Pourquoi un démon utiliserait des humains comme intermédiaire pour faire un travail qu'il réaliserait aussi bien lui-même. Et en même temps, la coïncidence est trop grosse... D'abord la disparition du bâtard puis du trône, puis la déstabilisation du Royaume par la guerre civile et maintenant les rumeurs de l'apparition d'un démon supérieur. Et si nous étions embarqués dans quelque chose de bien plus gros qu'une simple lutte de pouvoir..?" "Des démons ? Mais ce n'est qu'une légende pour effrayer les enfants Bernard, ils n'existent pas. En effet, seul il n'aurait jamais pu agir. Quoiqu'il en soit, j'adhère à votre raisonnement. Cette Guerre Civile cache quelque chose de bien plus grand et qui met en danger l'ensemble des peuples du Royaume... » Hugues s'arrêtes quelques secondes, le temps de réfléchir. "Bernard, il nous faut arrêter cette guerre entre Sombralys et les Kalards. Croyez-moi, je n'aurai jamais levé le petit doigt pour aider le Commandant Général si la situation n'était pas aussi périlleuse. Vous le connaissez, vous êtes proche de lui. Il vous écoutera. Quant à moi, je peux mettre tout en œuvre pour convaincre Vivianne de Kalard de cesser cette guerre." Après quelques instants, je reprends en revenant sur les précédents propos d'Hugues. "Je pourrais tenter de faire venir jusqu'à vous mes hommes mais je ne suis pas sûr qu'ils survivent au voyage. De plus, rien n'indique que l'assassin était au courant de ma venue. Il aura simplement profité de l'occasion pour tenter de faire d'une pierre, deux coups. Je reste persuadé qu'il nous faille rassembler informations et contacts au sein des grandes puissances. Je ferais porter un message aux terres de la communauté de l'Ordre. J'emprunterais volontiers l'un de vos messagers pour cela, il traversera sans l'ombre d'un doute, beaucoup plus facilement les patrouilles kalardes qu'un de mes hommes ainsi la nouvelle sera transmise et s'il venait à m'arriver malheur cela ne vous serais pas imputé." Je réfléchis quelques instants à la réponse d'Hugues. "Méprenez-vous, Hugues ! Aussi folklorique que ce puisse paraitre, ce démon pourrait tout à fait être réel, je le tiens de sources fiables. Pour ce qui est de ce conflit, je ne peux que m'accorder avec vous mais que préconisez-vous ? Quelle justification pourrait mettre un terme au massacre initié par les Kalards ? Comment pourrais-je convaincre Baldur de croire à nouveau en ceux qui ont fait assassiner ses hommes alors qu'il était prêt à se rendre ?" "Faites venir vos hommes blessés. De toute façon, s’ils ne survivent pas à cela ils ne survivront pas à votre retour des Porto. Pour ce qui est de l'assassin, nous n'en sommes pas sûrs et c'est inutile de prendre des risques supplémentaires. Bien entendu, un messager sera mis à votre disposition." Je me caresse le menton, dubitatif devant les propos de Bernard sur des soi-disant démons. "Si vous le dites... Quant à Baldur, demandez-lui de vous faire confiance. Peut-être pourrons arranger une réunion en terrain neutre." "Je n'ai pour l'instant aucun moyen de me rendre à Sombralys. Le fief étant en état de siège et n'ayant moi-même aucune embarcation. J'essaierais également de régler ce problème auprès des Portos. Je me rendrais à Sombralys dès mon retour pour tenter d'organiser cet armistice mais il serait de bon aloi de faire cesser les hostilités côté Kalard en signe de bonne foi. " "Je ferais ce que je peux, soyez en assuré." Expire un peu en voyant l'insistance de Bernard. "Soit, si vous voulez absolument voir ces charlatans, livre à vous d'y aller. Vous m'apparaissez comme un homme de confiance, Bernard. J'espère que je ne fais pas là une grossière erreur...» "Sachez que je n'ai jamais trahit ma parole ! Mais seul le temps vous donnera raison." L’entretien s’achevait sur ces mots. Une fois la nuit tombée, je traversais la rivière avec mon escorte amputée d’un homme. Détails de l’action dans l’handout
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Envoi de Bernard, des arbalétriers à répétition, des arilos, d’un sombre traqueur et d’un espion qui se déplaceront en charrette ainsi que 11 messagers qui porteraient une lettre aux fiefs rencontrés sur le chemin.
« L’Ordre recherche activement une personne capable de magie afin de soigner des blessures d’origine non naturelle. Une récompense sera offerte à quiconque est en capacité d’aider ces blessés. Si vous avez des informations concernant l’existence d’un mage, veuillez en informer l’Ordre. Avec tous mes remerciements, Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre » Budget pour les présents : 20 Or Budget restant : 156 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81176
|
Tour 7:
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède D'acier et de soie: Réaction Gratuite : Mais ou est passé
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Retenir les soldats de Sombralys chez nous pour les utiliser plus tard Méthode : -Parler et expliquer qu'on enverra un agent discret enquêter -Arguments : Fief officiellement n'a pas pris partit donc prend moins de risque, passer par le fief des martyrs solarienne peu devenir dangereux pour les troupes de sombralys RP : Cette fois-ci, je choisis d'aller directement au-devant du Sergent Yamamoto. C'était un homme déterminé et visiblement intelligent (il n'avait pas remis en cause mes ordres ce qui était une preuve d'intelligence). Aussi je choisis d'avoir une discussion avec lui. Il était avec quelqu'un de ses hommes entrain de discuter. Ils étaient visiblement quelque peu inquiets et intrigue de ne pas avoir de nouvelle du 4e corps d'armée. Alors que je m'approchais, les soldats se levèrent et me saluèrent dans les formes. Je m'assis et leur fis signe de faire de même. - Capitaine, vous aviez à m'entretenir? -En effet. Il s'agit de … Je le coupai dans sa phrase. - Il s'agit de la situation de la IVe Armée. Elle devrait déjà être là. Ce qui n'est pas le cas. Et ce qui confirme mes doutes par rapport à la situation. -Vous avez eu de bonne intuitions. -Oui et je vais continuer. Vous et vos hommes restes ici. -Nous souhaitions aller à la rencontre de la IVe armée. -Je sais. Comme je vous l'ai déjà dit-il est probable que des combats ont déjà eu lieu. D'ailleurs je sais de source sûr que plusieurs armées de sombralys ont été mises en difficulté. Or je ne tiens pas ont précipité une vingtaine de bons soldats dans une situation difficile. Aussi vous resterez ici. Ma caserne peu vous accueillir, vous aurez des draps, de la nourriture et de l'eau de cheminée. -Et à propos de la quatrième armée? Dit un des sous-officiers sur un ton déplaisant qui fut sanctionné d'un regard noir du sergent Yamamoto. - J'enverrai des agents de mon fief pour récupérer des informations. Nous n'avons pas encore pris position dans le conflit aussi nous n'aurons sans doute aucun problème à passer le fief des martyrs ce qui pourrait ne pas être votre cas. Aussi j'estime que mes hommes prendront moins de risque que vous pour cette mission, tout en étant capable de remplir leurs missions. -Et ensuite? -Quand j'aurai les informations dont j'ai besoin, j'agirai en conséquence. Et sous ma direction, vous comme le reste de la IVe armée aurez à accomplir votre part dans la protection du royaume. Je mis fin à la conversation en me levant. Malgré mon départ soudain, les soldats réagirent vite et se mirent au garde-à-vous pour saluer mon départ. Réaction Gratuite : La voie du fer
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Augmenter notre autonomie militaire et notre force armée Méthode : -Toujours battre le fer : en échange de l'utilisation du Fer extrait par Tour, fourni 1 soldat aléatoire (Hommes d’armes, piquiers, archers, cavaliers, espions ) ne compte pas dans le décompte des forges RP : Nous Etions-là. Nous Etions cinq. Il y avait mon père, Armory Bivoix. Il était vêtu simplement, une cote de bonnes factures couvrait son torse, une cape de fourrure ornée de larmes rouge sang couvrait ses épaules. Il n'avait ni son sceptre de bourgmestre, ni la nouvelle couronne de la grande alliance qu'il voulait construire. Il était là en tant que bivoix et en tant que rien d'autre. Ce qui allait se faire ici était une tradition des mercenaires bivoix. À sa droite, j'étais la également, portant l'épée qu'on m'avait offerte cette année et vêtu de mes vêtements de conseil. Élégant, mais pas tape a l'oeil. J'étais aussi fier qu'anxieux d'être là. À ma propre droite, il se trouvait un homme dont les cheveux étaient visiblement teints. Il portait un capuchon noir, et des vêtements amples qui ne laissaient rien deviner de son anatomie ou de ses armes. Son visage était neutre au possible, on aurait dit une toile sur laquelle il peignait des expressions humaines selon ses désirs. En face de moi, le maitre des cavaliers. Mon père le connaissait depuis longtemps, ils avaient fait leurs armes ensemble. Aujourd'hui il était sérieux, plus que d'habitude. Il avait une longue cape noire, et il portait son armure de cuir léger typique des cavaliers, les cuisardes étaient un peu usées à force d'usage, mais ses armes étaient aussi entretenues qu'il était possible sur la terre des hommes. Et enfin, à gauche de mon père, le chef de la garde et des forces d'infanterie de ville, c'était un homme gras qui avait ete choissis pour son sens de l'observation et surtout pour sa grande gueule. Il avait la capacité de crier et d'être entendue d'un bout à l'autre de la ville. Pratique pour commander et pour intimider les troupes et les gens. Il était complètement chauve, son crâne comme son ventre forme un rond parfait. Et ses énormes mains étaient rangées dans des gants de cuir tachent de gras et de sang. J'étais heureux d'être là, mon père devait estimer mes récents résultats à la banque, peu être même avait-il oublié que je m'étais endormi chez les tortas (Je pouvais toujours rêver). La pièce était, sombre les portes barricadés par un lourd morceau de bois. Au centre, un chaudron vide, symbole de ma famille. Et tout autour de nous, un silence étonnant. Mon père rompis le silence toujours avec son aire autoritaire et sûre de lui. - Commençons par boire. Il servit à tous un verre d'eau de cheminée, il me regarda comme pour dire ne me fais pas honte cette fois. Il n'avait pas oublié donc... Mais je put boire, c'était largement moins infect que leurs espèces d'alcool de mer. - Bien. Je vous ai convoqué pour évoquer des points précis que le conseil de ville n'a pas à connaitre tout de suite. Il marqua une courte pause et regarda chacun de nous dans les yeux. - Premièrement, les armées de Sombralys semblent être en difficulté dans la guerre qui les oppose aux Kalards et aux ahans. Aussi, nous nous devons de nous préparer à rejoindre le conflit. Aussi nous ne vendrons pas de faire aux Kalards, sombra Lys et un ancien mais et je ne les trahirai pas en vendant du fer a leurs ennemies. Aussi, ais je choisis que nous utilisions notre fer pour produire davantage de troupe. Le chef d'infanterie prit la parole alors que mon père reprenait son souffle. - Combien? C’est-à-dire? Vous avez déjà des chiffres? Des effectifs possibles? J'affichais ma surprise de voir mon père couper de la sorte par une subordonnée. -Même toi gamin.[/i] dis le gros bonhomme. - Même toi... Dit mon père -Justement, tenez et observez. Avec le fer et nos capacités. Nous pourrions augmenter nos effectifs de manière exponentiel. Nous atteindrions vite une force importante pour un fief de notre taille. -Nous allons être courtiser dis donc. Si ça marche... -Si ça marche on nous demandera de payer un impôt en soldat pour l'un ou l'autre camp. dis l'homme encapuchonner. - Oui, nous devons saisir cette occasion. Nous deviendrons un fief fort militairement, et si la quatrième armée nous rejoint. Nous aurions une force de frappe immense pour étendre notre influence. Est ce que c'est tout? -Non. Nous passons à l'action. Demain tu partiras avec tes cavaliers dans les terres de la coalition. Et la semaine prochaine quand vous aurez vos chevaux, j'enverrai nos espions dans la montagne et a travers le pays pour recueillir des informations sur tout ce qui est possible. J'étais abasourdi. Nous allions passer à l'action... Action Seigneurial : Bannière prestigieuse, Couronne luxurieuses, alliances bienheureuse
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Créer des objets de luxe pour acheter le soutient des tortas à notre projet Méthode : -Coudre 3 Bannière avec le tissu de luxe -Revendre le surplus pour payer les forgerons (En divisant par deux 191 or) -Forger 3 Couronne à 63 or la pièce RP : -Il était temps. J'ai passé la commande au début de semaine. Et ce ne sont que les ébauches! Comme a son habitude Armory gesticulait et s'impatientait de recevoir les resultats de ses demandes. Cette fois c’était à propos de quelques couronnes et de quelques bannières. Il en avait a peine parlé lors des repas, évoquant simplement des cadeaux qu'il offrirait a nos voisins pour les mettre dans de bonne disposition pour de futur accord. Il en avait a peine parlé, mais soudainement cela semblait etre la chose la plus importante du monde... -Entrez, entrez, ne nous faites pas plus attendre. Vous verrez ma dame, avec ces bannières nous achèterons l'amitié et l'admiration de n'importe qui. -J'ai hâte de les voir dans ce cas. Et ils entrèrent, trois serviteur bien vêtu, chacun suivit de deux apprentis couturier portait dans leurs mains un cousin sur lequel était plié une bannière dont on pouvoir voir la qualité de loin. Les serviteurs s’agenouillèrent devant nous et le conseil retint son souffle attendant de les voir se déployer. Les six apprentis couturier était visiblement sur du travail de leurs maîtres, ce qui me fit sourire. Ils déployèrent les bannières. Elles étaient magnifiques, la première laissait voir les trois rangs onduleux représentant la terre gardé purs du royaume, l'eau rempart et la terre des criminels représentant l’île de Stalynx. Les tissues étaient de grande qualité, les ondulations étaient parfaites. Et la balance symbole de la justice du royaume défendu par Solède était éblouissante. D'un jaune vif rehaussé d'or, assurément personnes ne raterai cette bannière que ce soit dans une réception ou sur un champs de bataille. La deuxième était l'une de celle destiné a nos amis, elle était majoritairement rouge, un rouge sang sans aucun doute symbole de courage militaire. Six épée croisée venaient accentuer cette impression, elles se positionnaient sur un fond blanc qui rappelait celui de Solède. Et enfin sur la queue de la bannière l'on pouvait apercevoir un grand rocher qui ajoutait une touche de sobriété a la bannière écarlate. Et enfin la dernière, très coloré elle aussi. Le jaune encadrée d'or servait de fond de bannière a une longue épée construite sur le modèle de celles de la précédente bannières. Des ondulations de différent niveau s’enchaîne les unes et les autres en plusieurs couches successive. Le bleu et le jaune se mélangeant parfaitement et rappelait elle aussi les couleurs de Solèdes. Enfin, des bars majestueux se dressaient sur les ondulations bleus, au point que l'on aurait pu croire qu'il finirai par sortir de la bannière pour se jeter a nos pieds. Une fois dressé les unes a cotés des autres, l'on ne pouvait qu’être impressionné par la complémentarité et l'unicité de chacun de ses bannières. Elle avait toutes une âmes propres qui en faisait un objet d'art a part entière. Mais chacune avait des détails qui rappelait les autres, leurs permettant de 's'afficher ensemble comme complémentaire les unes et les autres. Je me tournais vers mon mari. Je commençais ma phrase, toujours impressionné par les œuvres d'art de tissue qui était devant moi. -Elles sont.. -Médiocre Ainsi le Bourgmestre de Solède avait exprimé son avis tranchant, à voix basse certe, mais tout de meme. Action Fief : Épée sanglante, sombre capuchon et pièce d'argent
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Profiter du désordre dans les terres de la coalition pour piller et se faire de l'argent -Faire que nos troupes acquièrent une certaine expérience sur le terrain directement -Récolter des informations Méthode : -Envoie de 25 cavalier -Se faire passer pour des messages sur le chemin (En profiter pour récolter des infos sur les positions des communautés humaines sur le chemin) puis une fois dans les terres de la coalition, abandonner cette identité (Capuchon Noire) pour se livrer au pillage = 2 Jour de voyage allez, 3 jour de pillage, 2 jour retour -Éviter a tout pris les troupes Sombraliennes + Éviter les engagements défavorable grâce à leurs vitesses supérieurs -Attaquer les marchands, les fermes et les auberges isolés pour l'argent -Poser des questions aux victimes pour obtenir des informations sur la situation de la région, ou quoi que ce soit -Attaquer des messagers pour obtenir des infos si possible -Attaquer des petits groupes de soldat isolé (si cible facile) pour saisir leurs armes, écus bottes et accroître le chaos en laissant des écus étranger sur le lieux des attaques RP : “Faites vous passer pour une escorte de messager en direction du sud. Une fois proche des terres de la coalition de la terre, abandonnez cette couverture pour quelques jours, masquez vos insignes, couvrez-vous de capuchons noirs. Ramenez-moi ce que vous pourrez, message, secret, savoirs et traditions, informations géographiques, œuvres d'art, or, argent, farine. Évitez tout contact avec des groupes combattants trop importants. Surtout les armées de Sombralys. Vous n'aurez que quelques jours pour tuer les personnes seules, voler leurs biens, et bruler ce que vous ne pouvez prendre. Et commence par bruler ce message. Ne me decois pas.” Remboursement des 94or Budget Restant 302 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81180
|
Tour 7 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Le campement des rahans (réaction gratuite) : Afin de subvenir aux besoins spirituels et naturels des troupes des rahans les frères du monastère d'Ifan vont se mobiliser auprès d'eux pour leur apporter vivres, soins et spiritualité aux défenseurs de la couronne.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Les soldats de l'avant-garde du 5e corps d'armée sombraliennes vont se défaire de leur uniforme et porteront désormais les tartans ésgans. Tout document pouvant trahir leur appartenance véritable est détruit. Les soldats sombraliens sont mélangés à la garde et répartie en son seins.
Le monastère d'Ifan va entrer en contact avec le camps rahans pour gagner la confiance de la troupe et d'informer l'abbesse Una de leurs agissements tout en préservant la bonne image du fief aux yeux des rahans. Ils profiteront de leur proximité pour étudier ces troupes d'élites, leurs techniques, leur équipement et leurs spécificités. Action de fief :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
L'abbesse Una de Cwmduad continue d'asseoir l'influence du sire en regroupant les soutiens des clans afin que le fief puisse compter sur leur pleine collaboration dans les projets en cours, ainsi que leur pleine participation financière...
Action seigneurial :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Le sir Arnoult part pour les terres fertiles avec un détachement de 100 hommes d'armes et 40 archers sombraliens (qui ont bien sûre virer leurs uniformes pour porter les tartans ésgans). Le convois ce dirige d'abord vers Ifan puis remontera le fleuve en canotage pour rencontrer le légat en personne. Felip Cajal prend la régence en l'absence du seigneur.
|
Dernière édition: par Sardine.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81183
|
Tour 7 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Pas trop le temps ce tour-ci, désolé ☹ Action fief : « La situation du Royaume continue de se dégrader et cela inquiète la population. Il est temps de renforcer notre Ost afin de permettre le développement grison en toute sécurité. De plus, nous allons montrer à la population d’Elderon que leur sécurité nous importe. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Recrutement de 10 cavaliers et 2 hommes d’armes pour 95 or.
- Dépense de 150 or dans le stockage de vivre d’Eldenac. - Envoie de 10 hommes d’armes, 10 archers et 4 cavaliers à Elderon. Action seigneuriale : « Il est naturel que le représentant du peuple grison accueil les nouveaux membres au sein de notre grande communauté. Je vais aller leur rendre visite. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
– Hugues de Lannoy accompagne l’escorte jusqu’à Elderon afin d’accueillir la communauté au sein du peuple grison. Il apportera un gage de bienvenu de 20 or. Lors de son retour vers Santes, il sera accompagné des 4 cavaliers.
Budget restant : 37 or |
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81213
|
Tour 7 : Complots entre Amis
Durant cette semaine, plusieurs nouvelles se sont entrechoquées. D’une part, concernant le conflit entre Sombralys d’un côté, et de l’Union de la Couronne, composée par la Couronne,le fief Kalard et le Fief Rahans : - La Capitale est tombée dans les mains de Sombralys. En effet, les troupes Kalardiennes se sont retirées de la capitale, profitant que leur flotte livrait combat avec la Flotte Royale aux ordres Sombraliens. La Reine avait déjà dû quitter la Cour, car nul ne l’a aperçu au départ des forces. Les maigres soldats de la Garde Royale ont eux aussi quitté la capitale. Cependant, afin de ne laisser rien derrière eux, les forces coalisées ont délibérément mis le feu aux diverses réserves de Nourritures de la Capitale, sabotés les défenses de la Capitale et auraient même d’après certains empoisonnés l’eau des différents Puits de la Capitale. Le Commandant Général, Baldur Resath, doit maintenant assuré la défense de Sombralys durant le siège qui se prolonge, mais il se retrouve aussi avec la population de la Capitale à devoir s’occuper…. - De nombreuses forces de l’Union de la Couronne sont toujours présentes au devant des portes de Sombralys . De nombreux affrontements ont eu lieu, mais les défenses Sombraliennes semblent être toujours debout, alors que les troupes de la coalition ont subi de lourdes pertes en revanche, ramenant un certain statut quo. - De nombreux Seigneurs ont pris la décision d’annoncer leur levée de troupes, autant pour se protéger, que sans doute pouvoir prendre part au conflit. Certains Seigneurs ne cachant pas leur intention d’annexion de fief voisin… D’autre part, vous apprenez aussi que la Coalition de la Terre est sur le point d’imploser. En effet, durant les dernières semaines, et ce malgré la présence de plusieurs Corps d’Armée Sombraliens, des affrontements meurtriers entre certains coalisés ont eu lieu. L’autorité du légat, profondément sapé, est remis en cause. Et pour le moment, personne ne semblent prêt à calmer le jeu. L’armée Sombralienne ne réussissant à empêcher une bataille d’un côté, que pour mieux apprendre qu’à leur ancien emplacement, d’autres affrontements ont eu lieu… D’un point de vue plus joyeux, vous avez pu recevoir l’agréable visite d’un Barde, venu vous conter de nouveaux sons, composer de nouvelles balades. Parmi celles-ci, et bien sûr chacune ayant une source de vérité, vous pouvez apprendre que le nouveau Seigneur du Fief Esgan, certes un petit fief situé dans le Sud-Est du Continent, se porte comme protecteur de la Magie, qu’il souhaite en ces temps troublés renoué avec les anciennes coutumes, et montrer les bienfaits de celles-ci.. Maison des Bivoix - Momo Les écuries seigneuriales ont été installées et sont opérationnelles. Les forges se sont mises à tournée de manière régulière. Le fer issu des mines, acheminé à eux. Le travail des artisans permettant d’obtenir des armures et des armes, ensuite endossés par de nouvelles recrues. Bien que cela prennent du temps, obtenir une grande armée est une idée plausible… Et qui dit grande armée, dit grande responsabilité… dans le choix de comment l’utiliser La banque est heureuse de voir que vous avez toujours su tenir vos engagements.. jusqu’à présent et espère que cela le continuera . Alors que tu faisais partir tes cavaliers, espérant que ceux-ci se montrerait digne de la mission que tu leur avait confié, tu as la surpris d’avoir l’un de tes soldats te demandait de le suivre, pour une chose de la plus haute importance. Haussant tes yeux au ciel, comme pour le prendre en témoin de l’incapacité de tout ceux qui t’entoure, tu finis par lui emboîté le pas. Tu finis par débarquer dans l’un de tes petits bureaux, avec une personne que tu reconnaît facilement, et une autre, étroitement ligotée sur l’unique chaise du bureau. Sur l’une des commodes, tu peux remarquer 4 jolies dagues, toutes dans leurs fourreaux. Chaque fourreaux se composant à la fin d’une sorte de fioles, permettant à chaque lame de tremper dans le liquide vert qui est emprisonner dedans. Bien que légèrement désorienté, tu peux en revanche noter une certaine… lueur émanent du liquide. A côté, un médaillon est posé, portant une simple inscription : « Que les Seigneurs tombent Morts, Le Peuple connaîtra un grand âge d’Or » Tu tournes la tête, attendant des explications « C’est une assassin » « Mais encore ? » « Une assassine qui voulait assassiner » « Oui jusque là c’est logique tu sais…. » « Oui mais la cible c’était vous ... » « .. ah...là cela change tout… Tu pouvais pas commencer par cela ?… » « Cela me semblait pourtant évident... Ah, et ceci est du venin de Démon... une seule de ses fioles vaut 4 000 Or environ sur le marché noir...Enfin s'il devait être vendu.. ce qui est tout à fait illégal » dit-il en montrant les fioles Réaction gratuite Tes cavaliers sont revenus, leur mission s’est déroulé sans problème, mis à part qu’ils ont n’ont pas pu récupérer d’informations, ayant du éviter beaucoup de villes complètement barricadées. Au niveau des « trouvailles », ils ont pu remarquer que les combats font encore rage dans certains secteurs, et que les troupes Sombraliennes commencent à s’épuiser à courir de droite à gauche, du Nord au Sud.. Quand à leur butin, la zone en était bien maigre.. Mais ils ont pu récupérer un peu d’Or et de nourriture mais bien peu. Alors que les frères Tortas devaient venir.. d'après ce qu'ils avaient dit, il est force de constater qu'ils ne le sont toujours pas... Peut-être ont-ils déjà oubliés, a force de consommer leur alcool de mer ? Budget du Tour : 436 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin « D’où nous venons ? De partout et de nul part Monseigneur. Nous avons tous fait vœux de suivre la Foi, où qu’elle nous guide. Notre passé n’a plus d’importance, tout comme notre avenir. Nous ne vivons que pour la Gloire de Solaar… Quand à nous retrouvez, n’ayez crainte,vous n’aurez pas besoin, sauf si Solaar le désire. Mais si vous faites la découverte de la main de Solaar, révélez la au monde. Celui-ci en a cruellement besoin messire… Et ainsi nous saurons que vous aurez réussi,et que Solaar le voulait.» De nombreux bâtiments ont vu leur finalité apportés, tout comme de nombreuses recrues se sont présentés pour être formé dans ta grande armée,surtout au vu des derniers événements. De la rencontre avec le Seigneur de Lannoy, tu en repars avec des sentiments mitigés. En effet, beaucoup de choses se déroulent, beaucoup trop peut-être. Tu as l’impression de ne plus avoir de temps pour réfléchir.. Et puis cette idée de partie d’échecs… « Que penser des propos de ce démon ? Une partie de pouvoir entre nos Rois et le Sien ? Désigne-t-il par là le Roi-Démon ? Ou Nos Rois désigne-t-il Baldur et Blanche, et le sien serait Sorod ? Mais pourquoi le nommer Roi ? A la fin de tout cela, plus de questions que de réponses.. Et puis cette histoire de noms véritables ? Et plus globalement, disait-il la vérité ? » Tu fais rouler dans tes mains la fiole que t’a remis le Seigneur de Lannoy… Le liquide vert à quelque chose d’apaisant quand tu le regarde, mais aussi de repoussant. Alors que tu te perds dans tes pensées, tu n’entends pas, pas plus que tu ne vois que la vedette arrive rapidement sur l’autre bord de la rivière, et avant que tu ne puisse réagir, te voilà projeter de nouveau au sol … « Une bien mauvaise habitude que j’attrape là » pense-tu.. Puis tu te rends comptes à ce moment là que la fiole n’est plus entre tes mains, mais gît sur le pont, brisée, le liquide se répandant sur le pont… Tu te relève rapidement, constatant avec un peu d’horreur la perte du liquide… Alors que tu commences à descendre du bateau, avec tes soldats et ta charrette, tu entends alors un horrible cri de douleur provenant du bateau. Tu fais demi-tour rapidement et peux alors voir que l’un des membres de l’équipage se tient la main, sur laquelle tu peux voir les traces d’un liquide vert s’infiltrer dans sa peau. Tu prends alors conscience que le malheureux à du vouloir nettoyer la tâche, et sans le vouloir a mis la main dedans. En quelques minutes, les cris ne deviennent plus que des râles de douleurs et l’Homme n’est bientôt plus … Budget du Tour : 289 Or Fief des Grisons – Solkills Après cette petite tentative d’assassinat, ayant fait plus de peur que de mal dans tes rangs, tu te retrouves avec divers choix à faire, mais aussi beaucoup de questions, et pas mal d’absence de réponses… Bien que le Seigneur Bernard soit parti avec 1 fiole du venin du Démon, il t’en reste toujours 2 en ta possession.. « Bien sûr, les revendre apporterait, avec un bon acheteur environ 8 000 d’ Or, mais cela ne serait-il pas immoral de le faire ? Et puis, que penser des propos de ce démon ? Une partie de pouvoir entre nos Rois et le Sien ? Désigne-t-il par là le Roi-Démon ? Ou Nos Rois désigne-t-il Baldur et Blanche, et le sien serait Sorod ? Mais pourquoi le nommer Roi ? A la fin de tout cela, plus de questions que de réponses.. Et puis cette histoire de noms véritables ? Et plus globalement, disait-il la vérité ? » penses-tu…. Réactions gratuites Tes rôdeurs sont revenus de la zone de Recherche. Ils ont appris que des enfants qui correspondraient à la description ont bien été vu dans la zone avec des hommes armés. Cependant, il est à noté que plusieurs dizaines de paysans de la zone ont aussi mystérieusement disparus. Par contre, personne n’a vu les enfants, ou les hommes d’armes depuis plusieurs semaines.. Réaction gratuite Ton Chancelier est de retour, et avec lui beaucoup de nouvelles. Il vient te saluer à son retour, alors que tu étais dans ton jardin. « Hugues ! Je suis de retour ! » Tu déposes ta binette. « Et bien, tu en as mis du temps ! Je commençais à me demander si je ne devais pas envoyer des troupes te chercher, des fois que tu ai fait mauvaises rencontres…. » « Et bien j’ai fait effectivement mauvaise rencontre..mais cela est très compliqué mon ami.. » « Comment cela ? » « Et bien déjà…. Le Fief des Martyrs Solarienne à changer de Seigneur.. Leur ancienne Mère Supérieur a été.. destituée. Et la nouvelle m’a pas forcément accueillie d’un bel œil vu sa prise de pouvoir très récente… mais bon… Cela a pris du temps de montrer que nous n’avions pas d’animosité envers elle, et finalement elle a acceptée de partager leur savoir sur la pierre telle que je l’ai décrite.. » « Et donc ? » « Et bien… Arilo a raison, les pierres de souvenirs sont blanches normalement… Mais il existe des pierres bleues… Ce sont d’après elle des Pierres de Solaar. Bien sûr elle ne peut l’affirmer sans la voir, mais elle pense que ta vision, était une vision de Solaar… Et qu’il cherchait à te dire quelque chose d’important… Pourquoi Toi et quoi en revanche, elle n’a aucune réponse à te donner dans l’heure.. » « Et bien... » « En revanche, je voudrais te faire part d’une rumeur que j’ai appris...mais pas ici… rentrons dans ton bureau » Intrigué, tu le suis. Une fois arrivé dans ton bureau, il ferme la porte, et vérifie par la fenêtre d’être seul, puis s’en écarte.. « Sorod fomente quelque chose, il aurait réussi à s’assurer la servitude d’un démon, en utilisant … comment elle a dit ? Le vrai prénom ? Non… l’identité véritable ?…. » « Le nom véritable ? » « Oui ! Et il compte faire assassiner plusieurs Seigneurs ! … Et comm... » «Comment je suis au courant ? Car ils ont déjà essayés il y a quelques jours... » Réaction gratuite Ton voyage dans la communauté se passe de manière calme. Bien sûr tu peux sentir que certains se demandent s’ils ont pris la bonne décision, mais après tout, n’as-tu pas mis en déroute un Corps d’Armée à toi seul pour protéger ton fief ? Et vu l’explosion de la Coalition de la Terre, les conflits pourraient venir. D’ailleurs, afin de remercier d’accepter de les protéger, les habitants te remettent une recette. Une recette de croissant au beurre, encore meilleur que ceux que tu avais pu manger lors de ta tentative il y a peu de te fondre dans ta propre population, ainsi que les impôts non collectés par le précédent Seigneur. (Gain tech mineur : Croissant au beurre) Tu reçois une visite de représentants du commerce, venu te soumettre des propositions sur l'excèdent de ta production de nourriture : - Nourrir le Monde : Vends le surplus de nourriture (gain de 30 Or / Tour) de manière équitable - La Nourriture pour l'effort de guerre : Offre la Nourriture en surplus à un camp du conflit uniquement (gain de 30Or/Tour toujours ) - Moins il y a de Nourriture sur le marché, plus elle vaut cher : Stocker votre nourriture pour une décision ultérieure (conséquences ) Budget du Tour : 869 Or Fief Esgan – Sardine L’abbesse Una continue de faire son travail auprès des clans. En revanche, pénétrer dans le campement Rahans, ou même leur offrir des denrées s’est avérés infructueux. Celui-ci ne laisse entrer personne, hormis leur propres ravitaillement. Les différents lieutenants chargés de mener les opérations dans le secteur s’en sont assurés. De même, les soldats semblent être trop loyaux,ou trop apeurés ?, pour accepter ne serait-ce que de parler avec des gens en dehors de leur compagnie.. Ton périple au travers des terres de la Coalition de la Terre est très mouvementé. Vous croisez de nombreux lieux d’affrontements, tout au long du chemin, des troupes Sombraliennes passant d’une zone à une autre, se fatiguant à essayer de rattraper les protagonistes pour à la faire n’attraper que des fantômes.. Cependant,bien que vous ayez perdu beaucoup de temps à cause de cela, vous n’avez jamais été pris à parti. Réaction gratuite Budget du Tour : 506 Or |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81215
|
Tour 8 :
Blason de l'Ordre
Réaction au messager des Grisons : Un messager des Grisons était arrivé au petit matin, il avait chevauché toute la nuit durant. Un repas chaud lui fut apporté et un lit à la taverne fut libéré pour qu’il puisse se reposer pendant que Retia analysait le message. Un mage pouvait nous venir en aide mais pas gratuitement évidemment… Cependant, s’il pouvait accomplir ce pourquoi on requérait ses services, ce serait peu cher payé. Retia réfléchissait à sa réponse et décida d’un plan un peu différent de celui que décrivait Bernard. Dieter et une petite troupe de soldats allait accompagner les blessés et les objets magiques. Tous seraient habillés en civil et le messager des Grisons dirigerait la marche. Il serait servirait de faire-valoir en cas de rencontre avec les troupes Kalardes. Il devrait leur indiquer qu’il escorte un groupe de réfugiés et des blessés dans le fief des Grisons pour leur offrir un havre de paix à la demande d’Hugues. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Envoi de Joseph, Jyrhad, leurs armes et la couronne accompagnés de Dieter, de 5 hommes d’armes habillés en civil en direction du fief des Grisons avec la somme promise.
Le messager Grisons accompagnera le groupe. Action seigneuriale : Malgré la mauvaise fortune répétée qui semblait s’abattre sur moi, nous sommes arrivés sans peine au fief des Portos. Une rumeur étrange circulait à propos d’un centre de recherche qui aurait « disparu » dans les montagnes. Vraie ou fausse, je fus tout de même reçu par le dirigeant Portos. L’entretien ne se déroula pas aussi bien que prévu mais des informations utiles furent obtenues sur le démon, sur Sorod et sur la guerre civile en cours. En raison du peu de résultat à attendre de cette visite, le séjour fut abrégé et je me dirigeais rapidement vers la Maison Bivoix. L’accueil me fut bien plus chaleureux chez les Bivoix. Après le spectacle folklorique d’une cérémonie en l’honneur des recrues, nous discutâmes longuement avec Armory. L’échange fructueux abouti sur un plan à court et long terme qui allait nécessiter à nouveau ma présence en territoire Portos avant de rentrer à Steinenwolfe. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Poursuite de l’expédition en direction des Portos et des Bivoix.
Action de fief : Retia avait les yeux emplis de rage à l’idée de la tentative d’assassinat dont avait été la cible son mentor. Si j’avais pu la voir, j’aurais été fier d’elle, vive comme l’étincelle et ardente comme un bucher. Une fois parti, je savais qu’elle serait une Hohenburg parfaite pour l’Ordre. Retia fit fonctionner les forges à un rythme toujours aussi soutenu. Les soldats n’allaient pas se former tout seuls. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
Recrutement:
1 Espion + 10 Archers + 3 Panzerhund Budget : 98 or Budget restant : 91 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81218
|
Tour : 8
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède Bienvenue, mais je m'en vais Action Gratuite : Bienvenue dans ton écurie
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Disposer de deux chevaux supplémentaire (Technologie Écurie du Bourgmestre) Méthode : -Dépense 8 or RP : Ça faisait longtemps qu'ils travaillaient sur un nouveau bout de la maison de papa. Des gens qui venaient de toute la ville pour travailler un peu. Je me suis demandé pendant au moins, hmmm.... 3 fois mes doigts à quoi ça allé servir. Et la je savais que c’était fini puisque personne n'y travaillait. Et surtout, j'avais vu un peu de mouvement par la. Et j'avais suivit papa jusqu'au écurie. Il avait pas l'air content, mais en même temps il a jamais vraiment l'air content. Une fois j'avais peint un jeu de carte avec de la teinture et c’était joli. Mais il était pas content et il a crié du coup je suis retourné chez maman. Mais bon. Ducoup la je rentre dans le bâtiment pour regarder. J'ouvre la porte... Woooo des chevals. Et ils sont graaaaaannnnndddsss, par contre ils sont tout gris ou marron. Et beurk ca pue un peu. Je vais leurs dires bonjours et les caresser. Eh bâtard, dégages de la, on dois partir avec les chevaux ! Action Gratuite : Bienvenue dans ta geôle
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Obtenir des informations sur la tentatives d’assassinat Méthode : -Enferme la personne capturé dans un cul de basse fosse (le plus petit, le plus froid, le plus sombre), pied et poing lié avec des menottes. -Rations réduite au strictes minimum (servit a des heures aléatoire) et garde renforcée -MI lui rend visite tout les jours a des horaires changeant pour obtenir des informations (même une fois les informations obtenues) -Carte blanche pour les informations demandés et les moyens pour les obtenirs RP : La traditions des geôles ou des culs de basse fosse remonte a loin. La ville de Solède sert de passe pour les prisonniers de Stalynx depuis que Stalynx sert de prison. Tres tôt il était devenue évident pour les seigneurs de la ville qu'il ne fallait pas trop investir dans le confort des prisonniers. Ainsi pour stocker les prisonniers entre leurs arrivés et leurs départs. Aussi fut'il décidé que les prisonniers dormirait dans de simple trou dans le sol, puis couvert d'une planche de bois et de lourd sac de denrées. Petit à petit le système ce perfectionna, les trous furent plus profond jusqu'à ce que certain cul de basse fosse atteigne de grande profondeur au point de nécessiter l'usage de plate forme de descente. Des systèmes de geôlier et de harcèlement morale fut mit en place dans les geôles. Beaucoup de chose on changé dans les postes de gardes. Sauf le fait que le sort des prisonnier n’intéressent pas les autorités. Tant qu'ils ne coûtent pas chère tout peu arrivé au prisonnier. Aussi beaucoup meurt de maladie, de malnutrition ou simplement parce qu'ils sont oubliés. Action Fief : Un voyage inattendue
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Envoyer des espions librement pour qu'ils ramènent quelques choses (Information, Trésor volé, Kidnapping de personne importante, récolte d'information stratégique, Vol de technologie, trouvé un bon parti a marier, etc.... pas de but précis) Méthode : -3 Espion avec un cheval chacun -10 de budget par espion -Carte blanche -Promesse de récompense selon ce qu'ils ramènent RP : Cavalier noire silencieux Missionnés par Bivoix Au loin de chez eux Ambitieux convoie Action seigneurial : Prenons nouvelle de nos alliés
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
But : -Connaître la situation des Tortas pour les amener chez nous la semaine prochaine et organiser notre alliance Méthode : -25 Cavalier en escorte du Bourg-mestre Armory Bivoix -Suit le chemin de la dernière fois -Récoltes des rumeurs dans le premier village puis continue notre chemin selon les informations RP : Moi même et mon escorte faisions route rapidement. J'essayais d'analyser les causes qui auraient pu forcer les tortas a ne pas se rendre dans ma demeures. J'envisageais les pires éventualités comme le fait qu'ils aient pu se jouer de moi, ou que d'autres les aient courtisés, voir qu'ils aient prévenues les Kalards de mon détournement d'objet. Ces sombres pensées m’occupèrent pendant la première partie du voyage. Nous avions longés la cote et en une demi journée nous avions déjà atteint le premier village lorsque je décida d'une halte rapide. Les pêcheurs étaient occupé a leurs métiers de pêcheur. Rien ne semblait indiquer un changement particulier par rapport a mon dernier passage. Aucun d'eux n'avait vu les tortas ce rendre dans mon fief. J'imagina alors que les Tortas avaient pu se perdre voir même avaient oublié mes indications... Tout était possible avec ces deux frères particuliers... Nous installament un bivouac militaire assez loin du village. Le temps de couper du pain et quelques morceaux de viandes séchée ou de fromage et nous étions repartis. Au nord vers le gros rocher, puis vers la cote jusqu'à l'arbre géant. Remonter vers le nord pour trouver le rocher fondu. Et enfin vers l'Ouest jusqu'à la ville. Il était facile de suivre ces indications pour atteindre la « capitale » des Tortas. Une fois a la ville. Je constatais une fois de plus que rien n'avais changé. Les gardes étaient a leurs postes. Les habitants s'occupaient a boire et hurler, et tout semblait en désordre. Cependant. Tout changea lorsque j'arrivais dans la grande maison qui servait de demeures aux seigneurs du fief. Car il n'y avait personne. Je n'entendais ni leur « barde » qui chantait. Ni leurs rire de saoulard. Rien. Il n'y avait rien. Je m'aventura suivit de deux de mes hommes dans les diverses pièces de la demeures. Jusqu’à atteindre les chambres ou je vis les deux frères reposés en paix dans leurs lits. Je fus pris de stupeur et partit rejoindre mes cavaliers à l’extérieur. « Cavalier, déployez vous dans la ville et trouvez les personnes de haute responsabilité que vous trouverez » Et ils s’exécutèrent. Mais ils revinrent après quelques minutes. Le constat était sans appel. Les femmes des deux frères étaient en deuil et voulait qu'on les laissent a leurs deuils. Les marchands étaient trop occupé et attendaient que d'autre règle les affaires de seigneuries. Et le sergent de garde était endormis a son poste.... Je choisis de ne pas perdre plus mon temps. Et nous rentrâmes chez nous. Une fois arrivé je fut harcelé de question par ma femme et ma mère. -Les seigneurs Tortas sont MORTS. Dis je -Il faudrait prévenir le roi de la mort de ces seigneurs Dis ma femme avec innocence et niaiserie. -Et quel roi exactement ? Combien y a t'il de candidat au poste ? -En effet. En attendant que le calme revienne je vais m'occuper de garantir la stabilité du royaume. Il est évident que pour ne pas sombrer dans l'anarchie, le fief salé doit être dirigé. Nous nous en occuperons. Budget Restant = 298 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81233
|
Tour 8 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Action seigneurial : ballade fluviale. " Le convois est trop lent, le climat trop humide, les hommes trop grossiers et sales, ma barque trop inconfortable, le climat est trop chaud, il y a trop de moustiques, il y a trop de batailles à l'horizon, les oiseaux ne chantent pas, les nuits sont trop froides, les cadavres sur la rive empestes et nuisent au paysage... Puisse Solaar et Saint-Mac témoigner de mon calvaire ! "
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Le seigneur Arnoult continue son voyage avec ces Sombraliens privatisés.
- Des éclaireurs sont régulièrement envoyés pour tenter d’identifier et de quantifier les belligérants. Action de fief : l'argent Felip Cajal enfonçât la grande clef dans la complexe serrure. L'épaisse porte de chêne noire était suffisamment lourde pour qu'un garde dut lui venir en aide pour la faire tourner sur ces gonds grinçants. Derrière elle, six pieds sous les fondations de l'ancien donjon de Tuhlgairn, dans une chambre sombre et froide s'accumulait dans le creux de tonneaux de bronze rouillés par l'humidité, lentement mais sûrement, le trésor du fief Esgan et de sa maison. Rester fondamentalement inerte depuis le changement de seigneurie il atteignait désormais une taille tout à fait correcte et il allait être temps d'enfin la mettre à profit... Mais Cajal n’avait reçu aucune instruction dans ce sens et ce contenta de bien refermer la porte en partant.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Le monastère d’Ifan est chargé de faire un recensement des richesses du fief, de sa productivité et de son niveau de corruption. Au passage il continuera d’inciter les clans à investir dans le développement de leur terre.
Budget restant : 506 |
Dernière édition: par Sardine.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81243
|
Tour 8 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
C’est l’heure. J’ouvre la porte de ma chambre et les deux gardes qui y sont de faction se remette un peu plus droit. J’hésite une demi-seconde avant de me diriger vers le Grand Hall de la demeure. Le bruit de pas des deux hommes se répercutent dans les couloirs. Cette mesure est nouvelle depuis la tentative d’assassinat dans les jardins. Un signe que les choses changent… Je croise le vieux Arilo dans les couloirs. Il rumine quelque chose dans sa barbe et prend quelques secondes avant de me voir. Il sourit et s’incline respectueusement. Encore une chose qui a changé. D’habitude, il n’est pas aussi formel et quelque peu familier. Je fini par atteindre le Grand Hall. Philibert est là, debout juste derrière le siège principal. Il me fait un clin d’œil alors que je m’approche des quelques marches. Les gardes se répartissent équitablement de gauche à droite. Je m’assis et une étrange sensation m’envahit. Quelque chose de terrifiant mais en même temps très agréable. Ce serait donc ça le pouvoir ? La voix de Philibert s’exprime avec un petit rire : « Votre père avait la même tête lorsqu’il s’est assis pour la première fois sur ce siège, Luise. » Je prends une grande inspiration pour me calmer. Je réajuste un peu ma tunique avant de poser mes petites mains sur les accoudoirs. J’ai l’air encore d’un enfant mais je sais que père à confiance en moi. Sinon, il aurait laissé Philibert s’occuper de la séance et de notre territoire. Je me racle la gorge et je fais un signe de tête à mon chancelier. Il clame alors d’une voix forte, habitué à cet exercice : « Que la séance commence ! » Action fief : « Il faut s’assurer de l’inviolabilité de nos frontières. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Dépense de 490 or dans la construction d’une forge à Santes
- Envoie d’un messager vers les territoires de l’Ordre pour acheminer le message du seigneur Hohenburg - On envoie sur le lieu indiqué sur la carte 10 archers, 15 hommes d’arme et 10 rôdeurs noirs de Santes + 10 archers et 5 hommes d’arme d’Edelnac + 10 archers d’Elderon. Les rôdeurs noirs servent d’éclaireur pour observer les mouvements des troupes du seigneur de Langlois. En cas de mouvement vers les terres grisons ou Elderon, on tend une embuscade avec l’ensemble des forces. Action seigneuriale : « Nous ne pouvons prendre pour acquis les propos du démon. Néanmoins, sa présence ici-même témoigne que quelque chose de grave se trame pour tous les peuples du Royaume. Il faut arrêter cette guerre. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
– Hugues de Lannoy se dirige avec 4 cavaliers vers la capitale des Kalards, en utilisant la vedette fluviale pour plus de rapidité, afin de s’entretenir directement avec le conseil des Femmes pour stopper la guerre civile. Il leur révèle toutes ses découvertes sur l’implication de Sorod et de son utilisation des démons et la tentative d’assassinat sur la personne de Hugues, les écritures du médaillon, sa vision de Solaar et les paroles qu’il lui a dit. L’objectif est d’organiser une rencontre entre les deux camps (Kalard et Sombralys) pour négocier le cessez-le-feu en se plaçant comme intermédiaire. De plus, on négocie la location d’un centre de recherche Kalards afin de développer des techniques pour former des archers à cheval (tech moyen).
En son absence, Luise commencera à apprendre à diriger les grisons sous l’autorité du chancelier Philibert. Réactions gratuites : « Qui étais-ce ces hommes dans les montagnes ? Nous n’en savons rien et cela fait plusieurs semaines qu’ils n’ont pas été aperçu. Ils se sont évaporés sans laisser de trace et on ne peut malheureusement rien faire pour les enfants… »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Etant donné leur disparition depuis plusieurs semaines, on ne fait rien pour l’instant. Probablement des bandits qui se sont enfuit il y a longtemps.
« Il serait en effet immoral de revendre ce poison. Mais peut-être pourront nous lui trouver une autre utilité… »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
On confie l’une des fioles à Arilo pour qu’il puisse l’étudier et explorer les possibilités d’utilisation en combinant la magie.
« Nous allons garder notre stock de nourriture pour l’instant afin de garder un moyen de pression dans nos négociations. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
On choisit l'option de garder la nourriture pour un usage future.
« Comme convenu, nous procédons à l’échange. »
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
On procède à l’échange des technologies convenus avec l’Ordre.
Budget restant : 379 or |
Dernière édition: par Solkills.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81252
|
Tour 8 : Assiéger l’assiégeant
Devant elle se dresse une carte, comme semblable à celles des autres Seigneurs, elle le sait.. Cependant, chaque seigneur placera les pions dessus de manière différentes en fonction de ce qu’il ou elle sait. Et les Pions sur la table n’éveillait pas d’agréables sensations dans les os de la Matriarche Viviane Kalard… Si les premiers jours de son plan, hélas précipité, avait connu un succès important, ces derniers jours, les nouvelles s’empilant était mauvaise.. Elle soupira.. Déjà qu’elle n’avait pas forcément la meilleure réputation dans le royaume, mais elle avait appris à faire fi de ce que les autres pensait, mais lorsque la rumeur était venue à ses délicates oreilles… L’accuser elle d’avoir mis le feu aux réserves de la Nourriture ? Comment espérer gagner la légitimité du peuple derrière… Elle ne s’était pas attendu à un coup aussi bas de la part de « l’honorable » Baldur, et pourtant celui-ci avait eu lieu.. Bien sûr, sa précieuse fille n’était pas encore au courant de cela, déjà qu’elle avait eu un mal fou à lui faire comprendre le bien-fondé de son action, la pauvre ne sachant pas ce qui est nécessaire pour elle… Si elle venait à l’apprendre.. Mieux valait la garder à l’écart… Ses yeux retombèrent sur une figure avec un « IV » dessus : « Où es-tu, toi et tes hommes… Tu aurais dû être de l’autre côté de la rivière, et pourtant tu n’y es pas.. Tu aurais dû essayer de passer par les Terres Rahans et y connaître une fin funeste...et pourtant tu n’y es pas passé non plus… Alors où es-tu... » Elle se releva et contempla le spectacle… « Et dire que j’espérais faire tomber Sombralys avant qu’ils ne puissent s’y boucler… Enfin ce qui est fait est fait comme dirait certains. » Ses yeux se posèrent sur les nombreuses pièces posées en dehors de la table : des bateaux, des pions avec des numéros, ou encore des animaux représentés dessus.. De jour en jour leur nombre allait s’accroissant, symbole assez peu tangible en soit de la violence des conflits, et des pertes chaque jours plus élevés… Alors qu’elle réfléchissait à tout ceci, un courrier de haute importance arriva. Et après l’avoir lu, sa peine, son chagrin, et sa rage s’entremêlèrent un bref instant, faisant venir des larmes sur ce visage qui fut jadis celui d’une magnifique femme. Elle se recomposa rapidement néanmoins, et allât donné des ordres qu’elle avait espéré ne jamais avoir à donné…. Chose surprenante en cette saison, et le début des récoltes approchantes, de larges nuages noires semblent se former au-dessus des Terres de l’ancienne Coalition de la Terre. Maison des Bivoix - Momo Suite à la visite du Seigneur Bernard, une visite commune chez les Portos semble être une opportunité intéressante. Réaction gratuite pour accompagner Bernard. Alors que tu contemples les cavaliers partir au loin, tu te surprends à avoir une pensée positive. Après tout, au vu des circonstances exceptionnelles autours de vous, pouvoir en saisir encore plus est toujours bon à prendre ...Et qui sait ? Peut-être se montreront-ils à la hauteur des espoirs que tu places sur leurs épaules.. En tout cas, d’après tes estimations, il s’avère quand même peu probable qu’ils puisse échouer, entre un Fief sans Seigneur au Nord, d’innombrables conflits entre Prétendants au trône et ceux dans les terres de l’Ancienne Coalition de la Terre, il faudrait vraiment pour eux qu’ils meurent plutôt que de rater une telle mission… Alors que tu cogites sur l’avenir du fief qui attends au Nord, voici que l’on t’informe qu’un gentilhomme de la Cour, nouvellement arrivé en ville avec une légère escorte d’environ une dizaine d’hommes, pose beaucoup de questions sur son fils,qui normalement devrait être présent en ville, mais semble ne pas l’être. Un Fief sans Seigneur, Et un Royaume sans Roi... Réaction gratuite : Mais que faire du Fief des salés ? Budget du Tour : 703 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin Suite à ta rencontre avec le Seigneur Armory, un retour chez les Portos semble être la prochaine étape de ton long périple. Réaction gratuite pour te rendre chez les Portos. La petite caravane en direction des Terres Grisons est bien arrivée. La forge s’active, les recrues souffrent, et l’armée s’agrandit. Une étrange rumeur remonte depuis la Taverne aux oreilles de tes informateurs, qui te préviennent ensuite. Il apparaîtrait que d'après certains soldats de la Rose qui ont accompagnés les derniers navires en partant de la Capitale, les seuls incendies avaient été ceux perpétrés quelques jours auparavant par une "force mystérieuse" qui avait tenté de frapper le Palais. D'après les bruits de couloir, c'est sans doute cette "force mystérieuse" qui serait revenue, voyant qu'elle ne pouvait pas défaire les troupes de la Rose ont décidé de saboter la ville pour faire endosser la responsabilité à la Matriarche. Bien sûr, lorsque tu entends ces propos, tu ne peux t'empêcher de sourire lorsque tu comprends que la "force mystérieuse" est le nom qui a été donné à ton escouade lors de la tentative ratée que Bernard avait mené, mais tu ne peux aussi t'empêcher de penser que cela ne corresponds pas à la psychologie du Commandant Général, malgré les affirmations, et tu ne peux penser que la 15e aurait tenté un coup d'éclat sans son aval auparavant...La solution est peut-être ailleurs ? Budget du Tour : 203 Or Fief des Grisons – Solkills Conformément à tes ordres, le surplus de la production est installé dans un grenier ( 1 Tour) Arilo s’incline : « Mademoiselle, vostre père m’avait confié une tâche, que je crains de point pouvoir mener de front en mêsme temps que l’étude sur cette fiole. Si vous pouviez dans votre grandeur m’indiquer à quelle tâche vous estimez que je dois me concentrer ? » Réaction gratuite : La pierre ou la Fiole : Il te faut choisir La petite délégation de l’Ordre arrive bien, apportant avec eux un jeune adulte et un enfant bien mal en points… Bien qu’ils aient pris des précautions, leur voyage n’a pû se faire en toute discrétion, heureusement pour eux, les patrouilles Kalards n’ont pas poser de problèmes grâce à votre blason. Appelé à leur arrivé, Arilo est choqué et reste sans voix. On lui avait parler de blesser et d’objets magiques, mais il ne s’attendait pas à voir cette scène sous les yeux. Pour le plus âgé des blessés, un jeune adulte, Arilo devra se préparer pendant quelques jours. Le malheureux ayant l’un de ses bras faisant un angle normalement impossible, hormis une fois les os cassés par une force colossale. Mais le second… Le jeune enfant, les yeux agrandi par une terreur incommensurable semble ne plus être de ce monde. Ses mains serrés autours d’un bâton, magique assurément, semble être la seule chose qu’il a fait depuis plusieurs jours...ou semaines ? S’approchant pour l’examiner, Arilo peut voir que le bâton et l’enfant ne font plus qu’un, le bâton ayant commencé à se fusionner à la peau de l’enfant . Par quel hasard ? Comment ? Arilo n’a pour le moment pas de réponses, mais il sait au fond de lui qu’agir est nécessaire, et rapidement. Il se retire dans sa petite bicoque excentré, et demande à ne pas être dérangé le temps qu’il s’occupe du gamin. Avant de partir, il lâche ces quelques mots : « Que l’Arc de Feu se retrouve entre les mains d’un jeune archer, je peux l’imaginer, mais que personne n’est eu l’idée de confisquer le bâton de l’épouvante des mains d’un enfant.. Pauvre môme… J’espère qu’il n’est pas trop tard pour lui….Quand à la Couronne de pierre que vous tenez Dieter,, c'est la Couronne de Théodle : elle permet à celui qui la porte de lire les mensonges...d'après ce qu'on dit elle rends fou aussi à force d'être portée... M'est avis que c'est à force de voir tout le monde mentir plutôt que juste de la porter ... Maintenant si vous permettez, je vais essayer de sauver ce gamin » Tout ceci se passe tellement vite que tu notes quelque chose, mais n’arrive pas à savoir quoi, et tu pars vers le fief Kalard. Traversant la rivière, puis des terres occupées vraisemblablement par des petites unités de l’armée de la Rose, et te voilà reçu dans la Demeure de la Matriarche. Au vu de tes relations, et de ton rang, tu es néanmoins reçu assez rapidement par le Chambellan de celle-ci, et tu le presse pour obtenir une entrevue. Cependant celui-ci t’informes que la Matriarche est incroyablement occupée, et ne pourra t’accorder une entrevue qu’en fin de semaine à venir. Tu fulmines, et après l’avoir traité de « petit sous-fifre servant uniquement de faire valoir et sans pouvoir », entre autres, tu obtiens de sa part qu’il t’accorde une entrevue le soir même durant le dîner de celle-ci, avec, tu l’apprends à ce moment-là, sa fille la Reine. Après t’avoir lâché cette information, heureux de la surprise qu’il voit sur ton visage, il t’informe que « le petit sous-fifre servant de faire valoir et sans pouvoir te conseille de te nettoyer durant l’après midi pour être plus présentable ». C’est à ce moment-là que tu t’en souviens : Les deux blessés de l’Ordre correspondent énormément à la description des deux plus jeunes des enfants grisons disparus, mis à part l’uniforme bien sûr, et les blessures ... Réaction Gratuite : - Forcer la porte : Incapable d’attendre, tu décides de forcer la porte menant au bureau de la Matriarche : - Attendre le dîner sans te laver : Après tout, l’hygiène n’est pas la priorité ? - Attendre le dîner en te préparant ; Après tout, vu qu’il faut attendre, autant essayer d’être présentable,non ? Une étrange rumeur remonte depuis la Taverne aux oreilles de tes informateurs, qui te préviennent ensuite. Il apparaîtrait que d'après certains soldats de la Rose qui ont accompagnés les derniers navires en partant de la Capitale, les seuls incendies avaient été ceux perpétrés quelques jours auparavant par une "force mystérieuse" qui avait tenté de frapper le Palais. D'après les bruits de couloir, c'est sans doute cette "force mystérieuse" qui serait revenue, voyant qu'elle ne pouvait pas défaire les troupes de la Rose ont décidé de saboter la ville pour faire endosser la responsabilité à la Matriarche. Tu ne peux t'empêcher de penser que cela ne corresponds pas à la psychologie du Commandant Général, malgré les affirmations, et tu ne peux penser que la 15e aurait tenté un coup d'éclat sans son aval auparavant...La solution est peut-être ailleurs ? Budget du Tour : 628 Or Fief Esgan – Sardine Les nuits passent, de plus en plus courtes, sans compter que dorénavant la noirceur de la nuit ne vous enveloppe plus, compte tenu des lumières au loin visible de part et d’autres, mouvantes tout comme les différents conflits. Cependant,une grande différence se fait remarquer depuis quelques jours...Les troupes Sombraliennes présentes dans le secteur ne sont plus là. Où sont-elles ? Que s’est-il passé ? Tu ne peux que t’interroger, et les sombraliens dans ton escorte n’ont pas de réponses à te donner non plus.. Après quelques jours de marches supplémentaires, avoir éviter quelques affrontements (Ou est-ce eux qui s’affrontent en t’évitant?), tu arrives finalement sur les Terres du Légat de la Coalition. Et tu y es reçu par lui-même. Tu peux remarquer que la plupart de ses servants ne sont plus que des gens de son propre fief, quand à l’armée coalisée sous ses ordres, elle est maintenant réduite à l’armée de son fief uniquement, chaque Seigneur ayant rappelé ses troupes. Réaction gratuite : Visite avec un légat déchu Au niveau de la richesse du fief, tu peux remarquer sur les rapports qu’elle est répartie de manière inéquitables, certains fiefs étant majoritairement plus riches que d’autres, mais cela ne semble pas peser dans la balance sociale de ton fief, quand à la corruption, bien qu’elle ne soit pas inexistante, elle reste difficile à trouver ou à démontrer, ce qui tends à laisser penser qu’elle serait basse… Ou à l’inverse très développée pour fausser les mesures du terrain… Pour sa productivité, seule Tuhlgairn ayant une forge, seule elle peut fournir le nécessaire à la production des troupes pour un montant de 100 Or par semaine pour le moment. Budget du Tour : 666 Or |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
Le sujet a été verrouillé.
|
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81253
|
Tour 9 :
Blason de l'Ordre
Actions gratuites : Je quittais le fief de la Maison Bivoix accompagné d’Armory, bien décidé à récupérer la récompense promise. Promises ? Disons que d’une certaine façon c’était le cas. C’était bien dangereux de jouer sur les mots avec une nation de cet ordre mais le service rendu me semblait d’un niveau tout à fait équivalent à ce que j’exigeais en échange. Notre entretien avec Augusto Porto nous apporta plus de questions que de réponses. De la magie était à l’œuvre, le seigneur devenait sénile et notre séjour s’éternisait. A la suite du diner avec la mage de la cours, l’ancien commandant de l’armée et nous trois, nous en vînmes enfin à l’objet de la transaction. Il fallut redoubler d’effort mais grâce mes arguments joints à ceux du Seigneur Armory, je fus équitablement récompensé de mes efforts et de mon temps. A la tombée de la nuit, je quittais les lieux avec mon escorte croisant une jeune âme que j’allais, j’espère, revoir un jour prochain. --- Au même moment, Dieter prenait des nouvelles de ses acolytes. L’état des deux enfants était important mais il devait avant tout sécuriser les artefacts. Il prendra possession du bâton une fois séparé de Joseph et demandera à Arilo tout ce qu’il sait sur le mode de fonctionnement de ces objets. Il demandera ensuite à faire le chemin retour accompagné des convalescents ainsi que d’un messager Grisons pour réduire l’attention porté par les patrouilles Kalardes au convoi. Détails des actions :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Visite de Bernard chez les Portos avec Armory
- Demande de Dieter aux Grisons, prêt d’un messager pour le retour en sécurité. Retour dès que les malades sont déplaçables. Dieter garde les artefacts (ainsi que le bâton en cas de mort ou de séparation de Joseph). Action seigneuriale : J’embarquais le lendemain sur un bateau Porto, le reste de ma semaine allait s’écouler alors que je voguerais sur les flots, les sacs chargés de trésors. Je profite du trajet pour lire l’ouvrage obtenu dans la bibliothèque de Patlamas et finaliser la copie entamée par mon serviteur. L’original sera restitué à la fin du voyage si la copie est terminé, il sera conservé quelques jours supplémentaires si elle ne l’est pas, afin qu’un copiste prenne ma relève une fois arrivé. Une lettre sera envoyée à Sombralys dès mon retour à terre.
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
« A l’attention de Baldur Resath, le Téméraire, Commandant Général de l’Armée Royale et Protecteur du Royaume.
Bonjour mon ami, Voici à travers ces mots quelques informations qui me semblent judicieux de vous transmettre afin que vous puissiez apprécier la situation au mieux. Je me suis rendu au fief des Grisons afin de quérir une aide médicale particulière pour l’un de mes hommes. J’ai là-bas été la cible d’une tentative d’assassinat de laquelle j’ai réchappé de justesse. Les conclusions de l’interrogatoire de l’assassin laissent à penser que Sorod est peut-être le commanditaire, quoi qu’il en soit, nombres de ces tentatives ont eu lieu dans des fiefs plus ou moins mineurs. Et une chose est sure, la personne qui en est à l’origine a pour cela fait appel à un démon. Suite à ces événements, Hugues de Lannoy a décidé de s’engager pour la paix entre Sombralys et les Kalards. Nous connaitrons les suites de ses discussions avec Vivienne dans les semaines à venir. J’ai également eu vent que les Kalards ne seraient pas à l’origine de la destruction des stocks de vivres de la Capitale. En temps normal, je n’aurais pas cru ces rapports mais une 3e force pourrait bien être à l’œuvre dans ce conflit profitant de l’affaiblissement des deux camps officiellement engagés pour jaillir au dernier moment et rafler la mise. Je pense que si une trêve était envisageable, il serait bon d’étudier cette possibilité avec soin. Malheureusement, tout ceci ne s’arrête pas là, il y a pire à vous annoncer, je le crains. Lors de mon passage chez les Portos, j’ai appris la présence d’un démon de cercle supérieur en totale liberté sur l’Île de Stalinx. Il aurait pris possession de toutes les âmes qui y vivent et la seule chose l’empêchant de réduire à néant le continent de la même façon est l’étendue d’eau qui l’en sépare. La mission que se sont fixé les Portos et d’empêcher à tout prix ce démon de traverser. C’est pourquoi, ils ne s’engageront pas dans la guerre en cours. Pour ce qui est des troupes Sombraliennes, la 5e a été exterminé dans une attaque surprise des Rhahans, la 4e est introuvable et ne s’est pas rendu à l’Est comme prévu et les Corps déployés dans la Coalition courent et s’épuise vainement tentant de stopper les luttes intestines qui ravagent leur territoire. Je crains que la récolte ne soit pas la première priorité de ces gens. Vous comprenez, je l’espère, pourquoi une trêve deviendra vite un choix qui s’imposera. Entre Sorod, les incursions démoniaques et la famine qui nous guette, mieux vaudrait établir un semblant de paix fragile en attendant la résolution de quelques-unes de ces catastrophes. Sachez cependant que l’Ordre vous suivra quelle que soit votre décision. Bernard Hohenburg, votre allié loyal et ami sincère. » Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Bernard retourne à Steinenwolfe par la mer
- Envoi d’un messager à Sombralys à son retour pour l’informer de tous les renseignements recueillis Budget : 20 Or pour le voyage en bateau Action de fief : Otto regardait l’horizon peu habitué au calme qui régnait dans la demeure familiale. Il observait Eva au loin donner des directives aux nouvelles recrues qui se pressaient au-devant de la forge pour récupérer leur équipement. Détails de l’action :
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Recrutement de 10 piquiers et 20 archers
Budget : 100 Or Action secrète : Eva passait en revue les préparatifs de la cérémonie. Musiques, fleurs et drapages, tout devait être parfait pour célébrer la promotion sortante. Retia avait immédiatement confié cette tâche à Eva, surement ne voulait elle pas avoir à s’investir dans cet événement dont elle avait été privée par sa nomination à la succession des Hohenburgs ? Ou peut-être trouvait-elle ce genre d’effusion de passion inutile ? Quoi qu’il en fût, c’était Eva qui se pressait pour organiser cette soirée. Elle redoublait d’effort pour rester focalisée sur l’objectif mais elle ne pouvait s’empêcher de se remémorer cette nuit, la nuit où Frantz l’avait pris sa main pour la faire danser. Elle, qui effrayait les autres hommes par ses capacités et sa personnalité avait été trouvé par ce damoiseau souriant, un peu naïf. Cela lui avait porté bonheur et réconfort… Pour le temps que cela avait duré. Oui, Frantz était bon et naïf, c’est surement pour cela qu’il s’est écarté du reste de la patrouille pour aider cette pauvre femme qui avait perdu son fils. Surement pour cela qu’il ne s’est pas méfié et n’a pas vu arriver la dague qui, plantée dans son flanc, perfora son foie. Dépêchée sur place, Eva fut témoin du dernier sourire de son amant. Dernier sourire, portant plus que de sens que n’importe quels mots, qui consuma le cœur d’Eva une dernière fois avant de s’éteindre pour de bon. Eva s’était effondrée au sol, une larme à l’œil au souvenir de ces moments. Otto, agenouillé devant elle, lui tendait un mouchoir, sans un mot, rien qu’un regard compréhensif et affectueux. Après quelques instants au sol, les deux se relevèrent et reprirent la route afin de finaliser les préparatifs. Détails de l’action dans l’handout
Attention : Spoiler !
[ Cliquer pour agrandir ]
[ Cliquer pour masquer ]
- Préparation de la cérémonie de la Jugend des Ordens dans un mois
Budget restant : 33 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
Le sujet a été verrouillé.
|
Modérateurs: autoslayer