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SUJET : Le Royaume Humain :
Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81281
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Tour 9:
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède, Blason de la ville, Blason du village L'ancien et le renouveau Réaction Gratuite : Une nouvelle visite pour un vielle amis
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But : -Échanger deux fioles contre des technologies Méthode : RP : Action Seigneurial : Intégration de nouveaux territoires
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But : -Rallier le fief salé et l’intégrer Méthode : -Grand voyage du seigneur bivoix dans les deux communautés + Sa femme + son fils + 2 Troupes de théâtre + 20 Cavalier + 20 Hommes d'armes + MI -Demande le ralliement du fief salé et l'on garantit le régime autonomiste du fief tout en assumant d'assurer la protection des deux communautés durant ces temps troublés. -Annonce que toutes les réserves que les habitants ont prévus pour les impôts peuvent être gardés par leurs possesseurs. -Offre aux communautés la bannière comme cadeau et gage d'estime. Et l'on fait hisser ces bannières le plus haut possible. -Demande aux communautés de designer un Dorf-mestre qui servira d’intermédiaire entre les communautés et le bourg-mestre armory et d'administrateur principale. Si aucun membre de la communauté ne souhaite remplir se rôle ils peuvent voter pour le fils du seigneur bivoix. -une fois les deux dorf-mestre désigné ont organisera une grosse fête d'une semaine, avec de l'alcool, du théâtre et des jeux -En plus pour fêter la réunion des deux fiefs, on organisera la construction d'une taverne dans toute les communautés. -Petit à petit on essaye d'assimiler les savoirs et le fonctionnement du fief salé tout en imprimant nos façons de faire sur certaine chose -MI récoltera des informations sur les deux communautés pour faciliter leurs intégrations. RP : La grand-mère avait enfin accepté de m'apprendre à jouer aux échecs Bivoise. C'étais comme les échecs, mais avec un jeu de carte, chaque joueur tirait une carte avant de jouer et les cartes avaient des effets qui pouvaient changer là parti. De ce que grand-mère en disait, il était plus important de connaître le jeu de carte que les échecs vraiment. Elle devait avoir raison, parce que je sais jouer aux echecs mais je peur toujours aux echecs bivoise. Mais la, j'allais apprendre, et si je gagnais l'enjeu était de taille. Si je gagnais grand-mère allais insister auprés de père pour que je sois parti prenante dans le choix de mon épouse. Mais bon, j'avais déjà perdu la semaine dernière. À cause de cette défaite, j'ai dû manger du pain sec à tous les repas pendants une semaine. Cette fois si je perdais j'allais devoir donner mon cheval à ma grand-mère et je devrais attendre pour en avoir un nouveau... Il ne fallait pas que je perdre. J'entrais dans la salle de jeu. Grand-mère était là à m'attendre. Elle disait qu'il fallait toujours être là avant son adversaire pour préparer les positions. Pour une bataille, je veux bien... Mais pour jouer. -Prends place mon petit-fils adoré. -Grand-mère. -Es-tu prêts à me donner ton cheval ? -Es-tu prêtes à argumenter avec père ? Elle sourit, elle aimait bien mon coté combatif et déterminé, je crois. Même si ma mère ne cessait de se plaindre de mon côté tête de mule. Gnagnagna tu tiens ca de ton père. C'est bien la seule chose de lui que je dois avoir. Grand-mère sortit le jeu de carte et le placa a cotè du plateau. J'avais retenu la leçon il y a cinq ans. Il fallait toujours poser la même question. -Quelle sont les projets de père ? -Nous allons intégrer le fief des salés cette semaine. -Quoi, mais comment ? C'est illégal non ? -C'estca la leçon aujourd'hui. -Ah... Je fus déçu par cette réponse évasive. Mais au moins la parti se passa plutôt bien. J'avançais mes pions, et mes cavaliers dévorèrent les réservées de grand-mère. Les événements était en ma faveur. Le coup de grâce fut lorsque le roi de grand-mère fut mis pile au centre de mon dispositif. Un mouvement et elle était echec et maths, j'allais garder mon cheval et choisir mon épouse. Je l'imaginais, blonde, ou rousse avec de grand et beau yeux. Elle serrait distinguée, mais un peu friponne, pas beaucoup, mais un brin. Juste comme la servante Annie. Elle serrait parfaite. Puis-je tirai la carte. Roi de pique... C'étais quoi déjà comme règle ca. J'interrogeai ma grand-mère du regard. -Ca mon petit. Ca veut dire que tu as perdu. Le roi de pique veut dire, inversé votre place avec le joueur adverse. -Quoi?! Mais c'est Ignoble ! C'est STUPIDE ! Je me levais, et je marchai à pas rapide vers la sorti. Mais la porte était fermé à clé. -GARDE. OUVREZ LA PORTE! Ma grand-mère applaudit. -Bien, tu as intégré plusieurs leçons. Parle comme un chef et refuser la défaite. Bien, bien. Allez viens je te rends ton cheval. Mais quelle leçon as-tu tiré de cette partie. -Que la chance l'emporte sur le talent.... Dis-je mauvais. Très drôle. Très drôle. Mais non. En premier lieu, arrivé en avance permet de préparer le terrain. C'est moi qui est mis en place la table et le jeu de carte. Les événements t'ont mit en bonne position comme je le voulais et la parti, c'est déroulée comme je l'avais prevu. Planification, la règle de tes 11 ans. -VOUS AVEZ TRICHE?! -Règle de tes 15 ans. Ne suis les règles que quand elle t'arrange et que tu peux les utiliser ou que quelqu'un de plus fort peu te les imposer. -Pourquoi cette leçon aujourd'hui. -Ton père va annexer le fief des salés. Aujourd'hui, personne n'est en mesure de lui imposer des règles qu'il n'a pas dicté. -Et si la chance lui chie dessus. -C'est-à-dire ? -Si le fief des salés ne veut pas être annexé. -Et bien, c'est une autre leçon. Comme moi, ton père utilise les evenements à son avantage. Il a organisé cette annexion, comme j'ai organisé le jeu de carte. Il a utilisé la chance, comme moi. Mais enfin, ton père a prevu une solution si la chance n'étais pas avec lui tout comme moi. Elle sortit un cinq de carreau qui annonçait le match nul... -Et pour père quelle est la solution en cas de malchance ? Il a prévu de jouer une partie de carte pour gagner le fief ? -Non, il n'a pas besoin de jouer. Il a une armée. Action Fief : Un nouveau problème aux racines anciennes
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But : -Se renseigner sur le nouvelle arrivant et si besoin l’éliminer Méthode : -Savoir si il est le père du marchand qui croupit dans le cachot -Si non, laissez le chercher son fils voir aidons le -Si oui, -) L'envoyer vers le fief des salés car son fils y est partit comme émissaire commerciale -) le faire assassiner pendant la traversé de la rivière. Si il ne veut pas se rendre chez les salés, on le conduira aux culs de basse fosse ou il pourra aller croupir avec son fils pendant que les mercenaires et les hommes d'armes s'occuperont ses gardes du corps si ils veulent se battre. -Faire passer son assassinat pour une tentative d’assassinat sur Armory qui aurait raté -Si besoin louer 3 mercenaire pour 99 or RP : J'ai froid. Je sors du sommeil. Je suis mouillé. Un homme est devant moi. On croirait la faucheuse. Peu être vais-je enfin mourir. -Alors. Enfin réveillé ? Je ne répond pas. Je n'ai plus la force. -Bien. Donc, quel est le nom de votre père ? Il est de la capitale c'est ca ? -Oui. Oui L'homme sort une cisaille. Il m'arrache un bout de peau à vif. Je hurle. Ils n'avaient jamais fait ca. -Le nom de votre père donc ? -Herman. HERMAN ! -Bien, il est important -Oui. Il prend des notes. Ma jambe me fait souffrir. C'est là que les gardes ont tapé la veille. -Il est riche ? C'est lui qui vous avez permis de vous payer votre petit commerce ? -Oui. Nous sommes riches. -Bien, bien. -Les cris ? J'ai entendu des cris hier D'un geste. Il arrache un autre bout. Je n'aurai pas dû parler. Mais ces cris... Inhumain. -A quoi ressemble votre père ? Est'il grand ou petit ? Âgé ou non ? -Petit. Petit, je crois. -Il voyage toujours avec une escorte. -Oui. Oui... Un homme invisible. Il me jette un sceau d'eau glacé. Je commence à trembler. Bien malgré moi. Je ne peu plus. J'ai trop mal pour le cacher. -Je reviendrai demain. Vous savez, votre père est sans doute ici. Vous avez eu de la chance de ne pas être exécuté. Lui, il n'aura sans doute pas cette chance. Un voile noir recouvre ma tête. Et le soir. Je suis dans mon trou. Aujourd'hui, les gardes jettent leurs excréments. C'est lundi. Budget de la recherche 100 Budget Restant 504 ou 603 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
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Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81307
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Tour 9 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Action gratuite : visite d'un légat déchu.Au ressortir de sa discussion avec le légat, Arnoult en tirais trois conclusion : 1 – Qu’en tant que grenier du monde la Coalition de la Terre est le maillon de base de l’ordre de Centralion. Donc que sa disparition causera une crise sans commune mesure avec tous événement connue et dont la seul sortie sera une refondation total de son organisation. 2 – Qu’il existe une tendance naturel au désordre à lequel il faut apporter une énergie extérieur pour revenir a l’ordre initial. Or dans le cas de coalition, aucune force extérieur n’a sue apporter de solution efficace à la crise avant son arrivé. Donc qu’à l’heure actuel il est le seul à tenter d’empêcher l’ordre mondial de sombrer dans sa globalité… 3 – Que l’ordre mondiale à été remis en cause par un canard. Tout comme la volaille, le moral du petit seigneur volait bien bas.
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Un groupe de 10 hommes d’armes se séparera du corps d’armé d’Arnoult pour rejoindre plus rapidement Ifan (itinéraire rose) pour l’imformer de la situation, en récupérant au passage les troupes de Velërion.
Objéctif : - Rejoindre la troupe de Velërion, où se trouve le lieutenant des sombraliens. - Rentrer au pays pour porter un message à Felip Cajal. Méthode : Longer le fleuve jusqu'à la position (théorique) de la troupe de Velërion. Si l'espion de ce dernier fait correctement son travail il devait repérer le groupe messager. Si le groupe Velërion est introuvable le groupe poursuivra son itinéraire vers Ifan. Le message : (pas sûre que j'ai le temps de le rédiger) - Informe Cajal de la bonne santé d'Arnoult, de la situation de la Coalition et lui annonce le retard de son retour. Le seigneur à encore des affaires en cours dans la Coalition. - Ordonne de préparer un convoie de moines vers les Terres Fertiles dans le but d'y fonder un voir plusieurs monastères. - Ordonne la levée de troupes. Action seigneurial : tourné inter-signeurial. « Un canard pond un œuf et c’est la vie de plusieurs centaines d’habitants de la capital qui est menacé… J’ai de plus en plus de mal à croire que l’humanité est un jour pus vaincre des démons. »
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Le sir Arnoult et son escorte rentre au pays en suivant l’itinéraire rouge foncé sur la carte, il fait une tourné des seigneurs de la coalition de la Terre.
Objéctif : - Rentrer au pays - Rencontrer le plus de seigneurs ex coalisés. Méthode : La troupe d’Arnoult va de villages en villages en suivant les cours des fleuves. L’itinéraire n’inclut pas tous les villages, si Arnoult découvre que le seigneur qu’il cherche se trouve dans une autre communauté que celle prévue il modifiera l’itinéraire pour le rencontrer. But : - Se renseigner sur les seigneurs de chacun de ces fiefs ainsi que sur leurs conflits. - Rappeler la similarité de leur situation avec la sienne chez les esgans. Les liens d’amitié qui unissent l’Esganie au sort des coalisés, s’inquiéter de la bonne tenue des récoltes… - Proposer et promouvoir l’aide du monastère d’Ifan dans toutes les communautés traversées → la construction de monastère pourrait aider à calmer les paysans et à renforcer le pouvoir des seigneurs sur eux. - Proposer une forme de sortie pacifique à cette crise → la réunion de l'ensemble des seigneurs autour d'un sommet en terrain neutre. Action de fief : aménagement du territoire. « Les ésgans sont toujours promptes à se dissiper... » se disait Felip Cajal en fervent amateur de l'ordre et de la centralisation. Le problème que l'on lui présentait face à lui restait pourtant un phénomène banal pour le représentant du clan Mhuidáin qui lui faisait face : la population de Thulgairn croissant les éleveurs du clan devait emmener leur cheptel sur des pâturages toujours plus lointains poussant les familles à s'installer toujours plus à l'ouest de la capitale, les voici maintenant qui réclamait de la seigneurie qu'elle apporte à ces nouveaux hameaux isolés les infrastructures les reliant au marché de la Tuhlgairn. Cajal posa un regard las sur les points que l'on lui désignait sur la carte du fief que l'on avait étendue sur un coin de la table de la salle principale de la demeure. Cette demande était sensiblement la même que celle émise la veille par un représentant du clan Connacháin qui lui avait décrit le même étalement suivi par des fermiers d'Ifan le long de l'Ombreuse. L'ancien lieutenant résonnait en militaire et voyais des chaînes approvisionnements rendus inefficaces à causes d'avant postes désordonner sur une surface étendue... Solution logique : synœcisme des hameaux pour former une communauté autonome. Cela permettra la mise en culture de nouvelles terres, de nouveaux pâturages et satisfaire enfin ces foutu clans. Ce sera un investissement, certes, mais ce type de construction attire de nouveaux artisans qui pourront ensuite rester, pour peu qu'on y mette les moyens. Il n'y a plus qu'à trouver une chapelle ou autre lieux saint un peu perdu au milieu d'une terres arables où implanter pour satisfaire curé et fermier pour lancer le projet, or ce sont-là les deux ressources les plus abondantes de ces terres.
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- Établissement d'une nouvelle communauté sur le point indiqué sur la carte (triangle vert) incluant la construction d'un stockage de vivre, d'une terre arable et d'une infrastructure économique pour un investissement total de 650 or.
- Des réunions avec les clans concernés seront régulièrement organisées pour garantir l'approbation et la bonne tenue de cette implantation. - Il est attendu que les populations migrantes soient principalement originaires de Tuhlgairn et d'Ifan, mais aucune restriction n'est imposé sur ce point. De même il est attendu que les clans concernés soient surtout les Mhuidáin et les Connacháin, mais aucun n'est exclu. Des moines seront dépêchés pour établir une recencement de la nouvelle population et de ces origines. - 30 hommes d'armes sombraliens (toujours « ésganisés ») et 10 cavaliers sont mobilisés pour ce projet pour assurer la protection de la communauté durant son établissement, des divers convois qu'elle implique et des nouveaux colons en déplacements. - Occuper par ces autres activités Felip ne supervisera pas directement la construction, mais il restera attentif à celle-ci. La supervision du projet ce faira sous l’auspice du bienveillant et toujours très bénévole monastère d’Ifan (et des clans locaux). Note : n'oublions pas les diverses doctrines et technologies liées à cette implantation. Budget restant : 16 |
Dernière édition: par Sardine.
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Le Royaume Humain : il y a 4 ans 1 mois #81308
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Tour 9 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
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Indisponible par manque de temps jusqu’au 14 décembre 2020… Action fief : « Nous allons continuer les volontés de père. »
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- Dépense de 190 or pour finir l’investissement dans le stockage de vivre d’Edelnac
- Recrutement de 10 Rôdeurs noirs, 10 piquiers et 2 hommes d’armes à Santes Action seigneuriale : « Les enjeux sont importants, tout comme la première impression. Je vais patienter et faire un brin de toilette. Comme j’ai du temps à tuer, autant que cela soit utile. Ah, et faite venir l’un des membres de mon escorte ! »
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– Hugues va se faire une toilette et traîner dans une bibliothèque, étant amateur de littérature. De plus, il envoie l’un des membres de son escorte comme messager vers son chancelier afin de le prévenir de la ressemblance entre les enfants disparus et les blesser de l’Ordre. Qu’il les fasse identifier par les parents. S’il s’agit effectivement des enfants, ces derniers seront jusqu’à nouvelle ordre confiné au sein de la demeure familiale.
Réactions gratuites : « Et bien je… continuer l’analyse de la pierre, je suppose que c’est ce qu’il y a de plus urgent. »
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- On choisit la pierre
Budget restant : 338 or |
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Le Royaume Humain : il y a 4 ans 5 jours #81441
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Tour 9 : Petites Intrigues entre amis ?
[/u][/b]Par ce clair matin, l'Armée de la Rose reculait, selon les rumeurs, dans les meilleures conditions. Aucune armée avant celle-ci n’avait reculé aussi bien, ni surtout aussi vite ! Les rumeurs n’allaient pas jusqu’à dire que c’était un plaisir de reculer comme ça, mais presque ! L’opinion des soldats quand à eux sur la qualité de ce recul était légèrement différente. Poursuivis par les différents corps d'armée Sombralyens, séparés des Soldats Rahans, et devant à la fois reculer en ordre et se défendre du harcèlement incessant des défunts civils morts de faim durant le siège.... Les mêmes rumeurs rapportent aussi que les nuages noirs au dessus de la Coalition de la Terre (ou anciennement au vu des nombreux conflits ayant lieu entre eux) sont toujours présent, tournant toujours en rond au dessus... La preuve s'il en était besoin que Solaar n'est pas heureux de ce que les coalisés font actuellement sur la Surface de Solaarion.. Maison des Bivoix - Momo Après le plutôt lourd banquet de la veille, tu ouvres les yeux dans une chambre soigneusement entretenu, avec des draps fins et agréables. Tu n'y avais pas porté plus d'attention que cela la veille, au vu du nombres important d'informations que tu avais a traité. A ta grande joie, une jeune servante entre dans la pièce pour t'apporter ton petit-dejeuner : Des oeufs, du Lard, du lait, du jus d'orange, du saumon probablement fumé, différents types de pains, diverses confitures, et même une sorte de miel au niveau de la texture, mais avec la particularité d'être de multiples couleurs. Parmi tout ce choix de nourriture, tu remarques aussi une lettre soigneusement cachetée pour te proposer ce que tu voudra : Lot 1 : Tech majeur "Caravelles" + Tech moyenne "Chantier Naval" lot 2 : Tech majeure "Pierre de captage" + Tech moyenne "Bouclier à pierre de Captage" Lot 3: 8 000 Or Lot 4 : Accès au Réseau de Pierre de Souvenir Les informations, savamment distillées, finissent par atteindre l'oreille de la cible. Confiant en ta réussite, tu verses le paiement aux mercenaires, afin que le contrat s'accomplissent.. Après tout, si le Père meurt, le fils hérite... et vu sa position, TU hérites... Sans nouvelles informations, tu pars avec le Seigneur Hohenburg pour une petite visite chez les Portos, et alors que tu fais ton trajet, tu te demandes combien de fils le Courtisan peut avoir...Ce serait triste de ne pas avoir la totalité de l'héritage... Ne pouvant rien y faire, tu mets de côté cette question pendant ton séjour. Mais à ton retour, tu reçois les mercenaires embauchés, qui te ramène la tête des gardes effectivement...ainsi que la tête d'un vieil homme, mais qui n'est pas le bon.... Que s'est-il passé ? Les mercenaires ont pourtant suivi les indications..Auraient-ils étaient retournés par le Vieux ? Ou celui-ci se serait-il douté de quelque chose ? Ou la chance ??? Le projet d'unification avec le "fief des salés" n'avance pas .. Non pas par manque de volonté de part et d'autres, mais tout simplement car les présages de la Mer ne sont pas en la faveur. En effet, d'après ceux-ci, un énorme banc de polyo, des poissons de mer très appréciés dans la capitale, et à ce titre une aubaine pour des pécheurs, doit passer dans leur filet. Les réserves d'Alcool de la Mer ont même été mis sous clé afin que personne ne puisse boire pendant l'évènement afin d'avoir le maximum de bras disponibles pour relever les filets. Budget du Tour : 836 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin En sortant de la Demeure des Portos, tu remarques que la moitié du campement militaire à disparu, tout simplement... Après quelques minutes de chevauchées, tu vois, devant tes yeux, apparaître brusquement la moitié disparue. Par reflexe tu tire sur la bride de ta monture, puis une fois l'analyse faites tu reprends ta course. Trouver le navire ne fut guère compliqué, trouver le capitaine par contre fut une autre paire de manche. Tu finira par le trouver, pas totalement ivre, dans un bar non loin...Enfin bar... Il ne faut pas monter dans les étages si l'on veut garder l'image du bar intacte. Alors que le navire vogue fièrement sur les flots, tu peux apprécier la rigueur de l'équipage . Cependant, au bout de quelques jours, voilà qu'arrivé au large des côtes de la Rose, votre navire est "gentiment" invité à s'arrêter et à les suivre par 2 briseurs Kalards. Réaction Seigneur : Le batiment est officiellement un batiment Porto, sous commandement du capitaine Arlfed de l'Armée régulière Porto, cependant d'après la missive que tu lui as remise, tu peux donner des ordres dans la cadre de ton retour chez toi à celui-ci, du moment que ceux-ci ne sont pas disproportionner, déraisonnable ou contraire aux intérêts Portos. Tu peux donc te choisir de la marche à suivre du bâtiment . La caravane est équipé de 2 chaloupes, ainsi que de 3 sortes de grosses balistes (1 à l'avant, et 1 de chaque côté, celle de l'avant ayant la particularité d'avoir un projectile avec au bout d'une pierre, mais qui n'est pas une pierre de souvenir). L'approche militaire n'est cependant pas forcément celle que le capitaine du Navire te recommande. Heureusement pour te tenir compagnie pour cette traversée, tu peux compter sur 2 passes-temps, les premiers écrits traitant des bases de la technomagies, et aussi le livre que tu as demandé. Tu n'as pas pu en lire beaucoup jusqu'ici, mais tu as pu comprendre que le premier volume, manquant, traitait essentiellement des préparatifs, ainsi que du début de l'exploration, et qu'entre le début de l'expédition en Terre Sombre et le 2nd volume, environ 5 personnes sont déjà mortes, soit environ 1/3 du groupes d'aventuriers initial Avec le siège levé, tu peux savoir par Pigeon de Sombralys que ton héritière s'est lancé dans la funeste, mais combien glorieuse, formation des Sombres Traqueurs Sombraliens. Pour le moment, elle va bien, bien que son moral est plutôt bien flanché lorsqu'elle a du ramper dans le sang de l'une des autres recrues morte sur une épreuve juste avant son passage... Budget du Tour : 241 Or Fief des Grisons – Solkills Conformément à tes ordres, le surplus de la production est installé dans un grenier ( 2 Tour) Le messager est parti. Et ta toilette a été faite. Tu sera conduit dans une pièce assez sobre par rapport au reste du Palais de la Rose où tu sera rejoint par la Reine en premier lieu, puis quelques instants après par sa Mère... Discussion gratuite (Discord?) Arilo demande une décision : Après une longue explication sur la magie incompréhensible, il simplifie la chose à ceci : Imaginez que l'Enfant et le Bâton soit tout les deux les fondements d'un pont, et que le lien magique qui les unit maintenant soit le pont. Pour briser le pont, il est possible de prendre une pioche, et de taper sur le pont au milieu jusqu'à ce que cela se sépare. Bien sûr en fonction du pont, et de la pioche, cela peut prendre énormément de temps, d'énergie, et il faut savoir que je ne connais pas la dureté de ce pont, ni même si j'ai une pioche pour le détruire, ou une simple éponge.. L'autre solution est de tenter de détruire l'un des piliers, se faisant, le pont affaibli d'un côté se détruira de lui-même... Les piliers sont souvent plus simple à détruire que le pont en lui-même car je sais où taper d'après mon exemple. Cependant, ce que je ne sais pas, c'est l'effet que cela aura sur l'autre pilier car le poids du pont viendrait à l'impacter au début..potentiellement...enfin je crois.... Bref, voilà les deux choses auxquelles j'ai pensé... a si, tout serait trop simple si je ne rajoutais pas que le pont entre les deux piliers semblent se solidifier en meme temps que le temps passe... Et aussi que je suis pas sûr à 100% de taper sur le pilier que je souhaiterait...Je dirais que je pense pouvoir ne pas me tromper..Mais que la probabilité que je me trompe est toujours présente... Je sais que cela est une décision dure mon enfant, mais votre père n'est pas encore rentré de son voyage..... Décision gratuite : Le sort d'un Enfant Budget du Tour : 528 Or Fief Esgan – Sardine Alors que tu quittes la demeure du légat, un de tes éclaireurs après quelques heures de routes vient à bride abattu te retrouver. D'après ses informations, une importante force de l'Armée Régulière Porto est en train de marcher vers la demeure du Légat, et au vu des nuages sur leurs passages, ton éclaireur ne sait si c'est la population qui mets le feu avant leur arrivée, ou si ce sont les soldats qui brulent tout sur leur passage. Réaction gratuite : - Tu peux décider de fuir , d'aller parler à l'armée arrivant, ou aller prévenir le légat (En fonction du choix, les impacts seront différents sur le fil de l'Histoire, mais cela consomme l'action de ton dirigeant) Ton mage avec son escorte sont rentrés dans ta capitale après leur mission de rapine, cependant ils sont exténués, mais rapporte l'information que le campement de la Compagnie Dorée a été levée et qu'ils ont été rappelé sur leurs terres. En plus des richesses (convertis en Or), tu obtiens 3 charrettes Budget du Tour :7836 Or |
Because I'm Batman
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Le Royaume Humain : il y a 4 ans 3 jours #81446
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Tour 10 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Action seigneurial : l’armé Porto. « Par Solaar, il ne manquait plus qu’eux. Le royaume entier à donc décider de me faire la vie impossible ? »
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Part à la rencontre de l’armée Porto.
Action de fief : de l’or en pierre. « C'était inattendue mon père, mais nous avons enfin cet or que tant nous envions, nous allons pouvoir enfin observer ce projet que depuis si longtemps vous vouliez nous soumettre. L'envoyé du monastère d'Ifan ne payait pas de mine. Ce petit vieillard maigrichon et hésitant, engoncé dans sa bure était venu s'installer entre le visage sévère du mage Velërion et les bras épais d'Alienar Fraech Faodhagáin, représentant de son clan. - Euh... Oui... En effet, c'est un projet de longue date, proposé à l'origine par l'abbesse Igenne et repris par l'abbesse Una... La mère Una voulait initialement l'implanter dans son monastère de Cwmduad, mais la sécurité de nos archives seraient mieux assurées ici, à Thulgairn... Enfin ça peut se discuter, ça dépendrait de... Quoi ? Oui le projet... Comme vous le savez la conservation nos archives d'Ifan est un problème de chaque instant. Nous avons envisagé plusieurs méthodes et l'une d'entre elles est d'en décharger une partie sur un autre monastère. Bien sûre cela exigerait de construire une enceinte digne de ce nom. Pas un simple hospice pour moine. Bien sûre il y a un certain investissement... L'occasion de fonder un lieu à la fois de prière, d'étude et de conservation à proximité du pouvoir seigneurial... - Qui pourra nous servir pour concentrer nos recherches, - repris Version - l'accès à la bibliothèque de l'ordre me sera d'une grande aide. - Oui... Enfin... Ça reste un temple avant tout... Sous notre garde... Vous ne viendrez pas le profaner avec vos héré... - Ne commencez pas, – tonna Felip – nous avons un emploi du temps charger. Nous sommes clairs que la Maison du seigneur Arnoult pourra toujours profiter du savoir de l'Ordre tout comme nous sommes clairs que la maison de l'Ordre est dans son temple et que personne n'y viendra profaner quoi que ce soit. Maintenant revenons à l'essentiel, comment comptez vous financer ce bâtiment ? Interloquer le moine ne sut que répondre avant de timidement notifier. - Messire... Nous pensions que c'était vous qui financeriez ce projet... - Pourquoi ? L'Ordre de Saint Macc ne dispose pas de fond propres ? - Et bien... Certe. Mais notre trésore n'est pas riche, nous ne sommes pas en mesure d'assuré une tel construction... C'était d'ailleurs la raison de ma venue. - Vous n'étiez pas encore arrivé quand nous en avons parlé avec Alienar. C'est vous qui allez payer cette construction et la seigneurie s'arrangera pour que vous ayez les moyens de le faire. Le vieillard regardait la tablé sans donner plus de signe de compréhension. - Ce que le lieutenant vous demande c'est que nous financions ces constructions, mais qu'il nous offrira l'or nécessaire. Repris Alienar. Il a demandé a notre clan de faire de même avec une forge à Gallowgairn. On nous demande de servir de prêtes-nom en somme. - Ha ! Heu... Soit... Enfin... Pourquoi messire n'investit pas directement son or dans ce cas ? - La Rose et les Rahans sont persuadés que Baldur Resath essaie d'acheter les seigneurs neutres. Avec une telle démonstration de richesses ils pourraient penser que nous aurions accepté le pot de vin et rejoins leur ennemi. - Ce n'est pas le cas ? - Bien sûre que non, nous vous aurions mis au courant. Pour l'instant nous tenons à éviter cette guerre. - Mais... Et l'argent... - Ça ? Felip regarda le mage aux yeux tirés par le sommeil... Disons que nous nous sommes débrouillé...
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Construction à Thulgairn :
- 1 centre de recherche - 1 monastères - 2 infrastructure économique - 1 guilde des aventuriers Construction à Galowgairn : - 1 forge Coût total : 4150 or. Budget restant : 3686 or. |
Dernière édition: par Sardine.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 11 mois #81478
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Tour 10:
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède, Blason de la ville, Blason du village Poisons et poissons Choix du lot 1 Tech majeur "Caravelles" + Tech moyenne "Chantier Naval" Action Fief: Aide pour nos nouveaux territoires
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But : -Aider pour la futur pêche et se faire bien voir Méthode : -Envoyer des gardes pour aider à la surveillance des stocks d'alcools -Propose envoyer de la main d'oeuvre pour aider et déplacer autant de population que possible (que les stocks le permettent et que le travaillent le demandent) -Envoie des orphelins, des pécheurs et des volontaires -Propose de donner 2 or a chaque habitant et en plus de cela un prime serra versé selon les résultats de la pêche. RP : Je suis Aldemar, ça fait quinze ans que je suis coursier pour les cuisines du château. Ma mère est servante et mon père est sans doute un garde ou un inconnu. Peu être est-il mort, peu être pas., je ne sais pas. Aujourd’hui je me rendais dans les cuisines pour la énième fois, et comme à mon habitude je me dirigeais vers Lysa, la maitresse des compotes. Elle était très gentille, et avait toujours besoin d’ingrédient. Mais au détour d’un couloir, j’entendis autre chose. « Oui chambellan, vous annoncerez aux crieurs publics de répandre la nouvelle. Les premières personnes qui se porteront volontaires pourront se rendre dans le village de salé. Ils recevront une bourse de cuivre pour s’installer, et le seigneur bivoie redonnera de l’argent si le travail est bien fait. Car oui ils devront travailler pour lancer le plus de bateaux possible. Est-ce bien clair ? » L’homme ne répondit pas, et je ne sais pourquoi plutôt que de me rendre aux cuisines je suivis l’homme. Puis je suivis les crieurs publics. Je fus le premier homme de la foule à être volontaire, et l’on inscrit mon nom sur les listes. Puis je rassemblais mes maigres affaires et je rejoignis le convoi pour le départ quelques jours plus tard. Nous partîmes et nous marchâmes pendant longtemps. Durant le voyage je fis la connaissance de plusieurs pêcheurs, ils étaient nombreux dans le convoi et de quelques autres personnes, orphelins et fils sans avenirs comme moi, quelques prostitués, et des étrangers étant arrivé récemment. Je fus surpris, le village était différent de tout ce que je connaissais. Solide était une ville bruyante, l’on se sentait enfermé par les bâtiments construits n’importe où et n’importe quand. Ici, tout était différent, le seul bruit qu’on étendait était celui des mouettes et des villageois aux travaux. Les bâtiments étaient peu nombreux et l’espace était presque écrasant par son immensité. À peine avions-nous posé nos affaires dans la plaine qu’un grand homme auquel il manquait une partie du village nous hurla dessus. ALLEZ LES FEIGNANTS, LES HOMMES AUX BOIS ! LES FEMMES AUX CORDAGES ET AU FILET ! CEUX QUI SAVENT CUISINER VOUS ALLEZ AIDER LES FEMMES AU CENTRE DU VILLAGE ! Je rejoignis les hommes et l’on me tendit une hache. Je dus abattre du bois et nous en portons une grande partie vers les rives. Là-bas les locaux taillaient et formaient le bois. J’aperçus des femmes qui cousaient des filets, l’une me fit un sourire et par réflexe je détournais le regard. Action Fief :
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But : -Tuer le vieux qui a disparu Méthode : -Carte blanche pour le MI, on le laisse piocher dans le budget et réquisitionner des troupes selon ses besoins. -Envoyer les cavaliers en patrouille pour le capturer aux frontières et par delà si besoin RP : Nous étions dans la même salle, chaque fois la même salle, toujours des situations différentes. Nous etions dans les mêmes ombres et dans la même odeur de suif. Je le regardai finir de lire un parchemin, quand je vu qu’il avait fini je décider d’entamer la conversation. « — Vous conviendrez que les résultats de notre embuscade sont assez peu convaincants. — Il est vrai qu’un vieillard est mort. Pas le bon, mais un vieux tout de même. — Oui… Et si je vous demandai de chasser le vieillard qui nous intéresse. Vous en seriez capable ? — Vous m’estimez incapable de chasser une vielle homme ? — Il a plus de ressource que ce qu’il semblait. Et il est peu être déjà loin, a voyagé vers la capitale, vers ses amis. — Ça serait problématique. — Plutôt. Vous vous en occuperez ? — Ça sera fait mon seigneur. » Je remontais les escaliers cachés, pour finalement revenir vers l’aile seigneuriale. Je me dirigeais vers mon bureau. Sur le chemin je pus vois mon fils et sa grande mère entrain de jouer aux échecs. Alors que je les observais, je fus bousculé par un petit diable de bâtard. Il me regarda en souriant et continua sa course, « TU NE M’ATTRAPERAS PAS !! », je pointais du doigt le garde et lui ordonna de « rattrapez-le ! ». Bon, cela occuperait mon bâtard de fils et ce bonnet pendant un long moment. Le gamin courait vite, trop vite parfois. J’atteins finalement mon bureau et je m’enfermai dedans. Regardant par la fenêtre pour observer le départ de dizaines de cavaliers, puis d’une silhouette sombre. Budget de la recherche 100 Budget Restant 736 |
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 11 mois #81482
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Tour 10 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
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Une réunion
Après sa discussion avec les Kalards, Hugues de Lannoy se pose quelques instants pour se reposer et réfléchir. Alors comme ça, ses suppositions étaient fondées : la Reine n'est qu'un pantin, c'est bel et bien Viviane de Kalard qui est au pouvoir. Peut-importe, Hugues et les Grisons n'ont que peu d'intérêt sur la politique qui régit le Royaume. Seul importe la sauvegarde de leurs terres ancestrales. C'est pour cette raison que le seigneur de Santes s'apprête à entammer un périllieux voyage. S'avanturer en Sombralys afin de rencontrer directement Baldur et d'obtenir un cessez-le-feu... pour le bien du Royaume. Hugues ne peut s'empêcher d'afficher un petit sourire dédaigneux. Il n'a que faire du Royaume, cette entitée pourrie jusqu'à la moelle par ses complots et ses luttes de pouvoirs. Comme ses prédécesseurs, Hugues rêve d'un peuple Grison libre des entraves du Royaume. Mais pour la première fois depuis l'asservissement à la couronne, une opportunité se présente et il en revient au seigneur de Santes de s'en saisir. Action fief : « Pour la première fois depuis des siècles, les Grisons se mobilisent pour défendre leurs demeures. »
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- Recrutement à Santes de 1 Bélier et 15 piquiers (100 or).
- On termine d'investir 190 or dans le stockage de vivre à Edelnac. Action seigneuriale : « Après cette entrevue avec les Kalards, c'est l'heure de rencontrer Baldur... »
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- Hugues de Lannoy se rend vers Sombralys accompagné de 10 cavaliers à marche forcée. On affiche nos armoiries pour être reconnu. L'objectif est de convaincre Baldur d'accepter un cessez-le-feu pour faire face à la nouvelle menace que pose le Batard et les Démons.
- Comme convenu avec les Kalards, on cherche à développer ensemble la technologie d'archer-montés. Actions gratuites : « Père aurait probablement pris la solution de prudence et aurait choisit le temps et la patience... Mais je ne suis pas mon père. J'ai confiance en vos talents Arilo, occupez-vous des pilliers. »
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- On laisse le soin à Arilo de s'en prendre à l'un des pilliers.
« Qu'est t-il arrivé à ces enfants et comment on t-il fini entre les mains de l'Ordre ? »
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- On interroge l'enfant conscient sur ce qu'il s'est passé.
Budget restant : 238 or |
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81779
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Tour 10 :
Blason de l'Ordre
Actions gratuites : Caché dans la chaloupe, j’observais l’approche des briseurs Kalards. La discussion qui s’en suivit parut assez étonnante, quelle nation exige un droit de passage contre remise de livre quelconque. Mes troupes et moi-même ne furent pas détectés et rapidement les troupes ennemis se désengagèrent laissant à mon hôte un droit de passage pour la traversée. C’est ainsi que je revins à Steinenwolfe après 1 mois d’absence réconforté par les résultats de la gestion efficace d’Otto. Je mettais un pied à terre, les bras chargés des atouts que je ramenais de mon voyage à travers le Royaume. Otto me fit un rapport. Tout était en ordre et avançait comme prévu, un seul accroc était à noter : Dieter n'est toujours pas rentré avec les enfants. Détails des actions :
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Retour à Steinenwolfe.
Action seigneuriale : Fort de mes nouvelles connaissances sur la Couronne, il était désormais temps de l’utiliser. Je dirigerais moi-même, au cours de la semaine suivante, des entretiens avec les derniers major de promotion de la Jugend des Ordens. Deux candidats seront sélectionnés pour la phase d’essai en fonction de leur stabilité mentale et de leur capacité de raisonnement. Ils porteront à tour de rôle la Couronne, selon le protocole détaillé sur les parchemins. Les candidats seront gardés sous surveillance en dehors des périodes d’essai et une chambre sera mise à leur disposition dans le laboratoire d’essai pour la durée des essais. Détails de l’action :
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Recrutement et formation de 2 candidats au port de la Couronne (voir détail handout)
Budget : 25 Or Action de fief : Otto continuait la gouvernance sans faillir en l’absence de Bernard. Les feux des forges ne faibliraient pas, comme convenu. Détails de l’action :
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Recrutement de 2 espions
Budget : 100 or Action secrète : Le centre de recherche ouvrait enfin ses portes. Otto n’aurait pas cru qu’un tel événement se ferait sans Bernard ni Dieter. Quoi qu’il en soit, l’équipe de recherche de la division Requiem était prête et il était temps pour elle de faire ses preuves. Détails de l’action dans l’handout
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Lancement de la recherche
Budget : 100 or Budget restant : 16 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81781
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Tour 10 : Un mystère en cache d'autres
Le conflit entre les armées de la Rose et celle du Protecteur du Royaume, après une semaine de débâcle des premiers, s'intensifie de nouveau, cette fois dans les terres avoisinantes et les forêts bordant le Fier de la "Matrone Kalard". D'après les rumeurs, les nuages noirs sont toujours présents au dessus des Terres de l'Ancienne Coalition de la Terre, qui toujours en proie à de nombreux conflits internes est encore sujet à plusieurs incendies, combats et rapines en tout genre. Maison des Bivoix - Momo La délicate opération de poussage de certains de tes concitoyens pour aller travailler, de manière utile à tes projets pour une fois il faut le remarquer. D'après les quelques rapports que tu as reçu ...rapports...il faut être très flexible pour appeler cela un rapport mais bon... tout se déroule bien. L'alcool est toujours sous séquestre, et le banc de poisson est sur le point de passer. Tout a l'air de bien se passer Tes 3 cavaliers rentrent, à quelques jours d'intervalles R1:
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Le premier te rapporte une personne, ligoté et bâillonné, il te dit l'avoir capturé bien loin au Sud lorsqu'il est sorti d'une taverne, complétement éméché, et que Personne ne peut remonter jusqu'à vous. Pourquoi lui ? Il te montre la splendide armure en or massif que la personne portait. D'une qualité très importante, tu peux remarquer au poids qu'elle vaut cher, et le détail de l'animal représenté dessus, un éléphant, est incroyablement sophistiqué.
R2 :
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"D'après mes informations, Seigneur, une partie de l'armée Porto, sous le commandement de votre beau-frère est en train de mettre le feu aux terres de la Coalition de la Terre. Sans doute espèrent-ils faire rentrer les choses dans l'ordre par ce biais? Mais si c'est le cas, ils se trompent lourdement, en effet, la population sur mon chemin est aussi entrain d'apprendre progressivement la nouvelle, et cela alimente une colère qui couve contre les différents Seigneurs. Une colère par un ....je crois que le mot est "manque de considération" est celui qui reflèterait les nombreux ... mots beaucoup plus grossiers qu'ils émettent..
R3 :
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Je vous ramène un coffre incroyable. D'après celui à qui je l'ai acheté, il a la capacité d'y faire apparaître des parchemins avec des choses écrites dessus! C'est très pratique pour savoir des choses sur les gens sans qu'ils le sachent . Et en plus la boite ne fonctionne que si la personne qui l'ouvre sait lire. Sinon.. Et bien elle fonctionne pas.... En plus, elle était PILE dans les 100 pièces d'Or de Budget que vous nous avez confiés ! C'est incroyable !
Budget du Tour : 926 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin La Formation (et l'expérimentation) a commencé.
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Les candidats semblent ne pas avoir de soucis avec le fait de mettre ou de retirer la Couronne. D'après leurs dire, le poids de celle-ci, une fois mise, varie, pouvant aller jusqu'à donner le sentiment qu'ils ne l'ont pas. Pour ce qui est du reste, ils peuvent juste pour le moment répondre qu'ils ne savent pas vraiment comment ils savent. Mais quand quelqu'un dit un mensonge devant eux, une voix se faire entendre dans leur tête, résonnante et trainante disant "ILLLL MEEENNNNTTTT". Cependant, ils ne peuvent savoir avec certitude sur quelle partie de la phrase. Ni sur quel ..."intensité". Recherche et Formation Lancée D'après les rumeurs, les troupes Rahans qui aidaient à tenir le siège de Sombralys ont été rappelés à l'Est du continent. En effet, des convois de ravitaillement de la Golden Compagny (troupes d'élites des Rahans) ont été "lâchement" attaqué, sans doute par quelques survivants d'un des corps Sombraliens qui avait mission dans l'Est du Royaume. Budget du Tour : 349 Or Fief des Grisons – Solkills Lors de ton chemin, tu peux remarquer le chaos provoqué par les nombreuses escarmouches entre les troupes de la Rose, et les "fantômes". Tu peux aussi comprendre que ces "fantômes" ne sont en fait, bien sûr, que des soldats Sombraliens, envoyés en escouade assez petites pour avoir de grandes facilités de déplacements, et pouvoir provoqués des petits conflits, souvent destructeur pour le moral ainsi que créant des tensions parmi tous, incapable de savoir quand et où sera leur prochaine frappe. Cela te rappelle beaucoup le fonctionnement de tes propres soldats, bien que vous n'ayez pas eu de conflits militaires depuis longtemps. En revanche, sans doute grâce au fait que votre groupe est reconnaissable de loin, vous n'êtes pas inquiétés sur votre trajets, ni par les troupes Sombraliennes ni par celles de la Rose. Une triste tentative de rançonnage par des brigands...plutôt des paysans ayant choisis la voie du brigandage pour tenter de profiter de l'occasion et du chaos, a bien eu lieu, mais une rapide discussion avec le fer de vos armes les ont rapidement dissuadés de continuer...définitivement... Arrivé sur les premières lignes "fixes" de l'armée Sombralienne, tu peux remarquer déjà que ceux-ci ne semble pas vouloir réellement pour l'instant pousser celles-ci au contact de l'armée de la Rose, et semble plutôt être.. en attente ? Questionné sur tes motivations, retenues quelques instants pour faire remonter l'information, et te voici accompagné jusqu'à une tente, à quelques kilomètres seulement en arrière. Celle-ci, bien que grande, reste très sommaire, d'extérieure comme d'intérieur. Les gardes a l'entrée, te prient de bien vouloir choisir seulement 2 gardes pour t'accompagner, ils pourront eux conserver leurs armes bien entendus, mais tu devras toi les laisser à l'entrée. De plus, tes gardes auront le droit de rester à deux pas derrière toi, mais à moins que cela. Tu estimes cela raisonnable, car cela sous entends qu'ils seront capable de te défendre en cas de problème, mais n'auront probablement pas le temps de franchir l'espace les séparant de toi, puis de celui te séparant de Baldur. Ce qui te semble être très réfléchi. .. Action de ton dirigeant : Tête à tête avec Baldur ? Arilo s'en est allé, avec ta bénédiction, tenter son entreprise risqué, pour cela, il a emmené l'enfant un peu plus loin dans la Montagne.... Au cas où a-t-il dit.... Le jeune enfant te raconte candidement qu'il a juste voulu suivre Jean.. Devant ton air interloqué, comme parlant à un enfant, il t'explique que Jean est son ami, mais aussi le frère Joseph. Joseph qui est celui qui est avec le mage. Enfin bref, devant ton air légèrement surpris, tant par son ton que par les informations, il continue : "Au début on voulait juste faire le voyage, et puis on a vu que Joseph nous avait suivi, du coup on a voulu revenir, et puis Joseph était fatigué, donc on a du trouver un endroit pour dormir un peu. En cherchant dans le noir, parce que Jean avait oublié les torches, vu qu'il pensait pas qu'on en aurait besoin, Joseph a fini par tomber dans un trou, il a crié, c'est comme cela qu'on l'a trouvé. Et puis qu'on est tombé aussi du coup, vu qu'il avait rien dit et qu'il était juste en train de pleurer. C'est normal vu son âge, mais bon sur le coup je me suis fait mal moi en tombant... Donc comme je disais on est tombé, et en cherchant a remonter, toujours dans le noir hein, donc on était en train de toucher avec les mains pour savoir,on a fini par trouver..Enfin Jean a fini par trouver une torche, enfin pas une torche sur le coup, mais un squelette, enfin on savait pas que c'était un squelette, du coup trouver un truc, et en touchant le truc, il a trouvé un autre truc, qui lui a rappelé la forme de la torche, donc il a su que c'était une torche, donc il a pu l'allumer, et c'était bien une torche, et la on a pu voir que c'était bien un squelette, sauf qu'il était pas tout seul... Y'en avait plusieurs. Des squelettes, pas des torches bien sur. Et parmi les squelettes, y'avait des trucs cools, des torches, des armes aussi. Même qu'on a du donner le bâton à Joseph en lui disant que c'était comme une épée, parce qu'il avait peur avec les squelettes, et qu'on a pas voulu lui donner l'épée. L'épée c'est Jean qui l'a pris, moi j'ai pris l'arc parce qu'on voulait pas que Joseph joue avec l'arc, ou avec l'épée, vous voyez ? Donc voilà, ensuite on est reparti. Enfin avant on a voulu dormir, et la pendant qu'on dormait , y'a un truc bizarre qui s'est approché de nous, vous nous croyez ou pas, c'était immonde et gigantesque, au moins trois fois plus grand que Joseph. Du coup Joseph s'est remis a pleurer, parce qu'il voulait pas rester là, et du coup le truc nous a vu, et il a voulu nous sauter dessus, enfin il a pas eu le temps parce que Jean s'est mis entre nous et lui, et il a glisser sur le tas de squelettes, parce qu'on avait pas eu le temps de repartir encore, et en glissant, il a coupé le truc en deux, comme maman qui coupe une quiche. Elle fait des très bonnes quiches, vous savez ? Donc du coup après on est parti très vite, enfin après que Jean se soit relevé. Et puis une fois qu'on était parti, on s'est dit qu'on avait vécu un truc super, et avec l'Or trouvé. y'en avait quelques pièces sur les squelettes, on a voulu aller boire. Et puis Joseph a commencé à dire que Jean, c'était un grand combattant, qu'il avait déjà tué des squelettes vivants, et des bêtes qui faisait la taille de la taverne. Forcément cela a fait rire les gens, et ils nous ont traités de menteurs, et Jean il aime pas qu'on le traite de menteur, surtout quand y'a des filles, du coup il a sorti son épée, et ils ont sortis leurs épées aussi, parce que ceux qui nous traitaient de menteur c'étaient aussi des gardes, mais on le savait pas, on le promet. Et puis vu qu'il y avait des filles dans la salle, Jean voulait pas se dégonfler, du coup il leur a dit de venir tous ensemble et qu'il allait les battre. Et pareil, vous me croyez ou pas, il a donner 4 ou 5..peut-être un peu plus coups d'épée, et voilà qu'ils avaient tous leur pantalon au niveau des genoux. C'est pas pratique pour se déplacer cela Madame, parce que du coup cela bloque les mouvements, je vous auraient bien montré, mais cela se fait pas de descendre son pantalon devant une fille en public. Enfin bref du coup on est parti en courant, et on entendait le tavernier dire qu'on avait pas payé. Du coup quand on est arrivé à la ville d'après, et qu'une femme est venu nous poser des questions, on pensé que c'était pour nous faire payer, mais en vrai, c'était une femme d'une autre ville encore, qui voulait qu'on soit des Héros et qu'on retourne là où y'avait les squelettes. Du coup on lui a montré notre secret, et puis ensuite on l'a accompagné chez elle..Enfin dans sa ville Madame, et puis la bas on a été super bien reçu, et les gens ont fait une fête en notre honneur, on a même vu le Seigneur qui nous a donné plein d'argent, et puis Jean a refait son truc avec une de leur garde, et paf elle avait plus d'armure sur elle. Et puis ensuite il est partie avec une autre femme, et puis moi je suis resté avec joseph, et puis on est retourné la bas, dans le trou, pas dans la ville, et on a exploré plus loin.C'était pas beau à voir, même que y'avait pleins de trucs verts qui nous ont attaqués, et y'a eu pleins de morts, parmi ceux qui était venu avec nous. Même eux voulait pas retourner la bas. Y'a meme Pjork qui a juré devant nous que s'il ressortait vivant, il irait dire des insultes au prêtre de Solaar de sa ville. Je sais pas s'il l'a fait d'ailleurs, mais en tout cas on est ressorti... vous m'avez pas vu, mais j'étais dans un sale état, y'avait un truc vert qui m'avait attrapé, mais Jean était là... Je pensais avoir perdu mon bras, mais votre ami était là... voilà... " Devant tout ce charabia, tu restera quelques secondes en train d'essayer de comprendre tout ceci D'après les rumeurs de ta taverne, la Prison Royale serait coupée du monde depuis quelques semaines. Personne ne sait ce qu'il s'y passe, mais les pécheurs locaux ainsi que les transporteurs navigant dans le coin ont pour ordre de ne pas s'en approcher, des bâtiments de guerre de la Famille Porto montant la garde... Budget du Tour : 498 Or Fief Esgan – Sardine Les investissements ont eu lieu. Valérion est toujours fatigué de sa mission.
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Alors que tu avances vers les armées Portos au loin, tu remarques que la trainée d'incendie dans leur sillage comme ton éclaireur l'avait annoncé. Peu en confiance, tu décides quand même de faire bonne figure, malgré tout le Destin ne pourrait s'acharner sur toi ainsi ?? Tu te places avec ton escorte dans une des nombreuses plaines non cultivés dernièrement, tu ne saurais dire si c'est à cause des nombreux conflits qui ont lieu, ou si c'est un champ laissé volontairement libre de culture comme certains aiment le faire a ce qu'il parait .. " pour avoir des récoltes plus importantes les autres années"... Après une éternité d'attente, regardant la poussière soulevé par ce qui doit probablement être l'armée Porto, ainsi que l'incendie derrière eux, tu peux facilement écarter la possibilité que cela soit la population qui mettent volontairement le feu devant eux... Plissant les yeux, pour voir au mieux et au plus loin, tu notes quelque chose d'étranges sur le spectacle devant tes yeux..En effet le feu ne faiblit toujours pas et reste dans le sillage des cavaliers Portos.. "Comment un feu peut-il se déplacer aussi vite qu'un cheval? Ton cerveau carbure, peut-être à cause des récents évènements, ou encore du repas du légat, encore est-il que la solution ne te saute pas aux yeux de suite... Mais lorsque tu commences à discerner les sons des cavaliers, toujours chevauchant à bride abattus vers vous, ton cerveau finalise d'assembler les pièces de ce qui se déroule devant toi. Entre les différents cris des soldats devant toi, une cacophonie de "FUYEZZZZZZ" de "A L'AIDEEEEEEE" ou autres cris de douleurs pour ceux qui se font engloutir par les flammes qui les rattrapent car leurs chevaux ralentissent, exténués par leur folle courses à travers les vastes champs... Action De ton Seigneur en rapport avec la situation Budget du Tour :4124 Or |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81782
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Tour 11 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Action seigneurial : la foutu armé porto. « Morbleu, mais quelle sorcellerie ces idiots ont-ils encore déchaîner... - Arnoult se retourna vers l'éclaireur qui avait rapporté le phénomène. - Combien en voie tu ? - Une centaine sir. Enfin, y'a l'feu qui fait baisser chiffre. - Si on les élimine le feu cesserait-il ? L'éclaireur resta sans mots, ne sachant quelle réponse apporter. - Non, nous manquons malheureusement d'assez d'archer, mais peut-être que... » Un cavalier de plus chuta dans les flammes, son cri strident fendit la plaine glaçant le sang des sombraliens les plus solides. « Ils foncent sur nous. Ces malheureus foncent sur nous ! » La rumeur s'amplifia entre les rangs, les regards convergèrent vers Arnoults qui tentait de maintenir son allure de fierté, sans réel succès. « Faites sonner le clairon. On fait demi tour vers le fleuve et on retourne aux barques. Et en ordre ! - Arnoult jeta un dernier regard aux cavaliers. - S'ils ont un tant soit peu de jugeote c'est là-bas qu'ils se jetteront. »
Attention : Spoiler !
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Arnoult fait sonner le clairon et ces hommes se retirent sur le fleuve, près à embarquer (juste au cas où). Il met ces hommes en sécurité fait observer la scène.
- Dans le cas où le feu cesserait, il partirait à la rencontre des cavaliers. - Dans le cas où le danger semble écarter, mais que les portos sont morts ou disparus, il enverrait des éclaireurs observer le feu ou ses restes calcinés, trouver des survivants ou au moins des dépouilles en relatif bonne état et surtout chercher l'origine de ces cavaliers avant de retourner voir le Légat Pompeïus. Action de fief : un millier d'étendards bravant le vent. « On dit des ésgans qu’il dispose de plus d'une vingtaine de termes et d'argots dans leur langue pour designer une lance, en fonction de sa taille, de ces matériaux où de l'usage qui lui est destiné. Si elles sont peu prisés des nobles, qui leurs préfères des armes plus coûteuses et donc plus prestigieuses, elles sont en revanche très largement diffuser au sein de la population qui en a fait un marqueur de son identité. Cet usage si répandu peut s'expliquer en partie par la coutume qui veut que chaque famille puisse fournir à son clan plus d'arme qu'elle n'a de tête. Mais c'est aussi l'absence de métal de qualité pour fabriquer un équipement convenable en ces terres à grandement influer sur les pratiques guerrières de ces habitants. Avant l'arrivée de Maxis en Ésganie très rare sont les écrits sur son peuple. On peut toutefois noter que l'une d'entre elles, une chronique anonyme de l'ascension d'Arthurius, raconte que l'un des usurpateurs, Agus le triste, aurait recruté des mercenaires chez les sauvages qui peuplaient la Haute-Ombreuse et dont descendraient les ésgans d'aujourd'hui. On y lit qu'un millier de barbares se battaient en rangs et, braillant, ils chargeaient l'ennemie portant au clair des lance de décorés de centaines d'étoffes de plétore de couleurs tel un millier d'étendards bravant le vent. Si les chiffres avancés semblent très largement exagérés ce texte met en évidence l'ancienneté d'une coutûme encore pratiqué chez ce peuple consistant à nouer des rubans de tartans pour signifier leurs origines, leur clan, leur obédience à tel chef ou tel cause ou encore des titres honorifiques ou symboliques. Même le choix du bois utilisé pour le manche peut répondre à des critères spécifiques au statut où à l'usage qui en sera fait. Ainsi le chêne-blanc est l'arbre de Saint Mac et ne doit pas être utilisé pour blesser un homme, là où le ligneux solitaire serait, selon la superstition, un arbre au propriété soi-disant magique qu'ils attribuent à la sorcellerie. Bien sûre, je n'ai trouvé aucun érudit porto sérieu qui soutienne tel hypothèse. Les plus couramment utilisés sont le geol, sorte de javelot de cinq pieds et le sleagh, une pique de vingt pieds établie comme standard de la formation ésganne. J'ai put attester l'existence de piques longues de quarante pieds, mais il semble peu probable qu'elles aient eu une réel utilité autre que d'apparat ou comme marqueur d'une puérile virilité. » Extrait de « Traité sur les pratiques martiales du royaume. Livre IV. À propos des armes d’hast, de leurs variantes et de leur usage sur les terres de Centralion. » par l’archiviste Mnemos de Patlamas.
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Formation de 20 piquiers à Thulgairn pour renforcer la garnison de Gallowgairn.
Coût total : 90 or. Budget restant : 3934 or. |
Dernière édition: par Sardine.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81783
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Tour 11 :
Blason de l'Ordre
En marche ! Le Conseil de Guerre semblait vide sans Retia et Dieter. Otto et Eva était en accord sur ma stratégie et il était désormais temps de passer à la suite du plan. La population de Steinenwolfe avait été rassemblée devant le parvis de la demeure familiale pour un discours. Le peuple devait savoir que j’étais là et que la flamme du combat brulait ardemment en moi. Il devait savoir que l’Ordre vaincrait et devait mettre tout leur cœur dans ce combat. Je m’avançais le regard sûr en haut des marches surplombant l’assemblée avant de m’exclamer : « Hommes et Femmes de l’Ordre ! C’est par le sang et par le feu que s’est bâti notre Nation ! Nous l’avons bâti comme Temple de l’Excellence. Nous avons passé nos vies à travailler pour l’Avenir et le voici qui se dresse aujourd’hui devant nous ! Nous savons comment le conquérir et quel sera le prix de cette Gloire ! Et ce sera pour nous un privilège que de se battre ! Hommes et Femmes de l’Ordre ! Nous sommes de vrais guerriers ! L’échine de nos ennemis ploiera sous les coups de nos lames. Et c’est avec leur sang que nous écrirons le cours de l’Histoire ! Continuons de nous battre encore et toujours pour récolter les fruits de notre Excellence ! » Après quelques minutes de discours, je quittais la scène, sous les hurlements fanatiques du peuple, pour préparer l’expédition. Je croisais le regard d’Eva, partageant tous deux la même frénésie, nous nous mîmes en route. Action seigneuriale : Ces quelques jours de repos avaient été appréciables mais beaucoup de choses, trop même, requéraient mon attention. Je donnais pour ordre à Eva de réunir l’unité Stärke afin que je la dirige en mission. J’avais eu vent des réussites militaires de Baldur depuis mon retour. Il m’était donc d’autant plus difficile de comprendre pourquoi il ne m’avait pas rejoint. J’allais devoir éclaircir ça par moi-même. J’espérais que notre rencontre soit rapide afin de pouvoir mener à bien la suite des opérations. Des messagers me précéderont afin de lui annoncer mon arrivée et de lui communiquer les éléments importants.
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« A l’attention de Baldur Resath, le Téméraire, Commandant Général de l’Armée Royale et Protecteur du Royaume.
Bonjour mon ami, Voici à travers ces mots quelques informations qui me semblent judicieux de vous transmettre afin que vous puissiez apprécier la situation au mieux. Je me suis rendu au fief des Grisons afin de quérir une aide médicale particulière pour l’un de mes hommes. J’ai là-bas été la cible d’une tentative d’assassinat de laquelle j’ai réchappé de justesse. Les conclusions de l’interrogatoire de l’assassin laissent à penser que Sorod est peut-être le commanditaire, quoi qu’il en soit, nombres de ces tentatives ont eu lieu dans des fiefs plus ou moins mineurs. Et une chose est sure, la personne qui en est à l’origine a pour cela fait appel à un démon. Suite à ces événements, Hugues de Lannoy a décidé de s’engager pour la paix entre Sombralys et les Kalards. Nous connaitrons les suites de ses discussions avec Vivienne dans les semaines à venir. J’ai également eu vent que les Kalards ne seraient pas à l’origine de la destruction des stocks de vivres de la Capitale. En temps normal, je n’aurais pas cru ces rapports mais une 3e force pourrait bien être à l’œuvre dans ce conflit profitant de l’affaiblissement des deux camps officiellement engagés pour jaillir au dernier moment et rafler la mise. Je pense que si une trêve était envisageable, il serait bon d’étudier cette possibilité avec soin. Malheureusement, tout ceci ne s’arrête pas là, il y a pire à vous annoncer, je le crains. Lors de mon passage chez les Portos, j’ai appris la présence d’un démon de cercle supérieur en totale liberté sur l’Île de Stalinx. Il aurait pris possession de toutes les âmes qui y vivent et la seule chose l’empêchant de réduire à néant le continent de la même façon est l’étendue d’eau qui l’en sépare. La mission que se sont fixé les Portos et d’empêcher à tout prix ce démon de traverser. C’est pourquoi, ils ne s’engageront pas dans la guerre en cours. Pour ce qui est des troupes Sombraliennes, la 5e a été exterminé dans une attaque surprise des Rhahans, la 4e est introuvable et ne s’est pas rendu à l’Est comme prévu et les Corps déployés dans la Coalition courent et s’épuise vainement tentant de stopper les luttes intestines qui ravagent leur territoire. Je crains que la récolte ne soit pas la première priorité de ces gens. Vous comprenez, je l’espère, pourquoi une trêve deviendra vite un choix qui s’imposera. Entre Sorod, les incursions démoniaques et la famine qui nous guette, mieux vaudrait établir un semblant de paix fragile en attendant la résolution de quelques-unes de ces catastrophes. Je me rends en cet instant à votre encontre afin de pouvoir discuter de cette situation avec vous. Sachez cependant que l’Ordre vous suivra quelle que soit votre décision. Bernard Hohenburg, votre allié loyal et ami sincère. » La visite au campement de Baldur fut passionnante et se conclue par une nouvelle mission. J'avais pour tâche de négocier une trêve avec les Grisons au nom de deux des belligérants de ce conflit : Sombralys et les Kalards. Après m'être prestement mis en route, je rencontrais quelques jours plus tard Hugues de Lannoy dans sa demeure. Les conditions à transmettre furent rédigées : Sombralys s'engageait à retirer ses troupes et à mettre fin à sa campagne et en échange: - Des vivres seront envoyés à Centralis pour éviter la famine - Les exactions militaires des deux camps ayant pu avoir lieu lors du conflit seront pardonnées En concession pour cette trêve, un jugement par les Pères se tiendrait à Centralis dans 4 semaines auquel tous les seigneurs du Royaume devront convier l'un de leur représentant et c'est Baldur qui y sera jugé. L'information sera transmise à tous les fiefs afin qu'ils puissent s'organiser pour faire parvenir leur représentant à temps. Hugues s'était également engagé à approvisionner la capitale en attendant la fin des négociations. De mon côté, j'avais accepté d'aide les Grisons à rétablir l'ordre sur les Terres de la Coalition. Une fois ces conditions transmises, je reprenais la route vers l'Ouest donnant rendez-vous à Hugues dans une semaine. Détails de l’action :
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Mise en marche de l’armée en suivant l’ordre l’expédition indiquée sur la carte.
Envoi de messagers pour trouver la position de Baldur et lui remettre la lettre avant que mon armée ne le rejoigne. Composition indiquée dans l’handout. Action de fief : Les forges bruleraient des Feux de l’Enfer s’il le fallait mais nous ne laisserons pas un instant s’éteindre les foyers. Le fracas des lames sur les boucliers d’entrainement sonnaient comme une douce musique dans la cours du poste de milice et cela n’était pas prêt de changer. Détails de l’action :
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Recrutement de 10 Panzerschutzes et de 10 Hommes d’Arme
Budget : 100 Or Action secrète : Otto, à nouveau en charge de la gouvernance, observa le convoi quitter la capitale avant de se diriger dans les ruelles accompagné d’une petie escorte. Détails de l’action dans l’handout Budget alloué à la recherche : 100 Or Budget restant : 9 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81803
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Tour 11:
Au nom d'Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche a droite: Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède, Blason de la ville, Blason du village L'Heure est a l'action Action Fief:
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But : -Utiliser les opportunités crées par nos espions -Gagner Argent avec armure -Inspecter l'objet magique -Ramener d’avantage de population dans le fief Méthode : -Inspection du coffre pour détecter la magie, aide à la manipulation par un serviteur -Revente de l'armure d'or et interrogatoire du prisonnier -Envoyer les trois espions dans les terres de la coalition pour continuer de faire savoir que les terres des Bivoix sont une terre d'accueil et de libération ou tout le monde est considéré a sa juste valeur. (30 Or frais de voyage, pour soudoyer des crieurs publics) -Utiliser les cheveaux RP : Action Fief :
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But : -Accroitre nos capacités de recrutement militaires Méthode : -Construire une forge pour 500 RP : Cela fait bientôt trois ans que je travaille pour Maitre Estyenne, c’est un bon forgeron. Avant on faisait beaucoup de fer à cheval, d’outils. Mais depuis peu on fait surtout des armes et des armures, il arrive des caisses et des caisses de fer des mines montagnardes. Le travail est dur, mais honnête. Je suis assez bien payé, mais ma position n’a pas beaucoup évolué depuis les années que je suis là. Aujourd’hui c’est comme les derniers jours, on fabrique des pointes de flèches en grandes quantités, ça ira gagner les stocks. On en produit plusieurs centaines, ce n’est pas le travail que je préfère. Je préfère les épées et les casques. Un jour j’espère qu’on me confiera la confection d’une armure merveilleuse pour un grand seigneur. Après tout ils ont bien payé une fortune pour des drapeaux. Je plonge une fournée de pointes dans l’eau froide. Avec le bruit que fait l’eau qui chauffe au contactes des pointes de flèches je n’entends pas l’homme qui entre. Enfin les hommes qui rentrent. Quand je me retourne, je tombe née a née avec un garde a la mine patibulaire. Il m’empoigne par les épaules, j’ai peur d’avoir fait une erreur ou qu’il cherche un traitre à soumettre a la question dans les culs de basse-fosse. Il me force à m’agenouiller. Le jeune homme bien vêtu s’avance vers moi, et se penche vers moi: -tu es Bairtran, l’apprenti forgeron? -Oui, m’syr. -Tu est la depuis quand? Je veux dire depuis combien de temps travailles-tu ici. -Trois ans m’syr. -Bien.. Bien. Tu ferras l’affaire. -[...] -Tu feras l’affaire? dit'il comprenant que je n’ai pas compris qu’il s’agissait d’une question. -Oui pour’sur'm’syr. J’frai en sorte que. -Bien parfaite. Viens avec moi. Le jeune homme lance une bourse d’or et on laisse sur place un garçon plus jeune que moi. Dehors il y a un autre homme, d’un âge mûr et des bras de forgeron. On nous mène dans des ruelles un peu a l’exterieur de la ville. Puis on s’arrête devant un bâtiment quelque peu miteux, mais avec une grande cour. Je me demande ce que l’on fait là. Bienvenue dans votre nouvelle forge, enfin votre futur forge. Il faudra un certain temps avant de l’aménager. Budget de la recherche 100 Budget Restant 321 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 9 mois #81804
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Tour 11 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
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Le Protecteur du Royaume
Hugues de Lannoy, escorté par deux de ses hommes et d’une dizaine de soldats sombraliens, se dirige vers la tente qui doit probablement abriter Baldur. Alors que la rencontre se fait imminente, le seigneur de Santes repasse dans son esprit les évènements de ces derniers mois afin de convaincre le Protecteur du Royaume d’accepter la trêve. Outre la fin de ce bain de sang inutile, c’est également l’occasion pour Hugues de Lannoy de sortir son épingle du jeu et de permettre aux Grisons de gagner en importance dans la géopolitique du Royaume. Malheureusement, le problème n’est pas que politique et la menace d’une invasion venant d’une troisième force tapie dans l’ombre est bien réel, et leur victoire annoncerait des heures encore plus sombres pour les Grisons. Ainsi, Hugues a tout intérêt pour l’instant à garder l’unité du Royaume et arrêter la guerre civile… Alors que le cortège arrive devant l’imposante tente de commandement, un sergent sombralien s’enfonce à l’intérieur de la structure afin de prévenir Baldur que le seigneur de Santes est arrivé. Après une dizaine de seconde, Hugues de Lannoy est invité à rentrer. Il s’avance, tout en notant la vigilance des gardes et la tension qui se cache à l’intérieur de leur corps. Une fois à l’intérieur, le seigneur de Santes se retrouve nez à nez avec 6 hommes réunis autour de plusieurs grandes cartes étalées sur une table. A sa venue, l’un des officiers s’empressent de ranger lesdites cartes dans le but évident de ne pas dévoiler les informations qui se trouves dessus. Même si Hugues n’a jamais eu l’occasion de croiser personnellement le Protecteur du Royaume, il reconnaît immédiatement l’homme au milieu de l’assemblée grâce aux descriptions que l’on fait de Baldur. Des descriptions qu’Hugues trouvaient exagérés même si il reconnaît qu’en cet instant, Baldur apparaît très imposant. Comme à son accoutumé, le seigneur de Santes engage immédiatement la conversation, sans détour tout en plongeant son regard dans celui de Baldur. « Protecteur du Royaume, j’ai à vous parler d’affaires de la plus haute importance… Et seul à seul. Si vous tenez à honorer le titre que vous porté, je vous conseille d’écouter ce que j’ai à dire. » Action fief : « Les forges tournent à plein régime alors que de plus en plus de Grisons se préparent à défendre leur pays. »
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- Recrutement de 20 Rôdeurs noirs et 20 hommes d'armes pour 190 or
Action seigneuriale : « Enfin, nous voici face à face avec Baldur »
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- En tant qu’intermédiaire, Hugues tentent de négocier avec Baldur une trêve avec les Kalards. Il lui révèle la tentative d’assassinat sur sa personne ainsi que sur le seigneur Hohenburg, l’enquête autour du prisonnier et la grande probabilité d’ingérence de la part des « démons » et du bâtard. On souligne le fait que cette guerre civile et les autres instabilités du Royaume profite à cette 3e force.
Si Baldur accepte la trêve, on propose que ce dernier désigne un homme loyal et en qui il a confiance comme son émissaire et représentant. A ce sujet, on propose le seigneur Hohenburg. De son côté, Hugues représentera les Kalards. L’objectif est que les deux partis puissent se retirer dans leurs domaines tandis que les deux émissaires seront chargés de ramener la stabilité dans le Royaume. Ainsi, les deux grandes factions pourront rester vigilantes l’une envers l’autre. Enfin, si Baldur accepte la trêve, on envoie une moitié de nos stocks de nourritures pour ravitailler la population affamée. Actions gratuites : « Ces enfants sont tombés sur un endroit dangereux qu’ils n’auraient jamais dû trouver mais cela semble avoir réveillé l’intérêt d’un seigneur… Quoiqu’il en soit, nous attendrons des nouvelles d’Arilo. En attendant, nous hébergerons ces malheureux. »
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- On garde les enfants et on s’occupe d’eux en attendant le retour d’Arilo
Budget restant : 308 or |
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81806
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Tour 11 : On ne sait jamais ce qu'on a vraiment dans le ventre
D'après les rumeurs, les troupes de Sombralys ont arrêtés leurs assauts envers les troupes de la Rose. Nul ne sait vraiment pourquoi, ce qui encourage les bardes a raconter les victoires des défenseurs de la Rose, d'autres la grande magnanimité de Baldur.... Maison des Bivoix - Momo R3:
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Lorsque tu t'approches du coffret, tu ne perçois pas la sensation habituel...Pas de lueur, pas de picotements... Rien.. hormis la sensation d'un coffret en bois. Lorsque tu l'ouvres, tu n'aperçoit à l'intérieur rien d'autres que le fond du petit coffret. Tu l'inspectera sous plusieurs angles, cherchant un mécanisme ? Un Indice ? Quoi que ce soit....Et le verdict sera consternant : Non seulement l'imbécile a toucher à 10 fois la somme que tu avais attribué, mais en plus il l'a, visiblement, perdue dans l'une des arnaques les plus simples et les plus consternante possible... Hormis s'il l'a dépensé l'argent, TON argent, pour des plaisirs divers, profitant du bon temps à ta charge, et achetant un objet minable pour détourner ton attention ?
R2 :
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Les cavaliers sont partis, par le plus court des chemins.. Et ce n'est pas sans surprise que tu vois deux d'entre eux revenir le surlendemain, a bride abattu, poussant leurs chevaux. Recomposant ton visage, tu t'assoies le temps qu'ils arrivent, prenant une mine faussement placide à leur arrivée pour cacher ton intérêt pour la raison qui les a fait rebrousser chemin à deux.
"- M'sire, Y'a eu le feu dans les Terres de la Coalition" dit l'un d'entre eux, gêné. "- Le feu? Mais encore ?" "- De l'autre côté de la Montagne, y'avait une forêt, et des champs, et des plaines, et des animaux, et.. "- Oui c'est ce qu'on trouve habituellement dans les Terres de la Coalition de la Terre" l'interromps-tu " Et bien... y'a plus rien... 'sauf une trainée noire au sol.. Et grande la trainée, on pouvait même pas voir le bout quand on a fait demi-tour avec Gus, pas vrais Gus ?" " Oui Oui Messire, mais Pierrot à continuer. Il a dit que si on rentrait tous vous seriez pas content, alors il a dit qu'il allait continuer pour voir s'il trouve des gens pour les convaincre de venir. Mais dans la trainée, dois plus avoir grand monde je pense" R1 : En faisant expertiser la pièce d'armure par un forgeron qualifié, celui-ci te dira qu'il ne touchera pas à l'armure pour une fortune. Entre le travail magnifique et les matériaux, il mettrait sa main à couper qu'il s'agit d'une Armure de l'Armée des Rahans.. Et aussi terrifiant que tu peux l'être, il éprouve tout autant la peur des Rahans. Avec un peu de pression de ta part, il finira par avouer qu'une telle pièce d'armure peut valoir presque plusieurs centaines de pièces d'or. Mais qu'il ne connaît aucune personne saine d'esprit qui accepterait de toucher à un objet de l'Armée des Rahans...sauf peut-être au marché noir ? Quand à ton prisonnier, pour l'instant il n'a pas piper un seul mot, et ce malgré quelques séances de ... relaxation des muscles... depuis qu'il a été mis au cul-de-basse-fosse. Hormis pour avertir tes gardes qu'ils le paieront cher quand certaines personnes sauront où il est... Tu as reçu un bout de parchemin de la part des pécheurs, le banc de poisson a bientôt fini de passer, et ils t'invitent pour venir profiter d'un banquet en ces termes, écrit d'une main tremblante, probablement pas son inexpérience :
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"Pour le Ségneur Armorie de Bavois ,
Ségneur, le poiçon est bien d'en nos bateau. Et nou sommes kontent de votre aide. Vous pouvez venir avant Dimanche en 8 pour manger et boir avec nou. Vou pouvrez auçi parlé de ce ke vou avez à parlé. " La Signature quand à elle est complètement illisible. Action gratuite pour aller au banquet ce tour-ci Pendant que tu comptes ton Trésor, tu remarques un trou dans celui-ci. Après avoir questionné rapidement ta femme sur la disparition d'un certains montant, tu remarques vite à sa réaction qu'elle y est innocente... Tu sens venir le besoin de fromage et de vin.... Budget du Tour : 425 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin Après une semaine chargée, de voilà sur la route de l'Ouest, laissant dans ton dos le Seigneur de Lannoy réfléchir à commencer annoncer aux Kalards les conditions de la paix que Sombralys a poser. Tu espères intérieurement que Baldur sait ce qu'il fait, et que Burbio aussi.... Ton évènement est prêt à prendre place Action gratuite Budget du Tour : 1 432 Or Fief des Grisons – Solkills Te voilà, toi, Hugues de Lannoy, Seigneur de Santes et des Grisons, assis au bord de ton jardin. Au loin tu aperçois encore les troupes de l'Ordre, symbole que tu ne rêves pas. Toi qui n'aspire qu'à une vie simple et tranquille. Toi qui n'aspire qu'à l'attachement profonds que tu portes aux traditions. Voilà que Toi, tu détiens entre tes mains la lourde responsabilité de pavé la voie vers une paix, plus ou moins fragile certes, mais réelle entre Sombralys et les Kalards. Entre l'Armée du Protecteur du Royaume et celle de la Couronne... tu repenses à cette scène que tu as vécu au toucher de la pierre... Se pourrait-il que cela était .... une prédiction ? Tu écartes la pensée, aussi vite qu'elle t'ai venue. Après tout, cela ne tiendrait pas la raison. Si cette situation est telle qu'elle est, c'est parce que tu l'as décidé. Pas parce que le Destin te l'aurait donnée.... Ton regard porte vers la Montagne, vers là où Arilo se trouve.. quelque part... et tu te demandes ce qu'il s'y passe... Tu ne peux savoir si la décision de ta fille est la bonne que lorsque tu le verra revenir.Mais elle s'est bien débrouillée avec le reste des affaires en cours... Bien que son explication sur la présence des enfants chez l'Ordre avait été confuse... Après avoir été perdus plusieurs fois, celle-ci avait finit par retourner dans sa chambre.. L'ensemble des gardes et du personnel pouvant largement comprendre dans les propos passant au travers des murs, des portes, que tu étais incapable de comprendre quelques choses de très simple, et que cela devait probablement venir de ton âge ..... Tu reconcentres ton esprit sur la matière la plus importante pour le moment, et pendant que, machinalement tu te mets à entretenir ton jardin, tu penses, encore et encore, aux conditions que Sombralys pose pour une paix..Et comment les présenter à la Reine...Ou plus précisément à Viviane Kalard... En comptant ton budget, tu remarques une erreur...Tu recomptes, et retombe sur la même erreur... Le compte du Trésor n'est pas bon... Un excédent à était trouvé, mais tu ne sais d'où il vient ... Budget du Tour : 821 Or Fief Esgan – Sardine Une fois ta décision prise, au vu de l'impératif qui se dresse devant toi, voilà que tes soldats et toi-même vous lancez dans une couse vers la rivière, espérant tous la rejoindre à temps. Tu entends les bruits de l'équipement de tes soldats en train de forcer la cadence, s'éparpillant dans le même temps et rompant leur formation, chacun plus occupé à courir pour distancer ce monstre jaune qui semble se rapprocher toujours plus vite. Par dessus ces bruits, et les glapissements des trainards demandant de l'aide, voire se délestant de leur barda, sans doute préférant leur vie à leur équipement dans la situation actuelle, tu commences à entendre dans le lointain ce doux bruit du crépitement des flammes qui pourrait te rappeler les âtres des cheminées de la Cour. Mais ce doux bruit ne l'est que par la distance qui vous sépare, car il continue son œuvre, engloutissant champs et arbres, arbustes et plantes, ainsi que soldats et chevaux.. Les rares cavaliers qui bien que se rapprochant de vous, ne pourront jamais arriver à temps, le Feu sur leur talon allant bien trop vite pour eux, leurs chevaux, la bave dégoulinante, ralentissant les uns après les autres, exténués.. Certains essaient alors, une fois leur monture tombée de courir vers l'eau salvatrice. S'il en reste encore quelques uns avec des pièces d'équipements, les autres les aillant depuis longtemps jeter dans leur fuite. Certains essaient bien de se séparer du plus gros du reste du groupes, mais le Feu n'entends pas les choses ainsi, et même les petits fuyards se font rattraper par une branche de celui-ci se mettant à leur poursuite. Les suppliques des derniers Hommes t'atteigne, alors que le dernier encore en vis, las de sa vaine tentative se retourne et se jettera dans les Flammes Infernales afin d'abréger son cauchemar. Alors que tu assistes, impuissant, à ce spectacle, l'odeur du brulé te parvient aux narines, abjecte, écœurante. Ta vision se trouble pendant que, saisit par cette insupportable odeur, accroché au bord de ton embarcation, tu rends à l'eau le contenu de ton estomac, de tes entrailles et plus encore... L'odeur dans les narines, le goût de sang dans ta bouche, tu aperçois le Feu qui commence à perdre de l'ampleur, comme si, une fois sa sombre besogne achevée, satisfait, il mourrait... Après quelques heures d'attentes, le Feu ne sera plus.. Ne restera de lui que la trace colossale de son passage, l'absence de vie, et des amas de métaux ayant fondu dedans... D'une voix mal assurée, tu donnera tes ordres, et une fois le constat de l'absence de survivants, ou d'équipements restant, hormis une petite chaine avec un médaillon dorée en forme de Porte, retrouvée proche de l'endroit où le dernier Homme se sera jeté dans les flammes, vous repartirez, l'âme en peine vers le légat. Tes hommes sont à bout de souffles, exténués, une partie de leur équipement est manquant. De plus, la quasi-totalité sont aussi sous le choc de ce qu'ils ont vécus, et vus. Par conséquent ta force de combat est drastiquement réduite pour l'instant. Pour finir, tu es toi-même dans une situation que tu n'as jamais connu, et encore moins imaginé, tes repères de la Cour sont loin, et ce qui s'est déroulé t'a fait forte impression... Des pensées parasites s'invitent même durant le trajet jusqu'au légat : " Aurais tu pu changer les choses ? Aurais-tu pu sauver ses hommes ? Ou la fuite en avant était-elle la seule solution ?" Ton action Seigneur doit être en rapport avec les évènements Une jeune femme s'est présentée à ta Demeure, demandant à te voir. N'étant pas sur les lieux, et ne voulant pas indiquer à ton "remplaçant" la raison de sa visite, ni même son identité, elle a consenti néanmoins à patienter à l'auberge pendant quelques semaines en attendant ton retour Felip compta et recompta... Devant le résultat, il recommença encore une dernière fois, et encore une autre... Au bout de la 7e fois, il fit un amer constat : De l'Or manquait.. Et pas qu'un peu... Budget du Tour :3265 Or |
Because I'm Batman
Dernière édition: par autoslayer.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81810
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Tour 12 :
Blason de l'Ordre
Négociations Las de mon incessant voyage à travers le Royaume, je ne pouvais cependant pas m’arrêter. C’est aujourd’hui et à chacun de ces derniers jours que s’écrivait l’Histoire du Royaume et de l’Ordre. Les conditions de Baldur avaient été transmises aux Grisons. C’était désormais entre leurs mains qu’allait se jouer la cessation des conflits ou leur reprise imminente. Une trêve sous tension ou le chaos et l’horreur des combats. Je devais cependant faire le vide dans mon esprit sur ce sujet immédiat et prendre un instant pour réfléchir au futur. Aucune occasion ne devait être manquée de nous rapprocher de notre objectif et c’est en vue de gravir une marche vers lui que je me rendais à l’Ouest accompagné de mes hommes. Une marche que beaucoup d’autres suivraient. Actions gratuites : Otto signa l’accord d’un geste ferme après avoir effectués les quelques modifications qu’il avait à formuler. Après un regard entendu, il précisa que Bernard ou le régent actuel devrait être informé de la date de départ de l’expédition ainsi que de son résultat dès son retour. « Faites attention, Messieurs ! Sachez que le profit vous attend sans doute mais ne soyez pas trop cupide face aux dangers qui vous guettent là-bas. Vous pourriez tout perdre. » --- Après de multiples jours de préparation, le soir était venu. Les chandelles étaient toutes allumées, les chanteurs entonnaient les hymnes des Héros de l’Ordre disparus alors que défilaient un à un les nouveaux diplômés de la promotion de la Jugend des Ordens. Portant fièrement les couleurs de leur uniforme militaire, tous s’avançaient les uns après les autres, se présentant à la tribune par leur nom et par la fonction qu’il avait choisi d’occuper désormais au sens de l’Ordre afin de bénéficier à tous. A l’annonce de cette fonction, ils étaient applaudis par la foule en liesse, symbolisant par ce fait leur appartenance éternelle à la communauté de l’Ordre. Cette première étape de leur entrée dans l’âge adulte était suivit d’une autre grande étape. L’Union des Âmes, c’est au cours de cette cérémonie que les couples souhaitant officialiser et célébrer leur unions prononçaient leurs vœux devant l’assemblée, jurant de respecter leurs devoirs envers l’Ordre et d’élever le fruit de leur amour en fier représentant de la communauté. Dans la foule, Jean se mêlait aux autres adolescents. Trop jeune et trop « vivace », il n’était malheureusement pas prêt à participer à cette cérémonie, malgré les efforts déployés par Otto. Seule la vérité cachée sous les jupes des filles l’intéressait et il faudrait travailler là-dessus. Otto venait de prendre l’initiative de proposer à Jean une éducation. Lui expliquant que son statut de héros serait fugace, il durerait quelques temps. S’il souhaitait conserver cette allégresse, il devait penser à son avenir. Devenir un homme respectable et respecté, de ses pairs et des femmes. Un tuteur lui serait attribué parmi les hommes de la Demeure disposant des compétences adéquates. Il avait suivi avec brio l’entrainement militaire, il était désormais temps pour lui d’apprendre et de comprendre le monde pour y trouver sa place. Détails des actions :
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L’offre des marchands est acceptée dans les termes réécrits
-Voir détail action secrètes ---
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Tenue de la cérémonie : les avis et impressions de la population sont collectés à cette occasion
- une mesure du moral est réalisée à l'occasion de la cérémonie - Un tuteur (Espion) est attribué à Jean dès la fin de la cérémonie pour lui apporter une éducation culturelle et morale. Otto aidera à cette tâche lorsqu’il aura plus de temps (quand il ne sera pas en train de gouverner). Action seigneuriale : J’avais quitté le fief Grison quelques jours plus tôt pour une affaire toute autre. Un messager avait été dépêché auprès de Baldur pour l’informer de la situation. Je parcourais la campagne sombrane découvrant les paysages typiques qui s’y dessinaient. Traversant la communauté locale, je fus surpris par le nombre des débits de boissons qui s’y trouvait et de la forte odeur de poisson qui jamais ne quitte ces lieux. Une fois à la capitale, je fus accueillit par Judi pour discuter de nos intérêts communs. Quelques heures plus tard, je quittais la demeure, notre alliance conclue et une nouvelle mission à l’agenda. Mon périple semblait ne jamais en finir alors qu’à nouveau je me présentais devant le fief des Grisons. J’allais pouvoir profiter de ces quelques heures de repos. Détails de l’action :
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La troupe continue son périple comme indiqué
Action de fief : Après 2 mois de fonctionnement ininterrompu, le feu de la forge s’était temporairement éteint. En effet, le forgeron fût réquisitionné pour participer au dessin des plans de la nouvelle forge qui serait construite le mois suivant. Et c’était son apprenti devenu maître forgeron qui en prendrait les rênes, libre désormais de choisir son propre apprenti parmi les rangs des diplômés de la Jugend des Ordens. Au-delà des limites de la ville, les terres encore fertiles étaient ensemencées de choux et d’oignons alors que les beaux jours de l’été allaient bientôt laisser place à un sol jonché de feuilles. Détails de l’action :
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Construction d’une Terre Agricole et d’une Forge
Budget : 1000 Or Action de fief : Otto ne chômait pas, gouvernance, résolution de conflits, organisation du développement de la ville et enfin préparation de la cérémonie. Cependant cette dernière n’était pas pour lui déplaire, il allait en profiter pour faire un peu de zèle et sortir les Juges de la salle d’étude de la Division Requiem pour quelques jours. Les deux hommes seraient affublés d’un chapeau bouffant de manière à cacher la Couronne sur leur tête et ainsi ne pas savoir qui la portait. Otto ferait du porte à porte afin de recueillir les différents avis de la population, prétextant cette occasion pour sonder les cœurs et identifier les éléments néfastes à la communauté. Il profitera également de ce tour d’horizon pour voir si les migrants semblent se faire aux mœurs de l’Ordre et s’assimilent correctement. Détails de l’action :
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Evaluation, grâce aux Juges et aux espions, de la corruption et de l’assimilation des migrants.
Missionnés : - Otto - Les Juges - 5 Panzerschutze - 3 Panzerhunds - 5 Hommes d’armes - 2 Espions Budget de la recherche : 100 Or Budget restant : 57 Or |
Dernière édition: par Lorwin.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81814
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Tour 12 : Au nom d’Armory Bivoix, Bourg-mestre de Solède, troisième année du 4éme Mandat. De gauche à droite : Blason de la maison Bivoix, Blason de la ville de Solède, Blason de la ville, Blason du village c’est la fête, c’est la fête Réaction gratuite : Banquetons et intégrons
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But : – Intégrer le fief des salés Méthode et arguments : – Grand voyage : seigneur bivoix dans les deux communautés + sa femme + son fils + 2 Troupes de théâtre + 30 cavalières + 100 ors en vivre, vin, teinture – Cadeaux : On amène de quoi manger et boire pour tous. Le seigneur bivoix offrira les bannières aux villages puis a la ville et les ferras hisser bien haut. L’on annonce aussi que le seigneur bivoix fera construire une taverne dans chacune des communautés en souvenir de ce jour mémorable. – Le choix de la simplicité : Au vu de la mort de leurs suzerains et de la situation politique du royaume il sera beaucoup plus simple et beaucoup moins contraignant pour tous les habitants du fief de simplement laisser à Armory le rôle d’administrateur et de seigneur du fief. Si le seigneur armorie ne prend pas les choses en main, les salés devront remplir moult déclarations administratives des percepteurs royaux pourrait vouloir les interroger et cela serrait long et contraignant, pour établir un inventaire. Alors que si Armory est désigné, il s’occupera lui-même de la paperasse administrative et ferra, faire par des proches l’inventaire pour laisser la population a ses réjouissances. Cependant si elle le souhaite, les communautés peuvent désigner un dorf-mestre qui servira de représentant aux conseils urbains de Solède et portera la voix de leurs communautés. – Argument pécuniaire : Armory s’il est désigné seigneur par le fief des salés organisera une exemption d’impôt, les habitants pourront garder pour eux tout le bénéfice de la pêche de polio ainsi que toutes les réserves qu’ils auraient accumulés. La ou la couronne pourrait vouloir être dédommagée pour son déplacement et prendrait une majorité des ressources. – Distraction : Fait montrer pièce de théâtre, on organise un festival de couleur ou on offre des teintures aux habitants pour leurs faires voir la richesse du fief bivoix. – Unité fait la force : Le seigneur armorie dispose d’une armée qui sortira renforcé d’une union avec les salés, et de par ses alliances il pourra facilement protéger le bon peuple du fief de toute méchanceté venue de l’extérieur. La preuve en est que par son influence il a dissuadé les seigneurs de l’Ouest et du Sud de venir porter la guerre jusque dans la région. Et à deux fiefs on pourra produire encore plus d’alcool et pêcher plus de poisson (Armory fera construire des tavernes et un immense chantier naval pourra facilement construire des chalutiers dans les années à venir). RP : Action seigneuriale : vile besogne est nécessaire
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But : – Mettre en route un héritier Méthode : – Recommencer à fréquenter sa femme – Ne pas parler des affaires d’État – essayer d’entretenir une conversation faussement agréable – Utiliser son remarquable sens d’observation pour souligner les qualités « evidentes » de sa femme RP : Alors que nous chevauchions vers le village salé, je rumine mes plans pour qu’un nouvel héritier naisse. Je me pris à rêvasser du passé quand alors jeunes damoiseaux j’avais rencontré celle qui deviendrait ma femme. Nous nous mariâmes à la frontière, dans un camp monté à la va-vite. Je venais d’avoir 15 ans, et de souvenir elle en avait 14. Mes parents m’avaient annoncé un mariage avec une cousine des Seigneurs Porto, j’en étais alors très heureux, mais aussi inquiet. Parmi les jeunes hommes de Solède, il se racontait beaucoup de choses sur les portos, charme surnaturel du a des potions avancées, mais aussi une certaine folie propre aux génies qui innove sans cesse. Cependant j’étais inquiet, je n’avais que peu d’expérience des dames or de celle de ma famille qui avait déjà un certain âge. Je passais beaucoup de temps avec mes amis et déjà j’apprenais les arts de la politique en siégeant au conseil urbain. J’avais à charge de vérifier les comptes de certains commerces également. Et si bien sûr des filles de basse extraction avait pu me permettre de m’acoquiner je n’en avais rien fait. En arrivant aux camps de mariage, je sentis mon ventre se nouer. Les étendards de nos maisons flottaient assez haut. Je me sentais près a faire mon devoir, je me sentais presque seigneur avant l’heure. Nous rentrâmes et pendant deux jours je ne pus voir la mariée, je fus continuellement entouré des hommes de ma famille et de celle de mon épouse tandis que la mariée devait sans doute supporter ma propre mère et des femmes de ma maison. Nous avons alors beaucoup parlés, des fins de tractations pour le mariage, des plans sur le long terme et toute sorte de choses et d’autre. Je compris que ma famille avait une longue tradition d’amitié avec les portos. Et je ne serrai ni le premier ni le dernier à me marier avec un porto. Ils étaient nos puissants voisins et nos devions entretenir un feu paisible d’amitié et un feu ardent plus conjugal. Il se passa donc deux jours, puis vint la cérémonie. Tout le monde était rassemblé, j’étais vécu de la cape des capitaines, une cape que portait déjà mes ancêtres alors qu’il n’était pas encore maitre de solède. Puis vint la mariée, une grande robe noire rehaussée de jaune portant un bouquet de fleurs bien plus coloré que les plus colorés des teintures que nous possédions. Tout se passa très vite, l’on prononça une rapide phrase pour nous unir. J’acceptai, elle aussi. Je finis par découvrir son visage alors qu’elle relevait son voile. Elle avait l’œil vif, un beau visage et un sourire qui me fit me sentir bête (et ça n’arrive pas souvent). J’étais très heureux d’être lié à elle. Il vint le repas ou je dévorais avec mes yeux, perdu dans son regard je ne pris pas plaisir a table. Puis la nuit conjugale où j’appris à découvrir plus que son visage. Le reste de notre relation était passé beaucoup plus lentement. Je finis par me lasser de cette épouse finalement bien quelconque. Le frisson de la découverte avait laissé place à une sorte de neutralité par défaut. Elle m’avait donné un fils qui se révéla décevant en tout point. Et je réfléchis aux années passées, finalement… Peu être le grand problème de ma vie était ma descendance. Mon fils légitime décevant j’avais cherché les baisés d’autre femme qui accueillirent aussi des enfants. Non légitime, mais pour l’instant tout aussi inintéressant. En réfléchissant, je me dis qu’il y avait peu être une loi scientifique ou divine. Comme pour la l’écriture la réussite pouvait venir en pratiquant. Aussi je me résolut a tenter un nouveau essayé avec ma femme. Et le soir même, je m’arrangeai pour que nous vécussions une nouvelle nuit de noce dans notre campement sauvage. Action Fief : L’Oeil gauche et l’œil droit bien ouvert
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But : – Former deux nouveaux espions Méthode : – Investis 98 ors pour recruter deux espions RP : Comme tous les matins je me promenais le long de la cote. Il y avait toujours toutes sortes de badauds et de gens étranges, des pêcheurs, des vendeurs de grigris, des gratteurs de murs et des gardes en quantités. Enfin, j'aimais bien me balader dans ce coin-ci le matin. Une femme de marchand dénote un peu par ici, mais bon j'ai toujours été originale. Je décidais d'acheter un légume de l'intérieur des terres, Tona el cuisinerait très bien. Ma ballade terminée et le chou riant étant assez lourd je décidais de me rentrer. Je me redirigeai donc vers l'ouest de la ville où nous avions notre maison. Je rencontrai en chemin quelques clients de mon mari. Heureusement je savais quoi faire, sourire et faire l'idiote. D'après mon mari il ne fallait surtout pas que les gens sachent que j'étais celle qui faisait les comptes. Après une dizaine de sourires, j'arrivai sur le pas de la porte. Je fonçai vers les cuisines pour donner le chou souriant à Tona. S'il vous plait, cuisinez ça à la braise et sur le temps long, dis je. Puis je montai vers ma chambre. Mon mari n'étant pas là je pris l'initiative de me refaire une beauté. Et quelle beauté, maquillage, robe de tissu léger et coloré et bijoux ! Bijoux ? Non, en vérité je ne voyais pas mes bijoux. Et lorsque j'ouvris ma boite favorite ou j'entrepose mon fabuleux collier de perles sauvage. Il avait disparu... Ou plutôt j'avais dû le perdre, je suis quelque peu étourdi parfois et j'oublie souvent les choses sans importances. Il faudrait que je dise a mon ami d'en acheter un nouveau, l'une des plus grandes dames de la ville ne peut se passer de bijou au cou. Pendant ce temps dans une salle sombre et cachée de la maison bivoix... J'attendais, nos nouveaux candidats aux affaires spéciales devraient déjà être de retour. Je pris sur moi d'attendre un peu plus. Et encore un peu... Finalement enfin le premier arriva. -Vous avez ce que j'ai demandé ? -Sûr que j'ai le collier de perles. -Montrez-le-moi... Il sortit le magnifique collier de perles sauvage, quelque rayure témoignait du manque de soin de Dame Marchande. -Bien. Maintenant, ramenez-le, vous le déposerez dans la chambre de la bonne. Elle sera renvoyée et vous irez lui proposer de travailler ici. D'un signe j'indiquai la porte, et en deux pas il disposa. Emprunt de 150 remboursable au tour 17 Budget de la recherche 100 Budget restant 277 |
Dernière édition: par momolefrenchie.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81815
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Tour 12 :
La Main du Pèlerin cerné d'un collier d'anneaux d'or. Symbole de l'unité des clans.
Action seigneurial : la maudite armé porto. RP:
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C'était il y a vingts ans, une époque de paix et de prospérité. Nous étions grands, beaux et jeunes officiers, diplômés de l'académie militaire de Sombralys. L'armé a toujours été un bon moyen d'ascension politique pour la petite noblesse qui pullulent dans la capitale et les plus audacieux pouvait un jour espérer un poste confortable et bien rémunéré dans l'administration de la couronne. En ce temps-là les campagnes militaires les plus terribles consistait a étouffé tel révolte ou intimider tel seigneur turbulent. Il nous suffisait de bien tenir le garde à vous, d'être fier dans les défiler et de rédiger de beaux rapports en attendant de nous faire repérer par l'aristocrate qui nous sortirait de là pour nous mettre à son service.
Une fois nous avions été déployés dans la Confrérie de la terre. La rumeur disait que des paysans braconnais quelque par sur la route entre la capitale et Stalinx. Une banalité qui ne nous aurait pas mobilisé si plusieurs pigeons sombraliens n'avait pas fait partie des victimes de ces chasseurs insolant. Le 15eme avait donc la charge de les retrouver. Il était curieux que leur piste se perdent aux milieux des plaines de la Confrérie, mais il se rapporta à nos oreilles une rumeur qui voulait que certains rayons du soleil y faisait tomber les oiseaux au sol. C'était le printemps les champs étaient en fleur, les oiseaux chantaient et la brise nous caressait les joues alors que nous battions la campagne. Les témoignages des paysans avait mené notre escouade vers une ferme solitaire. Après en avoir dûment appréhendé les habitants un cours interrogatoire suffit pour que leurs enfants nous révèlent penaud leur secret le plus précieux : sous une poutre de la grange se trouvait cacher leur plus grand trésor, une baguette de bois des plus banales de la taille de deux paumes de mains. Le plus jeune, qui avait trouvé l'objet dans un champ fraîchement labouré. Ils nous firent alors une démonstration dans la cour, le petit garçon la brandie vers le ciel, prononça quelques paroles que mon esprit a oublié et un rayon de lumière jaillie du bout de bois pour toucher un innocent volatil qui passait alors dans le ciel et qui s'écroula à quelques mètres de nous. Nous étions stupéfaits, les parents horrifiés et les enfants tout excités par leur spectacle. Immédiatement chacun voulurent tenter à leur tour, mais un soldat s'interposa. Il tenta de leur arracher l'objet, mais le garnement résistât. Il s'ensuivit une dispute sous notre regard amuser où le garçon refusait de rendre son bien et réussissait à tenir tête à notre camarade qui ne réussissait pas à lui faire lâcher prise. C'est soudain que dans la querelle la baguette craqua et se brisa. Mes souvenirs de cet instant sont confus. Une boule de feu c'était formé et le temps d'un cours souffle de chaleur la pittoresque petite cour c'était transformé en véritable charnier. Tout ce qui se trouvait à un mètre de l'épicentre de l'explosion, garçon, soldat ou baguette, s'était tout simplement fait désintégrer. Ensuite, venait les premiers cadavres calciner et le métal fondu puis les glapissements des agonisants brûler vif. Un début d'incendie prenait le toit de la grange. Enfin, vinrent les figures atterrés de ceux qui, comme moi, avaient survécus. L'explosion avait tout ravagé, mais c'était arrêté au bout de quelques mètres et les plus éloignés de son centre nous en sommes sortie avec quelque brûlures superficielles, mais ils nous restaient à supporter les cris d'une mère face aux restes de ses enfants. En quelque ligne de mon rapport cette altercation s'était transformé en un périlleux combat contre un sorcier devenue incontrôlable, il m'a même valut plusieurs louanges. Cependant, il m'est toujours resté amer, car à jamais cette scène est restée gravée dans ma mémoire. Qu'aurais-je dû faire ? Quels mots, quel geste aurait il fallut utiliser pour éviter la catastrophe ? Plutôt que de s'amuser de ses enfants qui se chamaillaient avec un artefact démoniaque. Vingt ans plus tard le même dilemme c'est posé, mais cette fois-ci aucun de mes hommes n'y a trépassé. Pourtant, c'est le même sentiment amer de défaite, les mêmes questionnements, les mêmes cris qui nous hantent... Mais cette fois-ci le coupable n'est pas un enfant innocent. Et il reste un homme qui n'est pas étranger à ce malheur, qu'il en soi ou non le responsable. Un homme qui probablement se cache aujourd'hui derrière la grande porte de Patlamas.
Premier manuscrit de "Chroniques d'un seigneur d'Esganie" par Arnoult Dol, serviteur de la couronne et seigneur d'Eizegann.
Action:
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Arnoult retourne voir le légat Pompeius après avoir prélevé tous ce qui pouvait être éventuellement réutilisable, plus quelques restes calcinés à titre de témoignage.
Action de fief : insaisissables. RP:
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« Ce n'est pas un esgan. »
Felip Cajal pouvait au moins se rattacher à cette certitude pendant qu'il faisait les cent pas dans la pièce exiguë qui lui servait de bureau. Un endroit discret parmi les dizaines de portes que comptait la demeure seigneuriale qui compensait sa faible surface par l'isolement sonore que procurait ses murs. « J'ai appris à vous connaître, ce n'est pas dans la nature de votre peuple. L'honneur d'un esgan coûte très cher, une fortune, c'est l'avantage de ce caractère de mule. - Nous parlons de plusieurs centaines de pièces, voire peut être un millier... C'est une fortune suffisante pour acheter plus d'une mule. Vous excluez bien vite la nature humaine de tous soupçons. » Velerion parlant sans quitter le ciel des yeux. Depuis la seule fenêtre de cette cellule on pouvait observer les nuages s'accumuler. Ces mains s'agrippaient à son bâton pour ne pas se laisser trembler. Un orage d'été se préparait, il avait lu les rapports qui s'empilaient sur la table. « Cesser les traits d'esprit, l'heure est très grave. La personne qui a prélevé dans notre trésor a logiquement trouvé le moyen d'y avoir accès et elle y aura découvert qu'il est encore bien garni. Ce n'est pas le moment que cela s'ébruite. - Justement, on ne parle pas d'une babiole en or ou d'un artefact quelconque qui aurait été subtilisé par un habile voleur. Pour transporter de telle quantitée d'or il aura fallut plusieurs bras, à défaut plusieurs trajets. Il est étrange qu'une telle logistique échappe à la garde. - Je n'ai pas dis que la personne qui a fait ça n'a pas reçu d'aide de quelqu'un d'ici. - Il m'a sembler pourtant... - Je dis que cela fait des mois que je vous observe vous et les vôtres et un ésgan ne ferait pas ce genre de choses ! Ou alors vous serait sous la contrainte et encore... Vous avez trop de fierté pour ça. - Faites attention Felip, vous nous idéalisez. On pourrait même finir par croire que vous nous admirez. En attendant le contenu de plusieurs coffres a disparu et il ne se sera pas déplacé tout seul. L'or ne disparaît pas comme de par... » Cajal s'arrêtait pour se tourner vers le mage. Les deux hommes croisèrent leur regard, alors Velerion renchérie : « ...Avant tout malentendu je tiens à vous avertir de suite que même si j'en avais eu l'envie, et je ne dis pas que je l'ai eu, je n'en aurais physiquement même pas été capable. La magie est une chose éprouvante, j'accuse encore le coup de... - Cesser. Je ne vous accuse de rien, je laisse cela aux moinillons. Je vous donne la charge de l'enquête. Usez de toutes les méthodes que vous conviendrez nécéssaire, je m'en fiche. Vous avez carte blanche. Si c'est une puissance au-delà de l'humain, il n'y a que vous pour le découvrir. » Action:
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Budget total : 400 or Mobilisés totaux :
Budget restant : 2775 or. |
Dernière édition: par Sardine.
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81823
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Tour 12 :
Blason De Lannoy : D'or, à l'aigle de sable, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or
Roleplay :
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Un instant de calme
Hugues de Lannoy est assis sur le rebord de la fontaine, regardant s’éloigner le messager porteur de la missive. Il ne peut s’empêcher d’avoir une appréhension quant à la future réponse de Viviane. Si les conditions de paix sont acceptées, le Royaume sera peut-être prêt à faire face à la menace qui se cache dans les ombres. Sinon… Hugues secoue la tête. Non, il ne peut y avoir d’autre issue qu’une paix. L’avenir des Grisons se tient dans la même balance que les autres seigneuries du Royaume, il est donc du devoir du Seigneur de Santes de s’assurer que la paix soit établie. Relevant la tête, il observe Luise installée un peu plus loin dans l’herbe au milieu des rosiers et jonquilles. Son visage est paisible, le soleil sublimant sa peau blanche et ses longs cheveux blonds comme le blé retombant tel une cascade sur ses épaules. Sa fille mordille entre ses lèvres le bout de la plume qu’elle tient en main alors qu’elle réfléchit à la suite du poème en cours d’écriture. Hugues ne peut s’empêcher de sourire en voyant la scène. En cet instant, on dirait le portrait craché de sa défunte mère. Une pointe de tristesse caresse le cœur du seigneur de Santes alors que les souvenirs joyeux de son épouse remontent à la surface. « Heureusement que tu es là… ». Comme par intuition, sa fille quitte des yeux son œuvre et croise le regard de son père. Elle répond à son sourire, révélant ses dents écarlates. « Tout cela, se dit Hugues, je le fais pour toi. Pas par ambition personnel, pas pour le peuple Grison et certainement pas pour le Royaume. Non. Tout ce que je fais, c’est pour toi ma fille. » Action fief : « Alors que la paix se profile à l’horizon, nous pouvons commencer à rééquilibrer les dépenses… notamment grâce à ce surplus inexplicable mais bienvenu. »
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- Construction d’une infrastructure économique à Santes pour 490 or
Action seigneuriale : « A cause de la guerre civile, le peuple a été mis à l’écart depuis trop longtemps. Il est temps de renouer avec la tradition grisonne et que moi, Hugues de Lannoy, seigneur légitime des Grisons, travail pour la volonté du peuple. »
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- On convoque les bourgmestres d’Edelnac et d’Elderon afin d’écouter les volontés d’investissement des trois localités et de voir ce que le seigneur de Santes peut faire pour y contribuer.
Actions gratuites : « A l’attention de Viviane Kalard, Madame, j’ai l’honneur de vous faire parvenir dans ladite lettre les conditions de paix négocier avec les forces sombraliennes. Afin d’initier une paix durable, il est demandé de fournir les vivres nécessaires à destination de Centralis pour éviter la famine. Sur ce point, je peux m’accomplir de cette tâche. Ensuite, il est demandé l’accord d’un statut quo sur les exactions militaires qui ont pu avoir lieu durant ce conflit. En échange de ces termes, Baldur accepte de se faire juger pour ses actes dans un jugement par les pères pour le (insérez la date du tour 15). Enfin, de part ma loyauté incontestable envers Madame, je me propose au titre de Légat de la Coalition de la Terre des suites des manquements au devoir de l’ancien légat à remplir sa fonction. Avec le soutien des Kalards, de Sombralys et de la Royauté, cela me permettra de stabiliser la région et de placer le grenier du Royaume entre les mains d’un seigneur loyal envers vous. J’ai conscience des difficultés de parvenir à la paix mais j’enjoins Madame à accepter ces conditions. Votre estimé ami, Hugues de Lannoy, Seigneur de Santes et du peuple Grison. »
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- Envoie d’une lettre à Viviane Kalard pour la négociation de paix.
« Faites venir les parents des enfants disparus. »
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- On fait venir les parents des enfants afin que ces derniers puissent confirmer que c’est bien eux et de les réunir avec leurs familles.
Budget restant : 331 or |
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81832
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Tour 12 : La route vers la paix est pavé de mauvaises intentions
Le temps passe, et si la population a pu apprendre que les conflits entre Sombralys et la Couronne semblait s'être calmé, les bardes et autres conteurs n'ont pas finis de raconter à qui le souhaites, contre une modeste rétribution, les dernières nouvelles du Royaume. En écoutant distraitement, un citoyen occupé à une quelconque taches, peut s'en prendre apprendre que les nuages noirs dans les terres de la Coalition sont toujours présent, tout comme la présence de l'Armée Porto, d'après des personnes bien placées qui l'ont personnellement, a chaque fois, affirmé sur leur vie à ce porteur de nouvelles, dans les terres de la Coalition afin d'y faire ramener la paix, au prix du sang, de l'acier et du Feu. Il est tout autant possible pour les jeunes femmes en quête d'un futur prometteur d'apprendre que le Fils du Seigneur de Bivoix, est toujours libre de tout engagement, et qu'il se raconte que son père, Armory de Bivoix donnerait cher pour le voir partir du nid. De la même manière, les conteurs attirent, par la force de leur récits héroïques, de nombreux jeunes a vouloir tenter de partir à l'aventure, mener une vie de Héros, découvrir des trésors et des secrets oubliés. Bien sûr s'amusez avec des demoiselles est une idée non avouable, ils preferont parler alors de rechercher la demoiselle en détresse qui saura captiver leur cœur, leur yeux et bien sur leur.. pensées. Dans un autre temps, chaque Seigneurie recevra la visite d'une délégation d'un groupe de 2 Hommes et 3 Femmes d'entre 30 et 35 ans. Ces personnes, habillées de manières élégantes et somptueuses, ce qui détonnera principalement dans les Fiefs campagnards, seront pour le moins courtoises. Ils vous apportent la proposition d'une Guilde du nom de "Az'rhat", nom en l'Honneur de son fondateur , Yluse Az'rhat. Cette guilde espère obtenir votre accord pour bâtir un bâtiment de Guilde, a leur charge, dans chacune de vos villes, ou du moins dans votre villes principales. Cette Guilde se présente comme une Guilde marchande, et vous présente que leur installation dans vos terres permettront à celles-ci d'expendre leur rayonnement commerciaux , notamment grâce à leur propre réseaux. En attendant votre réponse, ils iront loger dans la taverne/auberge/hôstel, le plus luxueux que vous avez a proximité, allant même jusqu'à prendre la totalité des chambres dans une taverne pour être à la tranquillité la plus complète. Maison des Bivoix - Momo Ta recherche est presque terminée. Un budget supplémentaire n'est pas nécessaire pour mettre au point leur version final et coucher sur le papier les recherches de manière efficace. Lors du Banquet, bien que sommaire, dressé à même la place du village sur des planches de bois assemblés les unes aux autres, tu as l'occasion de discuter un peu avec celui-ci qui, en l'absence d'autres personnes plus qualifiés, est le "responsable" du village. Cet Homme légèrement bourru, est bien plus à l'aise sur ses navires de pêches, d'après ce qu'il dit, il en possède 3, ce qui est signe d'une indéniable richesse dans ce village, que derrière un bureau à remplir des papiers. Ne connaissant rien à la gestion d'un fief, et encore moins à la passation entre Seigneurs, mais mis en confiance par les actes que tu as pris pour les aider, il te remercie pour ta proposition de t'occuper de l'Administration du Village. Il a envoyés un jeune homme cherchait dans la "ville" les décrets Royaux de possessions du fiefs. Tu te doutes que ne sachant pas lire, celui-ci ramènera les papiers qui comporteront les sceaux de la Couronne, et potentiellement ceux de la "Ville" aussi.. Arrivés vers la fin du banquet, tu peux voir que ton interlocuteur se lève et propose un Toast avec le premier Tonneau de l'année en ton nom. Tu remarques alors qu'un silence épais se pose sur les convives, puis après quelques instants suspendus dans le temps, des acquiescements se font voir, de manière de plus en plus nombreuses jusqu'à atteindre un nombre suffisant qu'un nouveau geste soit fait. Tu peux alors voir 4 hommes aller chercher dans un bâtiment à l'écart, faisant sauter d'épaisses chaines au passage pour ouvrir la porte un grand Tonneau. Il t'est présenté comme étant le Premier Tonneau de l'Année de l'Alcool de la Mer qui fût brassé, et que la Tradition veuille qu'il soit réservé jusqu'à honorer un Homme qui aura apporté le plus au Village, pour récompense. Et que si personne n'était digne de ce trophée, celui-ci était déversé à la Mer, rendant à celle-ci hommage. Conscient de l'Honneur qui t'es fait, tu jeta un œil à ta femme et à ta progéniture, légèrement inquiet pour ce qui pourrait advenir, connaissant la dernière expérience de ton fils avec leur alcool. Après un hochement de tête envers ceux-ci, espérant leur passer le message "Ne me déshonorez pas", tu te lèves, remercie tout le monde en faisant preuve de ta légendaire modestie. Puis tu prends la large choppe qui t'es présenté. A la première goutte dans ta gorge, tu sens la différence notable avec le reste de leur Alcool de la Mer. Celui que tu as dans ton contenant est largement plus fort, ne pouvant plus reculer, tu finis ta boisson et jette un regard vers ta famille... Contrairement à son habitude, ta femme a donné l'impression d'avoir pu supporter la boisson, et s'attribue ainsi des hochements admiratifs de nombreux des villageois... Quand à la déception ambulante qu'est ton fils...Et bien tu y es habitué maintenant...Celui-ci sera rapidement invité à se retirer, sur un signe discret de ta part à tes gardes, qui Un peu plus loin dans la soirée, profitant de la bonne humeur général, tu récupéra le chemin qu'emprunte les convois de charrettes des Kalards reliant le village à la Couronne pour écouler le polio qui devrait passer prochainement... Tu apprends aussi, au détour d'une conversation, qu'un des pécheurs est heureux que le banc de polio soit passés en entièreté cette année, il avait peur que les navires Portos les fassent fuir, mais ceux-ci ont brillé par leur absence, ce qui a permis aux poissons de remonter le courant et de venir se perdre dans leurs filets. Budget du Tour : 425 Or Communauté de l’Ordre – Lorwin Alors que la fête était sur le point de commencer, l'escorte de tes 2 choisis se placer de part et d'autres des deux coiffes en évidences pendant que, masqué, les 2 hommes avançaient fièrement jusqu'à celles-ci. Comme voulu par le protocole, chacun se plaça devant l'un des coiffes, pris la sienne et d'un geste ample et théâtrale la mis sur leur douce tête. Un échange de regards se fit entre les deux hommes, puis inclinant la tête tout les deux, ils se mirent en route vers la porte de l'édifice, les gardes les rejoignant de chaque côté, formant une formation visuellement importante. L'un des gardes du sanctuaire où était réunis cette petite troupes ouvrit la porte, et alors que le Soleil venait baigné les hommes de sa douce lumière, les bruits de la ville vinrent aussi les enveloppés. Entre les tintements divers, les cris, ce brouhaha massif venait s'écraser sur leurs oreilles. A ce moment là, l'un des deux hommes portant la coiffe se mis à se tenir la tête, parlant, délirant une litanie de mots " Il ment, Il ment, Elle ment, ils mentent tous... MENTEURS... Partout, lui , elle , menteur... TAISEZ VOUUUUSSS ! FAITES LES TAIRE" Dans sa douleur, il se laissa tomber sur le sol, se roulant en boule sous le regard interrogateurs des gardes, et sous ceux plus au courant probablement courrait pour lui porter secours. Une fois la coiffe enlevé de sa tête, la situation de l'Homme sembla se calmer, mais lui, les regards dans le vagues continuer sa litanie... Laissant les deux hommes rejoindre le sanctuaire de nouveau, le groupe, encore plus petit, se lança dans sa mission.. Les valeurs de la Ville ont été mise a jour. L'intégration des migrants s'est fait plutôt bien. L'un de tes deux candidats a perdu la raison. Otto compta les rentrés d'argent de ce tour. Cela alla très vite. Et poser de gros problèmes. Bernard n'était pas encore arriver, mais il ne tarderait pas... Et l'Etat du Trésor serait un gros problème a son arriver. Il était impensable que quelqu'un est voler l'argent de l'Ordre...Personne n'aurait oser ? Budget du Tour : 93 Or Fief des Grisons – Solkills Tu reçois une missive de la Part du Fief de la Rose, celle-ci t'indique avoir bien reçu les conditions, et que leur réponse te sera donné dans le courant de la semaine pour t'indiquer si elle accepte l'ensemble des conditions, ou en font d'autres de leurs parts. Tes bourgesmestres se libèrent prestement de leurs occupations afin de répondre à ta convocation. Après une longue discussion, chacun finalement présente leur propre observation commune : En cette période troublée, le manque de mur d'enceinte extérieure est une inquiétude principale, tout comme l'obligation de dépendre de la forge de ta ville pour leur équipement militaire. Enfin, un poste de milicien serait toujours un grand avantage dont ils se mettent d'accord pour l'établir comme "prioritaire". Le responsable de la construction de l'infrastructure vient te trouver, quelque jours après le début du chantier. En effet, il s'avère que le convoi de marchandise passant régulièrement et auquel il se fournit habituellement pour les matières premières nécessaires ne sont pas arriver cette semaine, et qu'il est dans l'impossibilité de continuer le chantier. Il s'excuse du délai supplémentaire que cela va engendrer, mais se propose de restituer 85 Or pour compenser le retard de 2 Tours. Réaction gratuite Arilo est revenu, profondément fatigué de sa tentative qu'il t'avoue raté. L'enfant est devenu fou, il a perdu la raison, les souvenir, et vie maintenant, si l'on peut dire vivre, dans une terreur profonde, de tout et de tous. Le bâton en revanche semble toujours intacte, et au contraire semble même en être ressorti renforcé. Celui-ci a été déplacé dans ton bureau dans un coffre en fer, enroulé dans un tissu épais à l'intérieur Bernard est revenu en fin de semaine comme prévu Budget du Tour : 683 Or Fief Esgan – Sardine Un fois les diverses parties concernées concertées, le plan de felip est mis en action. En espérant que celui-ci porterait ses fruits. Le transfert de l'Or, dans des salles sécurisées s'est fait sans soucis notable. Felip commence aussi à se faire du soucis pour son Seigneur, dont il est maintenant sans nouvelles depuis de longues semaines, tout comme pour les moines partis vers les divers fiefs et qui n'en sont pas revenus, encore plus de l'abbesse qui n'a plus montré signe de vie depuis un long moment maintenant, et qui est précieuse pour son Seigneur. Valérion a commençait à enquêter. Bien qu'il sente une aura étrange, mais pas celle d'un mage autours de la femme en Noir, qui s'appelle Lyvia, il ne ressent rien d'autres en particulier émané d'elle. Interrogé de manière discrète par l'Espion qui faisait mine de la courtiser, alors que Valerion avait apposé un rituel bien précis, celle-ci n'est définitivement pas au courant des disparitions de l'Or, en revanche, lorsqu'il est mention de la raison pour laquelle elle est présente dans la taverne, celle a avoué être ici pour apporter un message au Seigneur des Esgans, que c'est un message important pour la personne qui l'envoie, et qu'un retour sans l'avoir fait à celui-ci serait un échec non toléré. Après cette déclaration, prenant conscience qu'elle en avait probablement trop dit à un inconnu, elle s'enferma dans un mutisme. Elle a depuis changé d'auberges et reste sur ses gardes. Ayant récupéré le médaillon représentant une Porte, puis récupéré des cendres, seuls vestiges de la catastrophes, vous avez fait voile vers la demeure du légat. Tu y passera une semaine affreuse, tombant malade, et n'arrivant pas à trouver le repos, revoyant en boucle les tragiques évènements. La plupart de tes hommes ne sont pas mieux lotis. Cependant, après presque 4 jours de grandes souffrances, tu es de nouveau capable de te tirer hors du lit que le légat à fait installer dans une grande chambre de sa demeure pour toi, et affronter la réalité. Discussion gratuite avec le légat. De nombreux voyageurs passent dans les communautés et les villes, beaucoup plus que d'habitudes, ce qui rends les Esgans méfiants Budget du Tour :3094 Or |
Because I'm Batman
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Le Royaume Humain : il y a 3 ans 8 mois #81834
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Tour 13 :
Blason de l'Ordre
Outrage ! Les premiers jours de l’automne furent accueillit par un orage féroce. La pluie battant frappait les toits et inondait les rues. Le vent s’engouffrait sous les portes et faisait claquer les battants de bois des fenêtres fermés à la hâte. L’intense gargouillis de l’eau se mêlant à la boue n’était couvert que par les brusques et fugaces détonations de la foudre qui s’abattait au loin. Les rues étaient presque désertes, seules les patrouilles de milice et la garnison osaient affronter les éléments déchaînés. Même la taverne d’habitude si animée avait été forcée de fermer en avance faute de gosier à étancher. Otto observait ce spectacle grandiose depuis la Demeure familiale surplombant la place du marché. Cette tempête lui rappelait sa jeunesse, alors qu’il servait dans la marine sombralienne. Son bateau avait été à l’Est des Terres rhahannes suite à de nombreuses rapines perpétrées par de cupides pirates. Voilà plusieurs jours qu’ils cherchaient leur piste et alors qu’enfin il pensait avoir trouvé leur traces, une tempête les pris pour cible. Elle fit fondre le déluge et les éclairs sur eux avec une telle force et une telle imprédictibilité que beaucoup était persuadé que des forces mystiques étaient à l’œuvre. Au fur et à mesure que les minutes passaient, les rafales et les vagues se faisaient plus importantes et plus violentes. Il fallut près d’une heure aux matelots pour replier la voile avant et la voile arrière dans une lutte acharnée. Rien ne put être fait pour la voile centrale, déchirée par endroit, il fallut la décrocher complètement pour éviter qu’elle emporte avec elle le mât principal comme elle l’avait fait avec les hommes de vigie. Quelques heures plus tard, la mer était d’huile et il n’y avait plus une trace des nuages qui avaient terrorisé l’équipage sinon les débris et les corps flottants qu’ils avaient laissé derrière eux. Otto se réveilla dans la calle avec un mal de tête insupportable. Il apprit plus tard qu’un débris l’avait assommé et qu’un de ses camarades l’avait amené à l’abri. Jamais il n’avait pu le remercier, ce dernier, n’ayant pas eu autant de chance que lui, avait été avalé par la mer en furie. Il fut d’autant plus surpris d’apprendre que les pirates avaient été mis aux fers. Une fois la tempête disparu, tous avaient été retrouvé à moins d’un mile du bateau sur un radeau miraculeusement épargné par le tumulte. Jamais personne ne compris quelle leçon, il fallait tirer de ces événements sinon l’absurdité et la fragilité de la vie humaine. Otto se sentait aujourd’hui comme alors, cherchant à guetter l’horizon alors qu’il ne voyait rien à 3 mètres. L’Ordre ne pouvait pas être ce fragile bateau perdu dans la tempête, il devait devenir la tempête elle-même. Et pour cela, il allait falloir mettre un coup d’arrêt direct à la corruption qui se rependait dans le fief. Dans quelques heures, la tempête s’arrêterait mais allait s’en suivre une bien pire, à son initiative cette fois. Un dernier instant, il jeta vainement un œil à l’horizon avec une pensée pour son ancienne élève Retia. Essayant d’imaginer la difficulté de l’épreuve qu’elle s’était imposée et lui apportant par la pensée tout le soutien et le réconfort qui pourrait l’aider à surpasser les obstacles qui se dressent devant elle. Elle était l’avenir de l’Ordre, lui tout comme moi en étions persuadés et nous ferions tout pour assurer cet avenir. ---- Suite aux événements malencontreux, il fut décidé que le Juge encore sain d’esprit ne quitterait plus les quartiers de la Division Requiem lorsqu’il porte la Couronne, tous les interrogatoires à l’avenir se passeront en isolement avec le Juge, un scientifique et le suspect menotté. Personne ne s’exprimera en même temps que le suspect. Actions gratuites : Suite au récent événement, Otto plus méfiant encore vis-à-vis des étrangers. La coïncidence des deux événements pouvait être due au hasard mais il ne prendrait pas le risque de voir se reproduire des événements fâcheux. Il recevrait les invités pour obtenir de plus amples informations sur leur entreprise avant de donner sa réponse, peut être Bernard serait-il revenu d’ici là. --- Les parents des garçons se pressaient devant Hugues et moi, tentant d'identifier leur progéniture. Pensant jusqu'alors qu'ils avaient été kidnappés, ils furent grandement émus de retrouver l'un de leur fils ainsi qu'un de ses amis. Après avoir exposé la situation et proposé aux parents que les enfants retournent chez les Grisons ou soit confiés à l'Ordre, ils choisirent cette dernière option. Cependant malgré les séquelles dont souffraient Joseph, Hugues refusa de confier le bâton à l'Ordre pour l'étudier et essayer de trouver un moyen de le soigner. J'espérais seulement qu'il ne se retrouverait pas dépassé par les maléfices de cet objet. Les sources de Hugues faisaient état d'un fief coalisé au Sud dont le seigneur semblait profiter de la situation pour tyranniser sa population. Nos armées se mettaient en route profitant du couvert de la nuit pour avancer dans les terres. Détails des actions :
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Demande d’informations sur la guilde :
- Où est leur intérêt et où y est le mien ? - Où sont-ils implantés et quelles sont leur accointance avec les autres fiefs - Quelles sont les modalités pour rejoindre la guilde si certains de mes marchands souhaitent les rejoindre ? ---
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Récupération des enfants et de Dieter auprès des Grisons. Récupération de l'arc.
Expédition dans les terres de la Coalition pour y rétablir l’ordre. Action seigneuriale : Les pages craquaient alors que je lisais avec attention l'ouvrage ancien. Faisant ses connaissances miennes, je transcendais les âges et découvrait un monde révolu. Détails de l’action :
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Lecture du livre
Actions de fief et action secrète : L’impensable avait été commis. La porte de la chambre de la salle du trésor était fracturée, les coffres, eux, étaient vides si l’on laissait de côté les quelques pièces d’or qui avaient dû être renversées dans la précipitation. Les intrus n’ont rencontré aucune résistance, ils ont su où et quand agir. Il fallait agir vite tant que tout ceci était frais et broyer les graines de la discorde avant qu’elles ne prennent racine. Les domestiques au courant ont été placés à l’isolement pour la semaine. Et l’affaire fut étouffée aussi longtemps que possible au regard de la population. Les espions furent déployés pour investiguer en priorité les foyers de corruption identifiés dans leur rapport de la semaine passée. Une note officielle fut placardée sur tous les panneaux d’information de la capitale :
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« Au nom de Bernard Hohenburg, Oberkommander de l’Ordre,
Le général Otto Schabbs place la ville de Steinenwolfe en alerte pour éviter la propagation d’une épidémie de Pituralia qui sévit à l’Est du Royaume. La maladie peut se transmettre par simple contact et peut entrainer la mort. Les entrées et sorties seront contrôlés jusqu’à nouvel ordre pour s’assurer qu’aucun malade ne franchisse les murs de la ville. Gloire à l’Ordre. » A la suite de cette annonce, une partie de la garnison fut affectée à la fouille des caravanes et de tous ceux qui franchissent les portes. Les suspects tentant de quitter la ville seront conduits à l’isolement dans les geôles pour interrogatoire. Ceux y entrant seront mis sous surveillance. Les recettes du trésor des prochaines semaines seront stockées sous la surveillance directe d’Otto, lui-même accompagné d’une importante escorte. Détails de l’action :
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Suite à « l’épidémie » :
- Les portes de la capitale seront fermées à tous les étrangers et le commerce interrompu pour la semaine. Seuls les travailleurs devant se rendre à l’extérieur de la ville pourront circuler. - L’excédent alimentaire sera stocké pour le tour prochain au lieu d’être vendu ce tour ci. - Tous les espions disponibles sont déployés dans les lieux publics pour écouter les conversations et identifier des suspects. - Les suspects identifiés seront suivis pour cartographier les réseaux - Surveillance accrue des recettes des prochains tours Budget pour l’opération : 43 Or Reste des détails de l’action dans l’handout Budget de la recherche : 50 Or Budget restant : 0 Or |
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